L’intelligence artificielle n’est plus seulement une affaire de neurones artificiels et d’algorithmes performants. Elle devient un organisme affamé, dévorant des mégawatts à un rythme effréné. De Memphis à Abilene, des batteries Tesla aux centrales nucléaires, une nouvelle géopolitique silencieuse est en train de naître, celle de l’électricité comme condition vitale de la pensée machinique. Dans la course à l’IA, l’énergie est la première frontière. Et peut-être la dernière.
il y a 13 heures