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Crédits Photo: Capture d'écran

Torture

Véronique Genest : chez Ruquier, un suicide cathodique

L'actrice estime être tombée dans un "traquenard".

Véronique Genest se lance en politique. Elle est la suppléante de Jonathan-Simon Sellem, candidat sans étiquette dans la 8ème circonscription des Français établis hors de France. L'information n'est pas passée inaperçue, surtout étant donné le contexte, l'actrice s'étant auparavant fait remarquer par ses étranges interventions au sujet de l'islam, lorsqu'elle s'était par exemple auto-déclarée "islamophobe". Erreur de communication ou véritable islamophobie ? La comédienne était attendue au tournant.

Lors de son passage dans l'émission de Laurent Ruquier On n'est pas couché, les deux chroniqueurs n'ont rien laissé passé. Aymeric Caron en particulier a accablé l'actrice de questions gênantes. Son candidat de tutelle semble en effet, selon Aymeric Caron, défendre des position d’extrême droite concernant Israël. Mais c'est aussi un procès en incompétence qui a eu lieu sur le plateau : interrogée sur le détail de ses positions politiques et les points de vue qu'elle serait susceptible de défendre à l'Assemblée, celle qui se revendique de "centre droit" semble perdre les moyens.

Pour sa défense, la suppléante rappelle qu'elle est "débutante". Mais "C'est pas un jeu la politique" réplique Aymeric Caron qui semble à bout de nerfs.

Dans une interview accordée au site TV mag, l'actrice s'est déclarée "sonnée", considérant être tombée dans un "traquenard". "Je devais parler de mon engagement politique et des actions sur lesquelles j'ai l'intention de m'impliquer et, au lieu de ça, je me suis retrouvée devant une sorte de tribunal" a expliqué Véronique Genest, précisant : "C'était presque une mise à mort, j'ai vraiment eu l'impression d'être tombée dans un traquenard".

Lu sur Le Huffington Post

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