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Micro-polémique

Laurent Ruquier ironise sur Valérie Trierweiler, "icône du journalisme"

"J'ai compris le calvaire qu'a vécu notre président de la République", a déclaré l'animateur de France 2, après un échange d'amabilités avec l'ex-première dame sur Twitter.

La semaine dernière, Valérie Trierweiler avait reproché à Laurent Ruquier d'avoir parlé de son fils, Léonard Trierweiler, en le présentant comme le fils du président de la République. Dans un tweet, elle demandait à l'animateur de France 2 de faire preuve de "rigueur sur l'essentiel".

Il est revenu hier sur cette "micro-polémique" en expliquant que Valérie Trierweiler "a simplement mal compris quand, à un moment donné, j'ai effectivement parlé de Thomas Hollande. (...) D'ailleurs il suffit de regarder la séquence pour voir qu'elle n'a absolument rien compris". Poliment, il lui a donc répondu sur Twitter qu'elle n'avait sans doute pas regardé la séquence ou qu'elle l'avait mal compris. "J'aurais pu être plus méchant avec elle en disant 'T'as rien entravé que dalle dans mon histoire' mais non ! Je lui laisse une porte de sortie", s'est amusé l'animateur.

Sauf que Valérie Trierweiler est revenue à la charge.  "Elle me répond, parce que ça ne s'arrête pas là : 'Alors apprenez à parler distinctement. Amuseur public est aussi un métier, à défaut d'être journaliste'. Et là, j'étais chez moi ce jour-là, j'ai compris enfin le calvaire qu'a vécu notre président de la République pendant des années !".

Finalement, sous les rires du public et de ses invités, Laurent Ruquier a invité l'ex-première dame à venir enterrer la hâche de guerre.  "Nous vous convions, mais vraiment, à venir dans ce fauteuil faire la promo parce que je crois que votre oeuvre littéraire de grande journaliste sort en livre de poche", a-t-il lancé, non sans ironie. Et il a demandé à ses chroniqueurs Léa Salamé et Aymeric Caron de bien faire leur travail : "Parce qu'elle nous regarde peut-être ce soir et croyez-moi, s'il y a bien quelqu'un qui est une icône du journalisme dans ce métier, c'est bien elle donc il faut quand même qu'on fasse attention à ce qu'on dit".

Lu sur Ozap

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