Téléphones portables et cancers du cerveau : l'état des connaissance ; L’excès de stress peut se révéler mortel : restons à l'écoute<!-- --> | Atlantico.fr
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Les ondes électromagnétiques nécessaires aux communications sont rangées dans la catégorie des cancérogènes possibles par les instances de santé.
Les ondes électromagnétiques nécessaires aux communications sont rangées dans la catégorie des cancérogènes possibles par les instances de santé.
©Reuters

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Et aussi : Traiter Alzheimer en réparant le « camion-poubelle » du cerveau ; L’épilepsie : cette maladie qu’on tait, mais dont on peut mourir ; Cancer professionnel : la difficile question de la reconnaissance.

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Téléphones portables et cancers du cerveau : l'état des connaissance

Les téléphones portables engendrent-ils des cancers du cerveau ? La question demeure, et les ondes électromagnétiques nécessaires aux communications sont rangées dans la catégorie des cancérogènes possibles par les instances de santé. Isabelle Deltour revient sur les études épidémiologiques menées ou en cours lors du congrès Eurocancer, afin de faire un état des lieux des connaissances.

Depuis quelques années, les téléphones portables sont entrés de plain-pied dans nos vies. Mais cette introduction à une vitesse importante n'a pas permis aux scientifiques de prendre le recul suffisant pour constater les éventuels dangers sur notre santé. Or, certains suspectent les ondes électromagnétiques reçues durant une communication d'être néfastes, et potentiellement à l'origine de cancers. Ceux-ci se concentreraient plutôt au niveau de la tête, et donc du cerveau, car c'est l'organe qui reçoit les doses les plus fortes durant les communications. Celles-ci décroissent très vite avec la distance.

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L’excès de stress peut se révéler mortel : restons à l'écoute

Une enquête de l’Inserm révèle que les personnes pensant que le stress peut se révéler néfaste pour leur santé ont parfois raison. Elles ont en effet au moins deux fois plus de risques d’être victimes d’une crise cardiaque.

Le stress est reconnu aujourd’hui comme un problème de santé majeur. Face à une situation jugée stressante, plusieurs symptômes physiques, émotionnels ou comportementaux peuvent apparaître (angoisses, difficultés de concentration, problèmes cutanésmigraines, etc.). Plusieurs études, et particulièrement les plus récentes menées au sein de la cohorte Withehall II, composée de plusieurs milliers de fonctionnaires britanniques, ont déjà montré que les modifications physiologiques associées au stress peuvent avoir un effet néfaste sur la santé.

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Traiter Alzheimer en réparant le « camion-poubelle » du cerveau ?

Le système d’élimination des déchets du cerveau est encore très mal connu. Certains scientifiques pensent que de nombreuses maladies neurodégénératives, comme Alzheimer ou Parkinson, caractérisées par une accumulation anormale de protéines, seraient dues à une défaillance du « camion-poubelle » du cerveau.

Le cerveau est bel et bien un organe à part. Étant donné son rôle de chef d’orchestre, il bénéficie d’un traitement de faveur de la part de l’organisme. À la différence des autres régions du corps, le sang ne peut l’atteindre directement : il est filtré par la barrière hémato-encéphalique, sorte de douves d’une forteresse voulue imprenable, qui détermine quelles molécules peuvent entrer ou sortir. L’objectif étant d’éviter d’ouvrir les portes à des intrus néfastes qui détruiraient la structure de l’intérieur, tels des toxines, virus ou bactéries.

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L’épilepsie : cette maladie qu’on tait, mais dont on peut mourir

Longtemps considérée comme une maladie psychiatrique non mortelle, l’épilepsie a du mal à se débarrasser des idées reçues qui courent sur elle. C’est pour rétablir la vérité sur les cas de mort subite et restaurer l’image de ce trouble neurologique que le Réseau sentinelle mortalité épilepsie a vu le jour. Deux de ses représentantes, Marie-Christine Picot, médecin coordinatrice du réseau, et Julie Andres, psychologue, apportent à Futura-Sciences des éclairages nouveaux.

Il aura fallu attendre les années 1990. C’est seulement à partir de cette époque que les médecins commencent à enquêter sur des cas de mort subite chez des patients épileptiques. Bien qu'il était connu depuis longtemps, on pensait que ce trouble neurologique n’était pas létal en soi, mais qu’une crise survenant à un mauvais moment pouvait entraîner des conséquences désastreuses, comme un accident de voiture ou une noyade. La rumeur court toujours auprès de certains patients.

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Cancer professionnel : la difficile question de la reconnaissance

D’après des chiffres parus en 2003, le travail aurait été responsable de 11.000 à 23.000 cancers en France. Tous ne sont cependant pas reconnus comme tel. La question de la causalité reste souvent délicate à déterminer. Mais pourquoi ?

N’en déplaise à Henri Salvador, le travail ce n’est pas toujours la santé. Dans certaines professions, les salariés sont soumis à des produits, processus ou tâches qui entraînent, même bien des années après, une maladie. Celle-ci peut se caractériser par un mal de dos, mais peut aussi se révéler mortelle et se développer en cancer.

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