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Des souris devenues sourdes à la suite d'une exposition à des sons élevés ont pu retrouver une partie de leur audition perdue grâce à un médicament.
Des souris devenues sourdes à la suite d'une exposition à des sons élevés ont pu retrouver une partie de leur audition perdue grâce à un médicament.
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Et aussi : des vers parasites pour nous aider à contrer les symptômes de l'obésité, tuberculose : les scientifiques ont retrouvé ses origines.

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VIH : un vaccin contre le Sida d'un genre nouveau

D’ordinaire, un vaccin cible une région d’un élément pathogène pour que le système immunitaire le reconnaisse et l'élimine. Mais un nouveau traitement permet de protéger des singes contre le Sida non pas en ciblant le VIH, mais en poussant les défenses à inactiver les lymphocytes CD4 afin d’empêcher le virus d’infecter son hôte habituel. Un succès chez les singes.

L’équipe de chercheurs dirigée par Jean-Marie Andrieu, professeur à l’université Paris Descartes, et Louis Wei Lu de l’Institut de recherche pour le développement (IRD), à Montpellier, ont montré que la suppression de l’activation des lymphocytes CD4 infectés par le virus de l’immunodéficience simienne (VIS) chez le macaque empêche la réplication du virus, protégeant ainsi le primate de l’infection. Ces résultats étonnants pourraient conduire au développement d’un vaccin contre le Sida. Ils viennent d’être publiés dans Cell Reports le 20 décembre 2012.

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Des vers parasites pour nous aider à contrer les symptômes de l'obésité

Nous avons beaucoup à apprendre de nos ennemis, notamment des vers parasites. Ils esquivent notre système immunitaire grâce à une molécule sucrée qui révèle un pouvoir thérapeutique intéressant. Chez des souris obèses, elle atténue les symptômes associés au surpoids et pourrait même traiter de nombreuses autres maladies.

Vers parasites et mammifères évoluent ensemble. Si les hôtes veulent se débarrasser de l’invité indésirable, celui-ci cherche à contourner tous les mécanismes de défense qu’on lui oppose. Ainsi, les vers ont mis au point une solution pour profiter des repas tout en restant furtifs : ils sécrètent une molécule sucrée, un glycane. Ce dernier permet d’une part de les rendre invisibles pour le système immunitaire, et d’autre part, il a des effets anti-inflammatoires, limitant les symptômes douloureux pour la victime, qui ne se rend pas compte qu’elle est parasitée.

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Un médicament restaure partiellement l'ouïe de souris sourdes

Des souris devenues sourdes à la suite d’une exposition à des sons élevés ont pu retrouver une partie de leur audition perdue grâce à un médicament. Un espoir pour restaurer l’ouïe chez des personnes malentendantes qu’il faut malgré tout modérer

Être sourd aujourd’hui, c’est souffrir d’une maladie pour le moment incurable. Du moins, dans la majorité des cas, il n’existe aucun traitement capable d’aider des personnes malentendantes à récupérer leur audition. La faute à la dégénérescence définitive des cellules ciliées, à l’interface entre la cochlée et le nerf auditif.

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Tuberculose : les scientifiques ont retrouvé ses origines

La tuberculose, l’une des principales maladies infectieuses connues, a maintenant une histoire mieux définie. La bactérieMycobacterium tuberculosis, grande responsable de ce fléau, descendrait d’une souche plus ancienne qui s’est limitée à l’Afrique de l’Est. Depuis, elle a gagné en virulence et en persistance, ce qui fait d’elle l’une des grandes menaces mondiales.

Mycobacterium tuberculosis (M. tuberculosis) est la bactérie responsable de la grande majorité des cas de tuberculose. Environ un tiers de la population mondiale est infectée par ce micro-organisme. En 2011, la tuberculose a fait 1,4 million de victimes et ce chiffre pourrait augmenter en raison de l'émergence de souches multirésistantes aux antibiotiques. Autre facteur : le seul vaccin disponible, le BCG, n'est que partiellement efficace et protège les adultes seulement une fois sur deux.

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Médicaments dans l'eau potable : des risques pas encore mesurés

Les stations d’épuration ne parviennent pas à éliminer tous les médicaments qu’elles doivent traiter. Certaines de ces molécules actives repartent dans le circuit et sortent de nos robinets. Problème : on ignore encore les conséquences pour notre santé.

De nombreuses études ont déjà confirmé que les stations d’épuration étaient inadaptées à l’élimination de nombreuses substances chimiques. Elles sont incapables par exemple, d’éliminer toute trace de principes actifs de médicaments, souvent présents dans les eaux usées. Le risque de retrouver des résidus de certaines molécules thérapeutiques dans l’eau de boisson est donc réel. Selon un article paru dans la revue Prescrire, les effets de ces pollutions sur la santé humaine restent obscurs.

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