Comment rendre les déplacements en ville plus écologiques<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Consommation
Comment rendre les déplacements en ville plus écologiques
©

Atlantico Green

Alerte à la pollution cette semaine. Il existe pourtant des moyens pour rendre l'air plus respirable : vélo électrique, gratuité des transports en commun, biocarburants... Tour du monde des solutions "vertes".

 Zegreenweb

Zegreenweb

Le site www.zegreenweb.com

propose chaque jour toute l'actualité du développement durable et offre une véritable boîte à outil pour un quotidien plus soucieux de la planète (écogestes, recettes de cuisine bio, guide des restos bio, espace emplois verts, covoiturage, éco-consommation, etc.)

 

Voir la bio »

Disponibles à Paris et dans une quarantaine de communes d'Île-de-France via le système de location en libre-service Autolib’, les voitures électriques n'ont toutefois pas encore déferlé dans les villes françaises. À l'échelle mondiale, les ventes de véhicules décarbonés sont encore marginales. Ils ne sont toutefois pas incontournables pour verdir la mobilité dans les grandes agglomérations.

À Tallinn (Estonie), la gratuité des transports en commun n'est plus qu'une question de temps

Alors que la Mairie de Paris devrait prochainement instituer un tarif unique pour le pass Navigo, son homologue de Tallinn (Estonie) est déjà allée beaucoup plus loin. Partisan de la gratuité des transports en commun dans la capitale estonienne, indépendamment des vives critiques de l'opposition, le maire Edgar Savisaar a en effet été suivi par une large majorité  de ses concitoyens, 75 % d'entre eux viennent en effet de souscrire à ses vues par référendum.

La mesure, une grande première sur le Vieux Continent, entrera en vigueur le 1er janvier prochain. N'en déplaise aux adversaires politiques de M. Savisaar, pour qui elle s'apparente à un véritable gaspillage des fonds publics. On espère tout de même que d'autres édiles prendront exemple sur lui, l'accès renforcé aux transports en commun faisant partie de ces dispositions à même de réduire la pollution atmosphérique dans des proportions intéressantes.

Retrouvez l'intégralité de l'article sur zegreenweb.com

Des perspectives réjouissantes pour le vélo électrique

Omniprésent en Chine, pays qui pèse à lui seul 92 % des ventes mondiales, le vélo électrique a plus de difficultés à s'imposer en Europe occidentale (NDLR : il ne représentait même qu'1 % du marché en France en 2009) et en Amérique du Nord. Les analystes américains de Pike Research prophétisent néanmoins un bel essor.

Selon leurs calculs, quarante-huit millions d'exemplaires devraient ainsi trouver preneurs à l'horizon 2018. 12 % d'entre eux seraient par ailleurs pourvus de batteries au lithium, plus écologiques que celles au plomb qui équipent aujourd'hui la plupart des vélos électriques, soit six points de plus qu'aujourd'hui. La filière pourrait enfin peser onze milliards neuf cents millions de dollars (environ huit milliards neuf cent-quarante millions d'euros) d'ici 2018, cinq de plus qu'aujourd'hui. Encourageant.

Retrouvez l'intégralité de l'article sur zegreenweb.com

Des biocarburants vraiment propres

Longtemps perçus au-dessus de tout soupçon, les agrocarburants présentent en réalité, tout du moins si l'on en croit un nombre croissant d'experts, une empreinte carbone bien plus élevée que celle des combustibles « ordinaires ». Les chercheurs s'attachent par conséquent à élaborer des essences vraiment green, à partir de déchets, de microbes et autres matières organiques que l'imaginaire collectif n'aurait pas forcément cru aussi utiles du point de vue énergétique. Une tendance d'autant plus défendable que les prix à la pompe ne cessent d'augmenter.

Les algues pourraient-elles devenir, à terme, le fondement des combustibles de demain ? Et pourquoi pas : biodégradables, elles peuvent de surcroît être récoltées dans un laps de temps très court. Leur taille peut également doubler en l'espace de vingt-quatre heures – voire moins -, ce indépendamment des conditions climatiques et météorologiques. Ne nécessitant rien de plus que de l'eau, du dioxyde de carbone et du soleil, capables de prospérer dans des milieux hostiles à l'implantation de cultures vivrières (les zones désertiques par exemple), les algues ont tout de la solution miracle. Bien trop d'atouts quoi qu'il en soit pour que la science passe à côté...

Retrouvez l'intégralité de l'article sur zegreenweb.com

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !