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Un médicament expérimental du laboratoire helvétique Novartis s'est montré très efficace lors d'une vaste étude clinique pour prolonger la vie de malades souffrant d'insuffisance cardiaque.
Un médicament expérimental du laboratoire helvétique Novartis s'est montré très efficace lors d'une vaste étude clinique pour prolonger la vie de malades souffrant d'insuffisance cardiaque.
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Et aussi : Neurosciences : les mauvais souvenirs ne sont pas indélébiles ; Des bactéries pourraient être utilisées contre l'allergie aux cacahuètes ; Un thymus fonctionnel recréé à partir de fibroblastes.

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Un nouveau médicament contre l'insuffisance cardiaque

Un médicament expérimental du laboratoire helvétique Novartis s'est montré très efficace lors d'une vaste étude clinique pour prolonger la vie de malades souffrant d'insuffisance cardiaque, réduisant la mortalité de 20 %. Ce traitement pourrait ainsi remplacer les thérapies actuelles contre cette pathologie qui affecte au moins 26 millions de personnes dans le monde.

Malgré les traitements existants, le taux de mortalité de l'insuffisance cardiaque demeure élevé, avec jusqu'à 50 % des patients décédant dans les cinq ans après le diagnostic. L'insuffisance cardiaque, qui empêche le cœur de pomper suffisamment de sang dans les organes, entraîne un manque de souffle, de la fatigue et une rétention de liquide dans les membres inférieurs.

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Ébola : le virus gagne des batailles en Afrique de l'ouest

Alors qu'un nouveau foyer de fièvre hémorragique vient d'apparaître en République démocratique du Congo, la présidente de MSF tire la sonnette d'alarme. En Afrique de l'ouest, « le virus Ébola est en train de gagner » affirme-t-elle, fustigeant l'inaction des autorités. La mise au point par des chercheurs japonais d'un test de détection rapide et peu coûteux arrive comme une lueur d'espoir.

L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) est catégorique : la flambée de virus Ébola en République démocratique du Congo (RDC) n’a aucun lien avec l'épidémie qui sévit depuis mars en Afrique de l’ouest. Cette nouvelle flambée est d’autant plus inquiétante que l’épidémie reste incontrôlée. La présidente de Médecins sans frontières (MSF) a tiré la sonnette d’alarme devant l’ONU dans un discours sans fioritures. Le message : la communauté internationale doit se mobiliser !

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Neurosciences : les mauvais souvenirs ne sont pas indélébiles

Les émotions associées à des souvenirs peuvent être réécrites, permettant d’adoucir des événements douloureux du passé et à l’inverse d’assombrir des moments heureux, suggère une étude menée sur des souris au Japon et aux États-Unis.

La propriété (de renversement) de la mémoire est utilisée cliniquement pour traiter des maladies mentales, cependant les mécanismes neuronaux et les circuits du cerveau qui autorisent ce changement de registre émotionnel demeurent largement méconnus. L’objet d’une étude dont les résultats ont été publiés mercredi dans la revue scientifique Nature était de décrypter ces procédés sous-jacents, ouvrant la voie à de nouvelles pistes pour soigner des pathologies comme la dépression ou les troubles de stress post-traumatique. Elle valide aussi le succès de la psychothérapie actuelle, explique le Prix Nobel de médecine Susumu Tonegawa qui a mené cette recherche.

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Des bactéries pourraient être utilisées contre l'allergie aux cacahuètes

Les allergies alimentaires, dont les causes restent inconnues, et qui peuvent être parfois mortelles si le système immunitaire surréagit, touchent 15 millions d’Américains, dont un enfant sur treize. Des chercheurs ont découvert que des bactéries clostridia, communes dans la flore intestinale, protègent contre l’allergie aux cacahuètes, très répandue dans la population et jusqu’à présent incurable.

Plusieurs études ont suggéré que l’hygiène moderne et les habitudes alimentaires pourraient jouer un rôle en perturbant la flore bactérienne intestinale et celle de l’épiderme. La fréquence des allergies alimentaires chez les enfants a augmenté de 50 % entre 1997 et 2011 et des recherches ont montré une corrélation entre l’usage accru des antibiotiques et des agents antimicrobiens. « La surutilisation des antibiotiques, des régimes alimentaires riches en graisse, des naissances par césarienne, l’élimination de pathogènes courants dans l’environnement et même la composition des formules pour enfant ont affecté l’évolution de nos microbiomes », explique Cathryn Nagler, professeur d’allergologie alimentaire à l’Université de Chicago (Illinois). « Nos travaux laissent penser que tous ces facteurs pourraient contribuer à une susceptibilité grandissante aux allergies alimentaires », souligne-t-elle.

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Un thymus fonctionnel recréé à partir de fibroblastes

Des chercheurs ont réussi à obtenir un thymus fonctionnel dans un animal vivant à partir de cellules cultivées en laboratoire. Un espoir pour traiter des patients dont le système immunitaire est défaillant.

Le thymus est un organe situé à proximité du cœur et qui sert à la maturation des lymphocytes T, le T de thymus ayant d'ailleurs servi à nommer ces globules blancs essentiels à la défense de l’organisme. Or, des personnes qui souffrent de déficiences graves du système immunitaire peuvent avoir besoin de recevoir une greffe de moelle osseuse ou de thymus. Se pose alors la question du donneur…

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