Lostprophets : Ian Watkins plaide coupable de tentative de viol sur un bébé d'un an<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Faits divers
Lostprophets : Ian Watkins plaide coupable de tentative de viol sur un bébé d'un an
©

Décadence

Le chanteur du groupe de rock britannique a aussi reconnu une série de délits sexuels sur des enfants.

Ian Watkins est une rock star. Leader du groupe britannique Lostprophets, il est l'idole de millions de personnes. Ce groupe de rock formé en 1997 à Cardiff a vendu des millions d'albums à travers le monde. Avec un tel succès, Ian Watkins peut donc mener une vie de rêve. Mais Ian Watkins n'est pas comme tout le monde. Il semblerait qu'il ait une part d'ombre en lui. Agé de 36 ans, le chanteur vient en effet ce mercredi de plaider coupable de tentative de viol sur bébé d'un an. Il a aussi reconnu devant le tribunal de Cardiff une série de délits sexuels sur des enfants.

Alors que la récente séparation du groupe (au mois d'octobre) avait été accompagnée de quelques rumeurs à ce sujet, le leader des Lostprophets vient donc de reconnaître l'horreur. Ian Watkins a aussi encouragé l'un de ses fans à abuser de son propre enfant lors d'une discussion sur internet. Le tribunal de Cardiff assure avoir des extraits vidéo "très explicites et pénibles" à regarder. 
Ian Watkins a à l'origine été inculpé pour 24 chefs d'accusation liés à des délits sexuels sur enfants y compris pour viol. S'il a affirmé ne pas avoir violé le bébé dans un hôtel londonien, il a plaidé coupable pour 11 chefs d'accusation dont deux pour tentative de viol. Il a également reconnu avoir réalisé et être en possession de pornographie infantile.

Ian Watkins doit être condamné en décembre. Les fans de Lostprophets déversent désormais leur indignation sur les réseaux sociaux.

Lu sur L'Express

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !