La France expulse un islamiste tunisien qui menaçait des journalistes<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
France
La France expulse un islamiste tunisien qui menaçait des journalistes
©

Dehors

Cet homme de 36 ans a "manifesté à plusieurs reprises sa volonté de partir en Syrie pour participer au djihad", a déclaré le ministère de l'Intérieur dans un communiqué. Il a été interpellé et expulsé vendredi.

Un Tunisien de 36 ans, "proche de la mouvance islamiste radicale", a été interpellé et expulsé vendredi. C'est ce qu'a annoncé le ministère de l'Intérieur dans un communiqué. L’homme, habitant à Gentilly (Val-de-Marne) et résidant depuis plusieurs années en situation irrégulière sur le sol français, est impliqué dans "plusieurs projets d'actions violentes, notamment à l'égard de deux journalistes". Le ministère n'a toutefois pas précisé leur nom et leur nationalité, ni la nature des menaces. Ce Tunisien a aussi "manifesté à plusieurs reprises sa volonté de partir en Syrie pour participer au djihad en combattant au sein du groupe Jabhat al Nursa qui a récemment prêté allégeance à Al-Qaida", a ajouté l’Intérieur.

L'homme représentait "une menace réelle pour la sûreté de l'Etat et la sécurité publique", souligne le texte de la place Beauvau. La mesure d’expulsion, prononcée par un arrêté ministériel du 15 mai 2013, a été prise selon "une procédure d'urgence absolue". Le ministre de l'Intérieur Manuel Valls rappelle dans ce communiqué "l'engagement de la France à lutter contre le terrorisme", et précise "qu'il n'y aura aucune tolérance à l'égard de ceux qui prônent la violence et qui s'en prennent aux valeurs de la République". Depuis mai 2012, une dizaine d'islamistes présumés ont été reconduits hors des frontières.

Lu sur Le Figaro

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !