Emmanuel Macron estime qu'une part du terrorisme peut être liée à une forme d’immigration et double les effectifs de police aux frontières<!-- --> | Atlantico.fr
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©Capture d'écran Elysée

Terrorisme

Le nombre de policiers, gendarmes, CRS et militaires qui contrôlent les frontières italiennes et espagnoles va passer de 2.400 à 4.800

«Je pense qu’il est faux de dire que le problème du terrorisme est réductible au problème de l’immigration. Mais nous serions inefficaces à dire qu’il n’y a pas une part du terrorisme qui peut être lié à une forme d’immigration» a déclaré hier le président de la République au Figaro.

"Cette période est très dure. Mais j’espère qu’elle va révéler à nos concitoyens le cynisme et la sophistication de la pensée de nos adversaires. Eux, ils mêlent terrorisme, islamisme radical et islam! Eux, ils se nourrissent du ressentiment économique et social de nos échecs. Et eux, ils font revivre le ressentiment postcolonial. C’est le discours: “Nous sommes les damnés de la terre”»" a ajouté le président.

"C’est en «exaltant» ce terreau que la Turquie a d’ailleurs acquis une «emprise»dangereuse «au Maghreb, dans nos diasporas, et dans les pays d’Europe». À ses yeux, Ankara a pris ce faisant le relais de l’Algérie, pour qui le sentiment antifrançais et le ressentiment postcolonial étaient devenus «la rente» du système, comme l’avait résumé Benjamin Stora dans La Gangrène et l’Oubli." remarque Le Figaro.

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