Depuis les attentats de 2015, "les mentalités ont empiré", selon une députée suisse, analyste des droits de l'Homme<!-- --> | Atlantico.fr
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Joelle Fiss
Joelle Fiss
©Joelle Fiss

Terrorisme

Elle ne croit pas qu'une grande marche républicaine comme celle du 11 janvier 2015 soit possible en 2020.

Alors que se déroule le procès de l'attentat qui a visé la rédaction de Charlie Hebdo,  la députée suisse Joëllle Fiss a déclaré à France Info, le 11 janvier 2015, à Paris " il y avait 44 dirigeants mondiaux qui se tenaient quasiment main dans la main avec plus d'un million et demi de Français dans la rue. Ce n'est pas possible, aujourd'hui".

Il y avait eut un "élan de solidarité mondiale envers la France" après "cet attentat qui a vraiment choqué les gens parce que c'était un attentat contre la liberté". Joëlle Fiss ne voit plus aujourd'hui "autant de solidarité".  A ses yeux, "La liberté d'expression est toujours aussi menacée si ce n'est plus" ajoute cette analyste des droits de l’Homme auprès d'organisations internationales.

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