Le CSA estime que les femmes sont encore trop peu présentes à la télévision <!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Media
Le CSA estime que les femmes sont encore trop peu présentes à la télévision
©Capture D8

Diversité

Depuis 2014, les chaînes de télévision sont tenues de fournir au CSA "des indicateurs qualitatifs et quantitatifs sur la représentation des femmes et des hommes dans leurs programmes".

Selon le "baromètre de la diversité", publié mardi 17 janvier par le CSA, les femmes ne constituent que 36% du paysage audiovisuel, alors qu'elles représentent 52% de la population française. 

Le Conseil supérieur de l'audiovisuel fait notamment référence à la loi pour l'égalité réelle entre les femmes et les hommes, appliquée depuis 2014, afin de garantir la juste représentation des femmes à la télévision, mais aussi de lutter contre les stéréotypes. 

Le nombre de femmes présentes à l'antenne doit désormais être compté par les chaînes de télévision, qui sont tenues de fournir au CSA "des indicateurs qualitatifs et quantitatifs sur la représentation des femmes et des hommes dans leurs programmes". 

Le Conseil supérieur de l'audiovisuel insiste sur la diminution du taux de présence des femmes dans les magazines et documentaires (32% des personnes prenant la parole sont des femmes contre 34% deux ans plus tôt), mais aussi dans la fiction, (35% contre 37% en 2014). 

Autre enseignement de ce baromètre, les femmes sont toutefois mieux représentées dans les programmes de divertissements (41% contre 39%), dans l'information (37% contre 36%) et dans le domaine du sport (17% contre 16% en 2014).

>>>> À lire aussi : Pan sur la parité : l’étude qui montre que les femmes préfèrent généralement des supérieurs de sexe masculin

Lu sur L'Express

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !