Vent de panique en Israël après une série d'attaques au couteau<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
International
Vent de panique en Israël après une série d'attaques au couteau
©Reuters

Regain de tensions

En tout, huit attaques à l'arme blanche ont été commises contre des Israéliens et des juifs en six jours.

La tension se fait chaque jour un peu plus palpable en Israël alors que les violences se multiplient. Ce jeudi, six personnes ont été blessées à Jérusalem, Tel-Aviv et près d'une colonie en Cisjordanie occupée dans trois attaques à l'arme blanche.

A Tel-Aviv, principale ville du pays, une jeune soldate a été légèrement blessée par un homme armé d'un tournevis. L'auteur, décrit comme un "terroriste" arabe par la police, a été abattu par un autre soldat, selon les forces de l'ordre.

En Cisjordanie occupée, c'est un Palestinien qui a poignardé et grièvement blessé un civil israélien. L'agression a été perpétrée près de la colonie juive de Kiryat Arba, et l'auteur a pris la fuite.

Et plut tôt dans la journée, dans un camp de réfugiés de Chouafat à Jérusalem-Est occupée, un Palestinien de 19 ans, du a grièvement blessé au cou un juif orthodoxe israélien. Le maire de Jérusalem, Nir Barkat, a appelé jeudi tous les habitants de Jérusalem avec des permis d'armes à feu à porter une arme sur eux en raison de la menace croissante des actes de terreur.

En tout, huit attaques à l'arme blanche ont été commises contre des Israéliens et des juifs en six jours. La multiplication des violences ont conduit le Premier ministre Benyamin Nétanyahou, interdit aux députés israéliens, juifs et arabes l’accès à l’esplanade des Mosquées. Il a également appelé les Israéliens à être en "état d'alerte maximale" face au risque d'attentat

Lu sur l'Obs

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !