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Valérie Trierweiler : son éditeur dévoile les coulisses de la parution de son ouvrage
Valérie Trierweiler : son éditeur dévoile les coulisses de la parution de son ouvrage
©Reuters

Explications

Laurent Beccaria dénonce notamment l'acharnement médiatique dont l'ex-Première dame a été selon lui victime, après la parution de "Merci pour ce moment".

Les dessous d'un scandale. Le PDG de la maison d'édition des "Arènes" a récemment adressé une lettre à la rédaction du site "Livres Hebdo" pour justifier son choix d'avoir publié l'ouvrage à scandale de Valérie Trierweiler, intitulé "Merci pour ce moment". Dans cette lettre exclusive, Laurent Beccaria confesse avoir été très vite intéressé par la perspective de “reproduire avec elle (Valérie Trierweiler) l’aventure partagée avec Eva Joly lorsqu’elle instruisait l’affaire Elf”. 

La lettre révèle aussi l'intérêt immédiat manifesté par de nombreuses maisons d'édition : "d'Albin Michel à Flammarion, en passant par le Seuil, Fayard, Plon, Lattès, Robert Laffont, Stock, etc." précise-t-il. Laurent Beccaria poursuit en évoquant sa rencontre avec l'auteure. Affirmant avoir senti "se dégager quelque chose de libre, de franc et de droit", il veut ensuite prendre sa défense : "vilipendée par les médias, Valérie Trierweiler avait réussi à se faire comprendre grâce à une autobiographie publiée par Les Arènes".

Laurent Beccaria s'interroge également : “Est-ce le livre qui est scandaleux ou son traitement médiatique qui en fait un torchon ?”.

Evoquant un premier tirage fixé à 200 000 exemplaires (avec les réimpressions, il frôle désormais les 600 000), l'éditeur écrit dans sa lettre : “Personne n’imagine alors l’impensable, c’est-à-dire le raz-de-marée des lecteurs qui va submerger les libraires françaises en deux jours (...) En quelques heures le livre de Valérie Trierweiler est devenu objet de scandale, écrit Laurent Beccaria, qui estime que la “machine à buzz” a transformé une information sensible en canard sans tête, le prétexte à tout et n'importe quoi”. Quoi qu'il en soit, cette "machine à buzz" a plutôt fait office de publicité efficace pour l'auteure et son ouvrage.

Lu sur Livres Hebdo

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