Une fois n'est pas coutume, les premiers bilans du marché de l’Art 2019 jugent unanimement l'année « stable, sécurisée, mature ». Pourtant, il n'en a pas toujours été ainsi.
24 mars 2020Le Réseau Atlantico
Best-Of du 30 novembre au 6 décembre
Aude de Kerros est graveur, peintre et essayiste. L’œuvre gravée de Aude de Kerros comprend un corpus de cinq cents eaux-fortes. Elle a également produit un nombre important d'œuvres peintes. Son intense participation à la vie artistique française a fait d’elle une observatrice attentive des grandes métamorphoses de l’art. Elle est l’auteur de nombreux articles, écrits et livres dont : "L’Art Caché – Les dissidents de l’Art contemporain", Ed. Eyrolles, "Sacré Art Contemporain -Evêques, inspecteurs et commissaires", Ed. J. C. Godefroy, "1983-2013 - Les Années noires de la peinture - Une mise à mort bureaucratique ?", avec Marie Sallantin et Pierre Marie Ziegler, Ed. Pierre Guillaume de Roux. Elle y esquisse la toile de fond historique et idéologique de l’art de ce demi-siècle.
Une fois n'est pas coutume, les premiers bilans du marché de l’Art 2019 jugent unanimement l'année « stable, sécurisée, mature ». Pourtant, il n'en a pas toujours été ainsi.
Aude de Kerros publie "Art Contemporain, manipulation et géopolitique" aux éditions Eyrolles. Le XXIe siècle a fait de l'Art contemporain un acteur incontournable des relations internationales. Véhicule privilégié du soft power, il constitue un moyen d'influence au service du rayonnement des grandes puissances. Aude de Kerros analyse les liens entre création artistique et géopolitique, de 1945 à nos jours. Extrait 2/2.
Aude de Kerros publie "Art Contemporain, manipulation et géopolitique" aux éditions Eyrolles. Le XXIe siècle a fait de l'Art contemporain un acteur incontournable des relations internationales. Véhicule privilégié du soft power, il constitue un moyen d'influence au service du rayonnement des grandes puissances. Aude de Kerros analyse les liens entre création artistique et géopolitique, de 1945 à nos jours. Extrait 1/2.
L'installation de Paul McCarthy, place Vendôme au mois d'octobre, a rempli sa fonction : créer la polémique. Ce que les défenseurs de l'artiste n'avaient pas prévu en revanche, c'est que l'événement mettrait en lumière un milieu fermé, nuisible à la création artistique.