Valérie Trierweiler sous-entend qu'elle est à la recherche d'un emploi, puis dément sur Twitter<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
People
Valérie Trierweiler sous-entend qu'elle est à la recherche d'un emploi, puis dément sur Twitter
©Reuters

Future sans dents

La journaliste s'est confiée à Grazia. Outre son engagement dans l'humanitaire, elle a également évoqué son avenir professionnel incertain.

Et revoilà Valérie Trierweiler. Cette semaine, c'est dans Grazia qu'elle a choisi de s'exprimer. Apparemment elle y prend goût puisqu'il y a un mois, elle donnait une interview dans Femme Actuelle. Et cette fois encore, elle parle de son engagement humanitaire et évoque notamment l'opération "oubliés des vacances" du Secours populaire : "Ce que j'ai connu de la politique m'a suffi. Je préfère le militantisme associatif, c'est un retour à la base." 

Evidemment, elle en profite pour, comme à son habitude, lancer une petite pic à François Hollande. Elle évoque ainsi le fait que si les jardins de l'Assemblée Nationale et du Sénat sont ouvertsà ces jeunes, ce n'est pas le cas de l'Elysée. "C'est dommage pour les enfants", lâche au passage l'ex bafouée, qui montre en une petite phrase, qu'elle n'a pas pardonné... Puis, elle parle aussi de sa vie professionnelle : "Il n'y aura pas de retour au journalisme politique. J'attends professionnellement que des portes s'ouvrent". 

Valérie Trierweiler donne même son avis sur la politique française : "J'ai été très choquée de la façon dont ce gouvernement stigmatise les chômeurs comme s'ils étaient responsables de leur situation. Il faut ne pas connaître une seule personne sans emploi pour croire qu'on est heureux de ne pas avoir de raison de se lever le matin." Puis, plus précisément : "Mélenchon s'adresse aux plus démunis, il les entend. Comme avec le peuple grec." Enfin, elle évoque les bobos : "Il y a une forme de mépris des classes sociales dites supérieures à l'égard de ceux qui n'ont pas eu la même chance à la naissance."

Lu sur Grazia

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !