Jean-Marc Ayrault : "J'ai le sentiment du devoir accompli"<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
France
Crédits Photo: Capture écran

Fin de partie

Jean-Marc Ayrault : "J'ai le sentiment du devoir accompli"

De retour à Nantes, l'ancien Premier ministre a répété à plusieurs reprises qu'il souhaitait "du fond du cœur la réussite de la France".

Depuis ce mardi, il n'est plus le chef du gouvernement. Jean-Marc Ayrault n'en demeure pas moins un acteur important de la vie politique française. C'est en tout cas ce que l'ancien Premier ministre a martelé mardi lors de son retour à Nantes. Accueilli par des « Merci, Jean-Marc!" lancés par plusieurs dizaines de militants socialistes qui lui ont offert un bouquet de roses, il a répété à plusieurs reprises qu'il souhaitait "du fond du cœur la réussite de la France".

L'ancien Premier ministre s'est prêté patiemment aux questions des nombreux journalistes, au milieu d'une impressionnante cohue de militants qui voulaient le saluer sur les quais de la gare. "Je vais respirer le bon air nantais, passer du temps avec ma femme, mes enfants, mes amis après deux années particulièrement intenses", a-t-il déclaré aux journalistes, dont ceux de BFMTV. "Ça (Matignon, NDLR) vous prend totalement, du lundi au dimanche et du 1er janvier au 31 décembre : je m'y suis consacré avec une conviction totale, j'ai fait le maximum pour contribuer au redressement du pays, je sais que la tâche n'est pas terminée, et ce que je souhaite, c'est du fond du cœur la réussite de la France."

"Je n'ai pas du tout l'intention d'abandonner le combat pour les idées et les valeurs qui sont les miennes. Ce combat pour les valeurs, la justice, le progrès, la France, pour l'Europe, j'y prendrai ma part, quelle que soit la façon que je déciderai dans les prochaines semaines", a-t-il ajouté. "J'ai le sentiment du devoir accompli, être Premier ministre de la France c'est une énorme responsabilité qui vous prend totalement", a-t-il insisté.

lu sur BFMTV

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !