Même le sommet le plus haut du monde fond ; Google Timelapse : 30 ans d'évolution de la Terre en vidéo satellite<!-- --> | Atlantico.fr
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L'Everest, le plus haut sommet du monde, culmine à 8 848 m au-dessus du niveau de la mer.
L'Everest, le plus haut sommet du monde, culmine à 8 848 m au-dessus du niveau de la mer.
©Reuters

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Et aussi : les symétries, clés pour décrypter l'univers ; une tablette à stylet peut remplacer les cahiers de classe, dixit Sony ; Bientôt des billets de banque équipés de puces RFID ?

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En bref : même le sommet le plus haut du monde fond

Le mont Everest n’est pas épargné par le changement climatique. Ses glaciers, comme d’autres de cette région du Népal, sont soumis à une fonte drastique, et les chiffres sont édifiants…

L’Everest, le plus haut sommet du monde, culmine à 8.848 m au-dessus du niveau de la mer. Ce pic pyramidal dispose de trois versants sur lesquels s’épanchent trois glaciers. S’ils sont les plus hauts glaciers du monde, ils sont tout de même confrontés à une fonte considérable. En moyenne, les glaciers de cette région du Népal ont rétréci de 13 % ces 50 dernières années. En outre, leur ligne d’équilibre, qui délimite deux parties du glacier, est remontée de 180 m. Cette frontière sépare la zone d’accumulation (en amont), où les précipitations neigeuses sont plus importantes que la fonte, de la zone d’ablation (en aval), où le glacier perd de sa masse. Le recul de cette ligne signifie donc que la partie haute du glacier s’est réduite au profit de la zone d'ablation...

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Google Timelapse : 30 ans d'évolution de la Terre en vidéo satellite

Quand la Nasa s’associe entre autres avec Google pour traiter ses images satellite, le résultat est surprenant. Grâce au projet Timelapse, il est désormais possible d’observer les changements survenus ces 30 dernières années à la surface de notre planète. Une seule conclusion s’impose : l’Homme ne cesse de modifier son environnement, comme en témoignent le verdissement des déserts saoudiens ou la déforestation en Amazonie.

Seize jours, voilà le temps qu’il faut aux derniers satellites du programme Landsat pour réaliser une couverture complète de notre planète (à 705 km d’altitude), donc pour la photographier dans son intégralité. Depuis 1972, l'année du lancement de ce programme de la Nasa soutenu par l’USGS (United States Geological Survey), plusieurs millions de clichés ont donc été récoltés. Ils fournissent souvent de précieuses informations, mais uniquement pour un lieu et un moment bien précis. La mise en relation de ces données figées, pour retracer l’évolution d’une région, peut s’avérer laborieux. Or, les choses viennent de changer et de s’animer...

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Dossier : les symétries, clés pour décrypter l'univers

Découvrez le dossier « L'élégante efficacité des symétries ». Présentes aussi bien dans la nature que dans les réalisations humaines, les symétries constituent autant un moyen de comprendre le monde qu’un élément esthétique et philosophique. Découvrez les différentes facettes de ces clés de compréhension de l’univers.

Les symétries sont au cœur de la physique et des mathématiques. En saisissant l’essentiel, elles nous aident par exemple à comprendre les propriétés qui émergent à grande échelle quand un nombre important d’éléments interagissent...

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Une tablette à stylet peut remplacer les cahiers de classe, dixit Sony

Un prototype de tablette fine et très légère, dotée d’un écran à encre électronique, est actuellement à l’essai dans des universités japonaises. Sony veut ainsi tester le concept d’un outil scolaire qui remplacerait les livres et les cahiers.

À peine plus épais qu'un bloc-notes, l'appareil extraplat – 6,8 mm d'épaisseur – de Sony a les dimensions d'une feuille A4 et ne pèse que 358 g. Il embarque une mémoire de 4 Go, et dispose d'une fente pour une carte micro SD. Son écran de 13,3 pouces (environ 33,8 cm de diagonale) est doté d’une résolution de 1.200 x 1.600 pixels. Il est à encre électronique, c’est-à-dire sans consommation d’électricité hors des modifications d’affichage, comme tous ceux des liseuses électroniques...

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Bientôt des billets de banque équipés de puces RFID ?

Grâce à une technologie de gravure au plasma, des scientifiques américains ont créé des puces RFID suffisamment fines pour être incorporées dans du papier. Un procédé moins onéreux et plus rapide que les méthodes actuelles, qui pourrait être utilisé pour sécuriser des documents officiels et des billets de banque. Explications avec le professeur Val Marinov, le chercheur à l’origine du projet.

L’utilisation de la technologie RFID (radio frequency identification) est assez courante. Elle prend principalement la forme d’étiquettes pour les emballages de produits, de puces insérées dans les cartes bancaires et certains documents, ou encore d’implants utilisés pour le tatouage électronique des animaux domestiques. Mais l’épaisseur incompressible de ce marqueur, composé d’une puce et d’une antenne, fait qu’il est actuellement difficile, voire impossible, d’utiliser la technologie RFID pour sécuriser des documents papier...

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