Une cyberinfiltration de la DGSI révélèe à l'occasion d'un procès<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Défense
kalachnikov
kalachnikov
©Flickr / Reuvenim

Sécurité

Trois terroristes présumés soupçonnés d'avoir préparé un attentat en France

Autant que Hicham El-Hanafi, Hicham Makran et Yassine Bousseria, les trois terroristes présumés jugés sans être passés à l’action, la véritable vedette de ce procès sera « Ulysse », le nom de code du cyberpatrouilleur à l’origine de leur arrestation, qui devrait témoigner sous une identité anonyme souligne Le Monde.

Ce procès serait, selon le quotidien du soir,  le premier à reposer sur une cyberinfiltration menée par les services de renseignement.

A la suite d’un renseignement humain selon lequel l’organisation Etat islamique (EI), chercherait à se procurer des armes, un agent de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) s’introduit, au printemps 2016, dans une boucle Telegram, une messagerie cryptée.

L'histoire est longue est compliquée (il y a même eu deux cyberinfiltrations, la deuxième dans la messagerie Threema mais quelqu'un a bien versé l'argent dans une cache du cimetière Montparnasse pour acheter les armes.

Et les trois hommes ont été finalement arrêtés en novembre 2016.

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !