Le référendum sur l'avenir de la Nouvelle-Calédonie aura lieu dimanche prochain<!-- --> | Atlantico.fr
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Macron en Calédonie
Macron en Calédonie
©LUDOVIC MARIN / AFP

Suspens

Les Calédoniens sont invités à se prononcer sur l'indépendance de leur territoire

Dans une semaine, un scrutin crucial se tiendra dans ce territoire d’outre-mer situé à 16 000 kilomètres de l’Hexagone. Dimanche prochain, quelques 185 000 électeurs devront répondre par oui ou non à cette question : "Voulez-vous que la Nouvelle-Calédonie accède à la pleine souveraineté et devienne indépendante ?" écrit France Info.

Mais le contexte est tendu. Les indépendantistes appellent leurs partisans à ne pas participer au vote.

Ce sera son troisième référendum sur l'indépendance de la Nouvelle-Calédonie, après ceux de 2020 et 2018. Il s'appuiera sur ses 260 délégués –  252 venus de métropole et huit recrutés localement – qui veilleront à ce qu'il n'y ait aucune irrégularité le jour du scrutin.

La Nouvelle-Calédonie vote à nouveau pour son indépendance. En 2018 et en 2020, le camp du Non l’avait emporté avec 56,7%, puis 53,3% des voix ajoute Europe 1.

Si les loyalistes l'emportent de nouveau, l'archipel reste dans le giron de la France. 

En cas de victoire du Oui, l’archipel deviendrait un nouvel État, la "Kanaky-Nouvelle-Calédonie". Le pays se prononcerait sur le choix de sa monnaie et aurait sa propre nationalité. Les transferts financiers qui s’élèvent à environ 1,5 milliard d’euros par an deviendraient caducs, et les relations financières entre la France et le nouveau pays relèveraient de l’aide au développement précise Europe 1.

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