Inflation : où a-t-on le plus de mal à payer ses dépenses contraintes ?<!-- --> | Atlantico.fr
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Un billet de 50 euros, Photo AFP
Un billet de 50 euros, Photo AFP
©ERIC PIERMONT / AFP

Dur dur, le loyer...

Les dépenses contraintes grimpent de 9% par rapport à 2022, grignotant toujours plus le budget des ménages.

Il va falloir se serrer la ceinture : l’inflation est bien partie pour vous coûter encore plus cher dans les mois à venir. Tout du moins… si l’on suppose que la dynamique actuelle sera amenée à se poursuivre. En effet, informe Le Figaro sur son site, la hausse des prix pèse particulièrement lourd sur le budget des ménages, ces derniers temps. Depuis le mois d’octobre 2022, les dépenses contraintes (parfois appelées incompressibles, en cela qu’elles visent à permettre la satisfaction de besoins essentiels tels que le logement, la santé, l’alimentation ou la possibilité de s’habiller…) progressent de 9%. 

Un bon conséquent, à n’en point douter : en moyenne, ces charges représentent désormais 38% du revenu des Françaises et des Français. En tout et pour tout, cela représente environ 1 195 euros mensuels, poursuit le quotidien sur la base des éléments du dernier baromètre CSA Research pour Les Furets. C’est d’ailleurs un record, insistent nos confrères. Sans grande surprise, ce sont les catégories populaires qui souffrent le plus de cet état de fait. Sans oublier, bien sûr, les couples avec deux enfants à charge. Dorénavant, seul un Français sur deux parvient encore à épargner.

Dans les faits, c’est en Île-de-France que les dépenses incompressibles restent le plus élevées, atteignant quelque 1 306 euros en moyenne. Mais comparativement au budget des habitants, c’est en Normandie (44%), dans le Centre-Val de Loire (43%) et dans le Grand-Est (42%) que la situation est la plus difficile.

Le Figaro

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