Clara Gaymard - General Electric sur Alstom : "Il faut laisser à chacun le temps de s’exprimer"<!-- --> | Atlantico.fr
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Pour Clara Gaymard, le traité transatlantique va "permettre aux entreprises de pouvoir exporter aux USA sans repasser par les normes américaines"
Pour Clara Gaymard, le traité transatlantique va "permettre aux entreprises de pouvoir exporter aux USA sans repasser par les normes américaines"
©Radio Classique

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Clara Gaymard était l’invité de Radio classique ce matin. La présidente de General Electric (GE) France faisait la promotion du Forum de la liberté et de la solidarité tenu à Caen pour évoquer les relations franco-américaines. "Nous allons regarder ce qui nous lie dans la relation transatlantique. Cette relation a fondé la croissance du monde contemporain. Mais il ya des risques qui ne sont pas les mêmes que ceux de nos pères il y a 70 ans auparavant." La présidente interroge : "est-ce qu’on n’est pas aujourd’hui en train de vivre avec nos peurs plutôt qu’avec nos valeurs la liberté et la solidarité ?" Sur l’avancée de l’offre de GE sur Alstom, Clara Gaymard est peu loquace se contentant d’indiquer qu’il n’y a pas de problème de calendrier : "il faut laisser à chacun le temps de s’exprimer." Sur le traité transatlantique, Clara Gaymard explique la visée générale de ce document de simplification qui va "permettre aux entreprises de pouvoir exporter aux USA sans repasser par les normes américaines." "C’est juste un traité qui permet plein de bon sens en matière de normes."

Qui a dit ?

"Il va falloir que l’on s’explique, le Medef ne peut pas renier ses engagements comme ça"

Réponse : François Rebsamen sur RTL. Le ministre du Travail était interrogé sur le coup de colère de Geoffroy Roux de Bézieux dans Le Figaro ce matin soulignant "un harcèlement fiscal sans précédent" et  menaçant de sortir du pacte de responsabilité. "Ce n’est pas acceptable d’entendre des remises en causes" lance le ministre. "C’est assez incroyable alors même que le gouvernement fait des efforts sans précédent envers les entreprises. Il va falloir que l’on s’explique, le Medef ne peut pas se promener avec badge "1 million d’emplois" et du jour au lendemain annoncer l’inverse".

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