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Je trouve marrant, même si je glisse aussi <a href="http://www.atlantico.fr/rdv/zone-franche/primaires-seconds-couteaux-qui-se-prenaient-pour-fines-lames-hugues-serraf-2798042.html">dans ce travers</a> à l&#39;occasion, d&#39;entendre tant de gens se plaindre simultanément du trop plein de candidats à la présidentielle et de l&#39;impossibilité d&#39;en sélectionner un avec lequel ils soient vraiment en phase...&nbsp;L&#39;argument contre le trop plein&nbsp;: tous ces types sont des ambitieux cyniques qui ne cherchent qu&#39;une sinécure avec véhicule de fonction et ne connaissent rien à la dure existence des vrais gens qui prennent le métro pour aller à Pôle Emploi ou s&#39;endettent pour acheter un pain au chocolat.&nbsp;L&#39;argument contre le manque de choix&nbsp;: aucun de ces types n&#39;est suffisamment d&#39;accord avec mes propres préjugés et micro-priorités pour que je daigne lui accorder mon suffrage.&nbsp;Il existe pourtant assez peu de pays dont l&#39;offre politique est aussi finement segmentée que la nôtre et où les électeurs se voient proposer plus d&#39;options que sur un stand du salon de l&#39;auto. Ainsi, si vous êtes très très à gauche et que vous pensez que Cuba et le Venezuela sont des modèles qui valent la peine d&#39;être étudiés, vous pouvez arbitrer entre Philippe Poutou, Nathalie Arthaud et Jean-Luc Mélenchon en fonction de critères toujours plus subtils (le NPA est plutôt internationaliste et hidjab-friendly, le Front de gauche est plutôt souverainiste et attaché à la laïcité&nbsp;; pour Lutte ouvrière, on ne sait plus très bien depuis qu&#39;<a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Arlette_Laguiller">Arlette Laguiller</a> sucre les fraises mais vous pouvez toujours investiguer si vous avez du temps).&nbsp;Vous êtes très très à droite, en revanche, et vous avez de la sympathie pour le tout-propre-en-ordre, les marches militaires, la messe en latin et les vaches bien gardées, vous pouvez alors vous laisser séduire par Marine Le Pen, Christine Boutin et Nicolas Dupont-Aignan, voire par <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Renaud_Camus">Renaud Camus</a> et <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/François_Asselineau">François Asselineau</a> s&#39;ils décrochent leurs signatures et que votre marotte à vous c&#39;est le &quot;grand remplacement&quot;.&nbsp;Mais ça, c&#39;est juste la partie radicale de l&#39;offre et il y a tout un tas de propositions pour les plus tièdes. Vous êtes libéral-conservateur et neurasthénique ? Fillon a l&#39;air d&#39;être le bon cheval sur lequel miser. Vous êtes libéral-social et <a class="Colorbox" href="http://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/macron-donne-de-la-voix-pour-que-son-programme-soit-porte-par-ses-soutiens-893671.html" target="_blank">débordant d&#39;enthousiasme</a> ? Macron est le gars qu&#39;il vous faut. Vous êtes du genre à hésiter 15 minutes entre baguette aux céréales et pain complet à la boulangerie ? Il y a Bayrou. Vous décidez d&#39;acheter les deux pour ne pas faire de jaloux ? Il y a le candidat du <a href="http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2017/article/2016/12/14/pour-beaucoup-la-primaire-de-janvier-est-une-sorte-de-pre-congres-interne-au-ps_5048916_4854003.html">Parti synthétique</a>.&nbsp;Pour ne rien dire des verts <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Écologie_politique_en_France#Partis_.C3.A9cologistes_actifs_en_France">de toutes les couleurs</a>, des <a href="http://www.cheminade2017.fr/L-eau-coule-sur-Mars-et-Cheminade-rigole">voyageurs de l&#39;espace</a>, des <a href="http://www.liberation.fr/direct/element/christian-troadec-ex-porte-parole-des-bonnets-rouges-candidat-a-la-presidentielle_34736/">porteurs de bonnet rouge</a> allergiques aux impôts... Je suis d&#39;ailleurs tombé sur <a href="http://candidat-2017.fr/candidats.php">un site attrape-clics qui les recense tous</a> et on dirait la version Web d&#39;un album Panini de vignettes de foot.&nbsp;Et s&#39;il reste encore de la place pour un candidat qui, exactement comme vous, souhaite supprimer l&#39;Isf, doubler le Smic, faire fonctionner les centrales nucléaires à l&#39;énergie solaire, déclarer la guerre à la Chine, autoriser le stationnement en double-file des véhicules diesel et imposer le végétarisme dans les cantines scolaires de villes de plus de 10 000 habitants, le mieux est peut-être <a href="http://www.conseil-constitutionnel.fr/conseil-constitutionnel/francais/liens-de-bas-de-page/contacts/contacts.143.html">de vous engager carrément</a> pour remettre ce pays en conformité avec votre propre vision du bon sens.

Présidentielle : pour un candidat un plus ceci (et un autre un plus cela)

Zone Franche

métro transport en commun

Mais pourquoi les candidats à la présidentielle sont-ils dans le déni ? 

Culture du déni 

Bien pire que l'erreur sur le prix du ticket de métro : mais pourquoi les candidats à la présidentielle sont-ils incapables de comprendre les bouleversements radicaux que vivent leurs concitoyens ?

Candidose

France

Politique

Société

OK, OK, ne vous inquiétez pas, je ne vais pas en remettre une couche sur la nécessité d&#39;aller voter même si c&#39;est le jour des sermons&nbsp;&ndash;à ce stade, ça n&#39;aurait plus beaucoup de sens&ndash; mais plutôt partager une interrogation avec vous.&nbsp;Je me flatte d&#39;être un type raisonnablement intelligent, voyez-vous... En tout cas, je sais utiliser Windows 10 quelques semaines à peine après sa sortie et j&#39;ai lu pas mal de grands auteurs, ce qui est au moins un commencement de preuve, mais je ne parviens pas à me déterminer de façon définitive sur les motivations des leaders d&#39;opinion extrémistes qui servent de surmoi à la gauche &quot;normale&quot; autant qu&#39;à la droite &quot;standard&quot;.&nbsp;Les Marine Le Pen, les Florian Philippot, les Renaud Camus d&#39;une part, les Olivier Besancenot, les Clémentine Autain, les Edwy Plenel d&#39;autre part, eux aussi au moins aussi raisonnablement intelligents que moi (accordons-leur le bénéfice du doute même s&#39;ils sont peut-être sur Mac, qui est plus facile à utiliser), pensent-ils vraiment, en leur for intérieur, toutes les conneries objectives qu&#39;ils débitent de meetings en tribunes et d&#39;éditos en pamphlets ?&nbsp;C&#39;est sûr, il y a toujours la dimension purement égotiste du désir d&#39;exister, de compter, de peser sur l&#39;opinion de ses semblables en énonçant des idées qui décoiffent. L&#39;ambition pure et simple, quoi. C&#39;est humain, après tout&nbsp;: tout le monde veut être aimé, admiré, respecté. Moi le premier.&nbsp;&nbsp;Mais est-ce que Marine Le Pen, cette grosse nana truculente et certainement bonne camarade le week-end, rêve vraiment &ndash;je veux dire vraiment vraiment&ndash; de lever une armée de sans-emplois désabusés et d&#39;ex-skinheads en costume-cravate pour prendre le pouvoir et transformer la France en un petit machin provincial et rabougri où tout le monde va à la messe, ne mange que du jambon et fait 15 gosses parce que le planning familial a fermé et qu&#39;il faut bien occuper les femmes renvoyées dans leurs foyers pour réduire le chômage de toute manière&nbsp;? &nbsp;Elle pense ça pour de bon, la Marine ? Et la perspective de réussir ne lui fiche-t-elle pas un peu les jetons, en vérité ?&nbsp;Et Autain ou Plenel, lorsqu&#39;ils <a href="http://www.causeur.fr/clementine-autain-tariq-ramadan-ensemble-35770.html">font du gringue aux islamistes</a>, passent le féminisme, la lutte contre l&#39;antisémitisme ou la laïcité <a href="https://www.youtube.com/watch?v=FOWu_rW_mfw">par profits et pertes</a>, défendent les pires crapuleries, ils sont sérieux&nbsp;? Lorsqu&#39;ils nous serinent à quel point être blanc, européen et non totalement hostile à l&#39;économie de marché fait de nous des impérialistes esclavagistes (en substance s&#39;entend, il s&#39;agit d&#39;exagérations intentionnelles destinées à appuyer mon argument de façon plaisante, pas de diffamation, je dis ça pour éviter la correctionnelle), est-ce que c&#39;est une conviction ou juste une posture&nbsp;?&nbsp;Est-ce qu&#39;ils rêvent vraiment d&#39;un pays sans passé, où une bonne femme sur deux porterait la burqa et marcherait cinq pas derrière son barbu de mari pour se rendre au magasin d&rsquo;État ayant désormais le monopole de la distribution alimentaire (j&#39;exagère toujours, on se calme&nbsp;!)&nbsp;?&nbsp;Franchement, je n&#39;en sais rien. Peut-être qu&#39;ils y croient vraiment après tout. Ou pas. Peut-être que c&#39;est juste leur truc et que les conséquences potentielles de leur baratin sur le monde réel, ils s&#39;en contrefichent. Ou peut-être que je ne suis finalement pas si intelligent que ça, en fait, et que ça me dépasse même si je suis super à l&#39;aise avec Windows 10 (alors que je n&#39;ai même pas d&#39;écran tactile et que je fais tout au clavier et à la souris).&nbsp;Allez savoir. Bah, j&#39;attendrai la sortie de Windows 11 pour me faire une religion et on en reparle.

Extrémistes de gauche et de droite croient-ils leurs propres balivernes ?

<h3 class="s2">Atlantico : dimanche sera élu le nouveau président de la région Ile-de-France. Quels sont les grands enjeux territoriaux auxquels le nouveau président aura à faire face ?</h3>Laurent Chalard : La région Ile de France, abritant en son sein la quatrième principale ville globale de la planète, fait face à de nombreux enjeux territoriaux dans l&rsquo;optique de préserver la position de Paris sur l&rsquo;échiquier international. En effet, dans un monde globalisé et fortement concurrentiel, il n&rsquo;est pas assuré que deux villes globales puissent coexister en Europe occidentale à long terme. Londres ayant distancé Paris depuis le milieu des années 1990, il s&rsquo;agit désormais pour la région Ile de France de maintenir son rang pour éviter d&rsquo;être reléguée en seconde catégorie, ce qui passe par l&rsquo;amélioration de son fonctionnement interne.Dans ce cadre, deux grands enjeux territoriaux émergent. Le premier concerne la connexion entre les territoires. En effet, la région Ile de France souffre d&rsquo;un engorgement routier chronique et d&rsquo;une qualité insatisfaisante de ses réseaux de transports en commun en passe d&rsquo;étouffer les déplacements, à l&rsquo;origine d&rsquo;une diminution de la productivité des travailleurs franciliens. La congestion déjà impressionnante sur certains axes autoroutiers, avec le plus gros bouchon d&rsquo;Europe quasi-permanent sur l&rsquo;A 86 à hauteur de Maisons-Alfort, et la sur-fréquentation du RER A, ne sont pas digne d&rsquo;une métropole mondiale. Il s&rsquo;agit donc de mener une politique permettant de résorber les principaux points noirs sur le plan routier, ce qui passe forcément par la construction de nouvelles infrastructures, ce qu&rsquo;aucun décideur politique régional ne semble se rendre compte pour des raisons idéologiques. Parallèlement, il s&rsquo;agit de mieux connecter les différents pôles d&rsquo;activités entre eux, dont l&rsquo;aéroport de Roissy, porte d&rsquo;entrée internationale de la région, avec le centre de Paris, mais aussi La Défense, ce qui n&rsquo;est pas prévu actuellement dans le cadre du Grand Paris Express.Le second grand enjeu territorial concerne le maintien d&rsquo;un semblant de cohésion sociale sur l&rsquo;ensemble du territoire régional. En effet, comme les autres villes globales, l&rsquo;économie francilienne se caractérise par une dualisation de son marché du travail, source de tensions, entre d&rsquo;un côté une main d&rsquo;œuvre qualifiée à hauts revenus qui peut choisir son lieu de domicile et de l&rsquo;autre une main d&rsquo;œuvre peu qualifiée au statut bien souvent précaire, qui réside dans les quartiers où le prix du logement est faible, bien souvent très éloignés de leur lieu de travail. Par exemple, de nombreux employés de services du quartier d&rsquo;affaires de La Défense résident en Seine-Saint-Denis&hellip; Si la résorption des inégalités socio-spatiales paraît peu crédible, étant donné les tendances actuelles consécutives de la globalisation, par contre, une politique de &laquo;&nbsp;justice spatiale&nbsp;&raquo;, visant à fournir à chaque habitant du territoire francilien la même qualité de services publics et donc la même chance d&rsquo;accès à une meilleure position sociale, est indispensable pour éviter les explosions sociales que l&rsquo;accentuation du phénomène de dualisation sociale de la régionpourrait produire. Or, à l&rsquo;heure actuelle, c&rsquo;est loin d&rsquo;être le cas, la sécurité, l&rsquo;éducation, voire même la santé, laissant à désirer dans les quartiers populaires d&rsquo;Ile de France.<h3 class="s2">La Parti socialiste est candidat à sa propre succession à la tête de la région via son candidat Claude Bartolone qui brigue la suite de Jean-Paul Huchon, président de la région depuis 1998. Quel est le bilan de l&#39;action de M. Huchon en matière de transports et d&#39;aménagement du territoire ? A-t-il atteint les objectifs de son programme de 2010 ? Si non, pourquoi ?</h3>Sur le plan des transports, le bilan apparaît en demi-teinte. Au niveau des transports en commun, l&rsquo;amélioration est certaine, la plupart des objectifs du plan de mobilisation (modernisation des RER, mise en services de trains neufs, création de six nouveaux tramways&hellip;) et des actions concernant la tarification (comme le dézonage le week-end) du programme de 2010 ont été réalisés ou sont en cours de réalisation. Seule l&rsquo;ouverture de certaines lignes de métro et de RER la nuit n&rsquo;a pas été mise en place. Si la situation demeure largement insatisfaisante, les édiles régionaux ont globalement tenu leurs promesses. Par contre, sur le plan routier, la situation est catastrophique, la congestion du réseau autoroutier et du réseau routier secondaire ne faisant qu&rsquo;empirer, les bouchons n&rsquo;étant désormais plus rares en-dehors des heures de pointe. Le moindre incident a des conséquences globales, étant donné l&rsquo;absence d&rsquo;itinéraires de délestage dignes de ce nom en banlieue. Cette situation est due au poids des écologistes dans l&rsquo;exécutif régional sortant, qui ont empêché les investissements routiers, alors que les embouteillages sont l&rsquo;une des principales sources de pollution en Ile de France. Une politique sérieuse doit mêler investissements routiers et ferroviaires.Sur le plan de la politique du logement, principal outil pour agir sur les inégalités socio-spatiales en Ile de France, le bilan de l&rsquo;exécutif régional est très mauvais. En effet, les objectifs fixés concernant le pourcentage de logements sociaux (30 % dans chaque commune) n&rsquo;ont pas été atteints.De nombreuses communes se situent encore en-dessous du seuil de 20 %, qui avait été fixé par la loi SRU de 2000, mais c&rsquo;était prévisible, l&rsquo;objectif affiché étant irréaliste dans un laps de temps aussi réduit. Sur le plan du nombre de logements, la construction ne redémarre pas, on reste en-dessous des 40&nbsp;000 nouveaux logements par an alors qu&rsquo;on en annonçait entre 60&nbsp;000 et 70&nbsp;000&nbsp;! On est donc très loin des objectifs affichés. De même, le programme de 2010 prévoyait la mise en place d&rsquo;une autorité organisatrice du logement, qui n&rsquo;a pas vu le jour. Dernier exemple de l&rsquo;échec de la politique de logement engagée sous la mandature de Jean-Paul Huchon, la région annonçait la construction de vingt nouveaux écoquartiers par an, or ce n&rsquo;est pas le cas, puisque beaucoup d&rsquo;entre eux ont pris du retard et certains, comme celui des Temps Durables à Limeil-Brévannes, sont des fiascos. A l&rsquo;arrivée, en 2015, les inégalités socio-spatiales se sont renforcées.<h3 class="s2">Le candidat socialiste Claude Bartolone a présenté un projet de 156 pages contenant 160 propositions. Quelles différences et similitudes concernant les enjeux territoriaux peut-on observer comparé au programme de Jean-Paul Huchon en 2010 ?</h3>Etant donné que Claude Bartolone s&rsquo;inscrit dans le prolongement de la politique menée par son prédécesseur, Jean-Paul Huchon, il est plutôt assez logique que son programme affiche de nombreuses similitudes avec celui de son prédécesseur, s&rsquo;inscrivant plus dans la poursuite des actions engagées que dans une logique de rupture conduisant à un changement de priorités à l&rsquo;arrivée.Les similitudesentre les deux programmes apparaissent donc très nombreuses, en particulier sur le plan du logement, avec une reprise des propositions qui n&rsquo;ont pas abouti dans la mandature précédente,comme le fait de faire respecter la part des 25 % de logements sociaux par commune (objectif plus modeste, mais aussi plus réaliste, qu&rsquo;en 2010), une nouvelle proposition d&rsquo;une autorité organisatrice du logement, ou l&rsquo;absence de subventions de la région pour les communes qui ne respecteraient pas le quota de logements sociaux. Sur le plan des transports, il en va de même pour l&rsquo;objectif des transports fonctionnant 24H/24H, du passNavigo+ et de la modernisation du réseau ferroviaire francilien et des trains.Il se signale cependant quelques différencesconcernantsurtout les transports.La plupart des objectifs ayant été atteints dans la mandature précédente, de nouvelles propositions émergent, en particulier l&rsquo;automatisation, perçue comme la panacée pour assurer une meilleure régularité et ponctualité des transports en commun franciliens. Etant donné le contexte sécuritaire actuel, le programmemet aussi en avant la sécurité, à travers la proposition de l&rsquo;instauration d&rsquo;une police des transports. Sur le plan routier, le programme de Bartolone prend conscience de la saturation du réseau routier francilien, en proposant de faire sauter les bouchons dans la région, mais sans propositions concrètes. Cela semble relever plus du discours que de l&rsquo;action, étant donné la faible place réservée aux transports routiers dans le dernier contrat de plan état-région, auquel Claude Bartolone fait référence pour appuyer cette politique.

Huchon

Ile-de-France : et au fait, qu’en est-il des promesses de la gauche en 2010 ?

Quinquennat sortant

 Ile de France : et au fait, qu’ont donné les promesses faites par la gauche lors des régionales de 2010 ?

Crise de foi

Style de vie

Extrémistes de gauche et de droite croient-ils vraiment en leurs propres balivernes ?