Contenus en rapport avec le mot-clé extrême-droite

Le sommet européen organisé cette semaine entre les chefs d’États européens et la Commission est l'occasion d'un débat sur les moyens d'enrayer la montée des extrême-droites eurosceptiques.

Une enquête annuelle intitulée « Fractures Françaises » et réalisée par Ipsos pour Le Monde vient de révéler une mutation politique en France ces dernières années : la droite du Rassemblement National domine les intentions de vote des Français.

Délits d’opinion sévèrement réprimés d’un côté, sabotages d’infrastructures critiques impunis de l’autre : le criminologue Xavier Raufer dresse pour Atlantico un tableau sans concession d’une justice française frappée de déséquilibres. Une plongée sans filtre dans les mécanismes d’un "deux poids, deux mesures" qui s’installe durablement dans l’opinion.

Alors que les états-majors des partis de droite se montrent toujours frileux à l’idée d’un rapprochement, la base électorale, elle, semble prête à franchir le pas.

Lorsque l'on fait le compte des affaires touchant l'extrême gauche et l'extrême droite ainsi que des sentences prononcées par les juges, il est difficile de ne pas y voir une tendance, et un deux poids deux mesures.

Le parti d’extrême droite Alternative pour l’Allemagne (AFD) a, pour la première fois, pris la première place à l’échelle nationale dans un sondage YouGov, publié mercredi 17 septembre.

En qualifiant CNews de « chaîne d’extrême droite » dans un entretien au Monde, Delphine Ernotte a franchi une ligne rouge que ses prédécesseurs n’avaient jamais osé franchir. La présidente de France Télévisions a choisi l’offensive frontale face à la chaîne de Vincent Bolloré, secouant un paysage audiovisuel déjà polarisé et déclenchant une tempête politico-médiatique aux répercussions incertaines.

Les propos accusateurs de la présidente du groupe France Télévision portés à la chaîne CNews l'accusant d'être d'extrême droite sont le dernier avatar du climat tendu entre médias publics et le groupe Bolloré.

La manifestation du 18 septembre cristallise déjà les craintes de violences. Entre polarisation croissante et légitimation implicite de certaines formes de brutalité, jusqu’où la violence peut-elle encore être perçue comme une continuation de la politique ?

La capitale britannique a connu ce samedi l’une des plus vastes manifestations d’extrême droite de ces dernières années. Jusqu’à 150 000 personnes ont défilé dans les rues de Londres à l’appel de Tommy Robinson, figure controversée de la mouvance nationaliste et anti-islam.

Un Lyonnais s’affichant en soutien à l’État islamique a menacé de décapitation un internaute lors d’un live TikTok, une séquence devenue virale et qui interroge sur la surveillance des contenus radicaux en ligne.

Les scrutins en France et en Pologne en 2027 inquiètent les dirigeants allemands.

Malgré des tensions palpables au sein de la majorité dite « pro-européenne », la présidente de la Commission européenne devrait conserver le soutien nécessaire des eurodéputés à Strasbourg et éviter le scénario du pire.

La chambre basse néerlandaise vient d’adopter, sous l’impulsion de Geert Wilders, un train de réformes qui suspend indéfiniment les nouveaux permis de séjour, raccourcit les titres temporaires et criminalise le séjour irrégulier.

Selon le journal Le Monde et plusieurs médias allemands, le RN et ses alliés sont suspectés d'avoir "indûment dépensé" plus de 4,3 millions d'euros entre 2019 et 2024, d’après un rapport de la direction des affaires financières du Parlement européen.

A l’approche du 8 juillet, date à laquelle Emmanuel Macron retrouvera la possibilité de recourir à une nouvelle dissolution, Marine Le Pen met en garde les députés du RN qui doivent se tenir prêt à de potentielles nouvelles élections.

En Allemagne, un programme censé défendre la démocratie a subventionné des organisations aux discours antisémites et islamistes. Un scandale révélateur d’un système devenu aveugle à ses propres dérives.

Le Sommet des Libertés a réuni à Paris une large palette de personnalités issues des droites françaises. Une alliance durable autour des libertés est-elle en train d’émerger, ou s’agit-il d’un mirage idéologique ?

Les autorités allemandes ont publié un rapport faisant état d'une forte augmentation des crimes extrémistes à motivation politique.

Geert Wilders a annoncé mardi 3 juin le retrait de son parti d’extrême droite, le PVV, de la coalition en cours de formation aux Pays-Bas, invoquant un désaccord majeur sur la politique migratoire.