Contenus en rapport avec le mot-clé drônes

Alors que la menace des drones ne cesse de croître sur les champs de bataille modernes, Israël affirme avoir franchi un cap technologique avec son système de défense laser Iron Beam, capable de neutraliser des cibles pour moins de 5 dollars l’unité. Une révolution à courte portée, mais à fort potentiel stratégique et économique, qui remet en question les modèles actuels de défense aérienne.

Des insectes qui replient leurs ailes ; un protiste au cou semblable à un accordéon — l’étude de ces plis ingénieux pourrait inspirer des structures pliables pour les drones.

L’intelligence artificielle et les drones menacent la suprématie furtive des sous-marins. Longtemps indétectables, ces géants des profondeurs pourraient bientôt ne plus avoir d’endroits où se cacher. Des réseaux de capteurs interconnectés, des navires autonomes et des algorithmes prédictifs redessinent en profondeur la guerre sous-marine, faisant de l’océan un espace de plus en plus transparent.

Alors que les incursions aériennes se multiplient à ses frontières, l’Europe prend conscience de sa vulnérabilité face à la guerre moderne. Entre tensions croissantes, provocations russes et divisions politiques internes, le projet d’un “mur antidrones” symbolise la réponse d’un continent encore en quête d’unité et de préparation.

De l’Allemagne à la Belgique, les incursions de drones non identifiés se multiplient sans réponse claire des autorités. Alors que les survols gagnent l’ouest du continent, les États européens peinent à coordonner leur réaction et à garantir la sécurité de leurs espaces aériens. Une série d’incidents qui met en lumière l’impréparation des dispositifs de surveillance face à des menaces hybrides et insaisissables.

Les attaques de drones ukrainiens contre plusieurs raffineries russes depuis l’été provoquent d’importantes pénuries de carburant dans certaines régions du pays. À Khabarovsk, en Extrême-Orient, ou en Crimée, les files d’attente s’allongent et les prix flambent.

Réunis à Copenhague pour deux jours de discussions, les dirigeants européens doivent répondre aux attentes croissantes de leurs partenaires sur la mise en place d’une véritable défense commune, face aux incursions répétées d’aéronefs russes en Europe. Alors que les débats sur un mur anti-drones et sur l’aide à l’Ukraine se poursuivent, la lenteur des décisions européennes suscite des critiques au sein même de la Communauté politique européenne.

Stationné depuis plusieurs jours au large de Saint-Nazaire, le pétrolier russe Pushpa, appartenant à la « flotte fantôme » soupçonnée de financer l’effort de guerre de Moscou, intrigue les autorités françaises. Alors qu’une enquête judiciaire est ouverte et que des militaires sont montés à bord, la question se pose : jusqu’où la France peut-elle agir contre un navire étranger se trouvant hors de ses eaux territoriales mais suspecté d’activités hostiles ?

Des lumières rouges et bleues dans le ciel, des vols retardés, l’Otan alertée : le Danemark vit depuis plusieurs semaines au rythme d’observations mystérieuses de drones. Si l’origine de ces appareils reste incertaine, leur présence réveille de vieux réflexes de crainte face à l’œil invisible du pouvoir.

La soirée de lundi a été marquée par une paralysie inhabituelle dans les airs au-dessus de Copenhague et d’Oslo. Trois à quatre drones de grande taille ont été signalés près des aéroports, provoquant la fermeture temporaire des deux plateformes et le déroutement d’au moins quinze vols. Les autorités danoises parlent d’un « acteur compétent » à l’origine de l’incident, mais dont l’identité reste inconnue.

Depuis plusieurs mois, la Pologne se trouve sous une pression hybride inédite : drones russes franchissant sa frontière, tentatives massives de piratage d’hôpitaux et des réseaux d’eau potable, sabotages silencieux d’infrastructures essentielles...

Entre agressions de policiers, homicides liés au narcotrafic et quartiers en proie à la loi des gangs, la France semble prise dans une spirale de guérilla urbaine. Description d'un pays au bord de la rupture, où l’autorité de l’État vacille face aux féodalités criminelles.

L’incursion de dix-neuf drones russes dans l’espace aérien polonais marque un test inédit des défenses de l’OTAN et révèle la volonté de Moscou de pousser toujours plus loin ses provocations.

L’Ukraine a vécu l’une des nuits les plus violentes depuis le début de l’invasion russe. Dans la nuit de samedi à dimanche, la Russie a tiré 823 drones et missiles sur le pays, une attaque d’une ampleur inédite. Si la défense aérienne ukrainienne affirme avoir abattu la majorité des engins, plusieurs ont atteint leur cible, notamment à Kyiv, où pour la première fois le siège du gouvernement a été endommagé. Un signal hautement symbolique, qui a coûté la vie à au moins deux personnes, dont un nourrisson, et relance la pression internationale pour un durcissement des sanctions contre Moscou.

Malgré les pourparlers de paix organisés à Washington, l’érosion de l’armée ukrainienne et la dépendance européenne aux États-Unis laissent planer le risque d’un conflit prolongé avec la Russie.

Les essaims de drones russes transpercent désormais les défenses ukrainiennes à un rythme record jamais atteint auparavant.

Sur le front ukrainien, la guerre se joue désormais comme un jeu vidéo : casques VR, manettes et drones FPV comptabilisent en temps réel chaque blindé détruit. Cette « gamification » récompense les meilleurs opérateurs, réoriente aussitôt les ressources et réinvente la hiérarchie militaire classique.

L’Ukraine a fait face à une nouvelle attaque record russe. Plus de 530 drones et missiles ont été lancés.

Les drones les plus récents utilisés en Ukraine par la Russie sont remplis de composants chinois et sont notamment équipés d'antennes fabriquées en Chine, selon la direction générale du renseignement du ministère de la Défense de l'Ukraine.

La start-up franco-allemande Helsing, spécialisée dans les technologies de défense, a réussi une percée remarquée : faire voler un avion de chasse suédois sans aucune intervention humaine. Lors de cet essai, l’appareil a également procédé à une simulation de tir de missile, démontrant ainsi les capacités avancées de son système d’intelligence artificielle.