Contenus en rapport avec le mot-clé censure

Alors que le futur gouvernement conduit par Sébastien Lecornu prépare son premier budget, le député RN Jean-Philippe Tanguy a déclaré mardi sur TF1 que son parti ne voterait pas de motion de censure si le texte prévoyait des baisses d’impôts ciblées sur les classes moyennes et populaires, ainsi qu’une réduction effective des dépenses publiques.

À l’approche du remaniement et alors que les négociations budgétaires entrent dans leur phase décisive, le Premier ministre Sébastien Lecornu tente de sceller un accord politique avec Les Républicains. Objectif : bâtir une majorité de travail stable autour d’un contrat de gouvernement écrit, sans céder ni à la gauche ni à l’extrême droite. Mais entre exigences économiques, régaliennes et fiscales, la droite fixe ses lignes rouges et attend désormais des garanties concrètes.

Une fuite massive de données nous révèle le fonctionnement interne du système chinois de censure d'Internet. Avec plus de 500 Go de documents sensibles, cela représente la plus grande fuite de documents internes de l'histoire, fournissant un aperçu sans précédent de l'appareil de surveillance numérique chinois.

Sébastien Lecornu a les mêmes objectifs que ses prédécesseurs : échapper au populisme et restaurer les conditions de la croissance. Sa méthode est un peu différente mais, politiquement, le pari paraît impossible.

Alors que les négociations budgétaires entrent dans leur phase décisive, l’exécutif cherche un compromis avec la gauche sur une mesure symbolique : le retour d’un impôt sur la fortune. Entre la très controversée « taxe Zucman » et un « ISF nouvelle génération », les contours de cette future contribution sur les hauts patrimoines commencent à se dessiner.

Les tentatives actuelles d'interdiction de l'AfD représentent un phénomène sans précédent : une élite dirigeante tente d'éliminer son opposition principale pour préserver son propre pouvoir.

Revenu dans son fief béarnais après son éviction de Matignon, François Bayrou refuse de tirer sa révérence. À 72 ans, le président du MoDem veut croire à une nouvelle vie politique, entre ambitions locales, rôle au sein de la majorité et tentation présidentielle. Mais autour de lui, scepticisme et lassitude dominent.

Les socialistes ont été reçus ce mercredi par le Premier ministre Sébastien Lecornu à Matignon, mais leurs attentes n’ont pas été satisfaites. Selon Olivier Faure, le chef du gouvernement est resté vague sur ses intentions, laissant planer l’incertitude sur les mesures qui seront prises face aux priorités du Parti socialiste.

Un livre explosif, Les Complices du mal d’Omar Youssef Souleimane, accuse La France insoumise de liens avec des réseaux islamistes. LFI a tenté d’en bloquer la parution, déclenchant une polémique nationale.

À la veille des discussions budgétaires, le Parti socialiste fait monter la pression sur le gouvernement. En position de force face à un exécutif sans majorité solide, les socialistes réclament des concessions majeures à Sébastien Lecornu. Le Premier ministre temporise, mais le risque d’une censure à l’automne plane déjà sur Matignon.

Alors que les consultations vont bon train autour du Premier Ministre pour former un gouvernement susceptible d'échapper à la censure par l'assemblée nationale, les pressions sont maximales autour de la majorité présidentielle. François Hollande a appelé à un compromis avec le PS, tandis que le RN, par la voix de son porte-parole annonce la censure comme "très probable", appelant Sébastien Lecornu à ne "pas faire de macronisme".

Sélectionné par Emmanuel Macron dès ce mardi 9 septembre, Sébastien Lecornu, 39 ans, ancien ministre des Armées, succède à François Bayrou avec la charge urgente de rétablir une « stabilité politique et institutionnelle » à un moment où la France traverse une crise politique sans précédent.

Présentée comme un rempart pour la liberté des médias, la nouvelle loi européenne soulève au contraire des craintes : sous couvert de pluralisme, elle pourrait ouvrir la voie à la surveillance et à l’autocensure.

Comptant mettre sur la table d'autres propositions d'économies, le Rassemblement National entend viser le coût de l'immigration ou les contributions de la France au budget européen.

Alors que les Pays-Bas se préparent à des élections anticipées, les régulateurs européens accentuent la pression sur les principales plateformes pour qu'elles contrôlent le contenu en ligne, soulevant de nouvelles questions quant à savoir qui décide du contenu accessible aux électeurs.

Au nom de la lutte contre « fraude » et « sabotage », la Russie bride les appels via WhatsApp et Telegram. Après Facebook/Instagram bloqués, YouTube accessible seulement via VPN et une loi contre la promotion des VPN, le bâillon numérique se resserre.

Le Digital Services Act européen est-il en train de dériver vers une censure idéologique mondiale, au risque de fragiliser la liberté d’expression jusqu’aux États-Unis ?

La justice française enquête sur X pour manipulation algorithmique et extraction frauduleuse de données. Mais le choix de David Chavalarias, figure militante anti-X, comme expert judiciaire interroge.

En à peine deux mois, la police de Lanzhou a convoqué une cinquantaine de jeunes femmes pour « obscénités commerciales » : au-delà de 10 000 vues ou 50 000 yuans de recettes, les romances homo-érotiques qu’elles publient basculent dans le pénal.

Les révélations des Twitter Files, rendues publiques après le rachat de la plateforme par Elon Musk, ont mis en lumière des pratiques de modération douteuses, des pressions politiques et des collusions avec des agences comme le FBI. Ces révélations permettent de s’interroger sur la manière dont l’Europe, via le Digital Services Act, a institutionnalisé une forme de censure douce, mais redoutablement efficace.