Macron, l’homme qui horrifie les fonctionnaires du Trésor…et pourrait ressusciter LR; Ces français musulmans qu’on abandonne aux islamistes ; Glucksmann atteint du syndrome Jadot; Bardella contrôle tout, Ciotti consulte…et Hanouna et Bayrou vers 2027<!-- --> | Atlantico.fr
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Revue de presse des hebdos.
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Revue de presse des hebdos

Aussi à la Une de vos hebdos : le Nouvel Obs explore l'Amérique de Trump en sillonnant la “verticale du vide” formée par les Etats du centre, “pays conservateur et déclassé”. Une fracture géographique qui aggrave la guerre culturelle entre Républicains et démocrates. L’Express s’interroge sur l’utilité de l’ONU : le multilatéralisme est en panne, et l’ONU n’inspire plus confiance, particulièrement au “Sud global.” Pourtant, “sans les compromis obtenus par l’ONU, les risques de conflits augmenteraient encore.” Un moindre mal dont les opinions publiques ne se contentent pas, tant l’obstruction, en particulier russe, est grande. Mais la chasser du Conseil de sécurité semble vain : il vaut mieux “garder les grandes puissances au sein du système et éviter qu’elles ne se fassent la guerre.”

Alice Maindron

Alice Maindron

Alice Maindron a enseigné la philosophie à vos chères têtes blondes, et a sévi dans le conseil et la formation. 

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Macron : le déni de la dette

On aura tout lu et tout entendu ces derniers temps sur la dette, les responsabilités des gouvernants depuis 40 ans. Cette fois-ci Le Point cible Macron et en fait “l’homme aux 1 000 milliards de dette”.Sous sa présidence “l’endettement du pays a explosé, avec 3 100 milliards d’euros atteints en fin d’année dernière, soit 110,6 % du PIB.” Loin, très loin de ses propos de ministre de l’Economie, pour qui la dépense publique, “ça n’est plus possible… Parce que c’est reporter le problème sur les générations à venir […]. Et c’est avoir une forme de discours irresponsable quand on croit à l’Europe”,

Pour les spécialistes de Bercy, le discours actuel sur les recettes “moins importantes que prévu” est un “artifice” classique en période de difficulté budgétaire, et “il a fallu tordre le bras à Emmanuel Macron en personne pour lui soutirer ce plan de 10 petits milliards d’euros d’économies (une paille, pourtant, au regard des 50 milliards d’économies recommandés par la Cour des comptes et des 154 milliards de déficit enregistrés en 2023).”

Car la dette est “comme un impensé de son logiciel”, et “tous ceux qui ont eu la charge de la gestion des comptes de l’Etat” : le président n’a que faire des finances publiques et du dogme de l’équilibre budgétaire !”

Une indifférence qu’il attribue à sa pensée économique : “comme tout néokeynésien qui se respecte, Emmanuel Macron ne croit qu’à la croissance, aux vertus du plein-emploi pour soutenir l’économie.” d’où l’absence d’une réforme d’ampleur de l’Etat, puis la dérive des dépenses après la crise des Gilets Jaunes. et “tout le monde s’est félicité du “quoi qu’il en coûte”. Mais ça a trop déresponsabilisé la société”, affirme un ministre. L’argent magique, c’est 25% de dépenses de l’Etat en plus entre 2019 et 2023, à tel point, affirme l’hebdo que “des hauts fonctionnaires ont quitté le Trésor, horrifiés par les dépenses”.

Car l’enjeu est de taille : “il s’agit d’établir et de respecter une trajectoire budgétaire crédible. En traitant enfin les problèmes structurels”, tels que les retraites. Pour l’hebdo, et avec lui un ancien inspecteur des finances, il y a dans les comptes publics “un gros mensonge à la ligne Vieillesse, notre plus gros poste budgétaire : contrairement au dire du gouvernement, nos caisses de retraite n’étaient pas excédentaires de 4,4 milliards d’euros en 2022, mais elles affichaient 68 milliards de déficit.” En cause, “le transfert de ressources de l’État ou de branches de la Sécu (famille, chômage, maladie), grâce à des jeux de tuyauterie financière.” Des subventions qui équilibrent les régimes de retraite (pour la moitié, celui des fonctionnaires : 34,8 milliards d’euros), mais qui n’apparaissent pas dans les rapports du COR, malgré les protestations de François Bayrou en 2023, et qui ont permis le passage de la réforme Borne. Une entreprise “serait sanctionnée par les autorités des marchés pour des comptes publiés non sincères.”

La dette et l’honneur des LR

Un “prétexte idéal” pour censurer le gouvernement s’offre à LR : le parti pourrait bien déposer une motion de censure, et avec succès, lors du prochain texte sur le budget : aux yeux du Point,  c’est la “raison pour laquelle Attal a opté pour la voie réglementaire afin de procéder au plan d’économies de 10 milliards d’euros.”

En jeu, leur honneur : “les Républicains ont été humiliés à trois reprises depuis 2022” : pas d’accord de gouvernement, une loi immigration faussement négociée et censurée par le Conseil constitutionnel, la nomination de Rachida Dati… “Quand vous humiliez les gens, au bout d’un moment, ils se rebiffent. Donc ça va péter”, prédit un cadre LR.

Macron serait “lucide sur la question, mais pas affolé” : Attal sauterait, mais “nul ne sait si le président décidera d’enclencher une dissolution de l’Assemblée”.

Pour l’éviter, LR pourrait se voir proposer “un « deal », une coalition ou un pacte de gouvernement” après les européennes, qu’il ne pourrait pas refuser en cas d’échec aux élections… Pour un sénateur, “il va falloir une assise politique pour procéder aux économies. Le président doit anticiper le budget. Et le premier qui discutera d’un accord, c’est Éric Ciotti !”

Justice restaurative : responsabiliser les coupables, aider les victimes

La Croix-L’Hebdo livre un intéressant dialogue entre une victime et son agresseur, pour nous faire découvrir de l'intérieur la justice restaurative : on y suit la fille d'un condamné pour violences intrafamiliales et son père qui a demandé à intégrer le dispositif, durant l’année où chacun, grâce à une médiatrice, a pu mettre en mot son histoire, et s'est préparé à rencontrer l’autre. Le dispositif, récent en France, vient compléter le procès pénal et permet à l'auteur de l'acte et à sa victime d'échanger sur les faits et leurs répercussions : “comment s'exprime la douleur ? Comment s’avoue la culpabilité ? quid de l'ambivalence des sentiments vis-à-vis de son agresseur ? Quelle place pour le pardon ou l’oubli ?”

Un dispositif qui permet de responsabiliser les coupables, “ce qui, in fine, aide aussi à sa réintégration dans la société,” et d'aider les victimes à se reconstruire : “je voulais me confronter à ce que j'avais fait, comprendre comment j'en étais arrivé là.”  Sa fille voulait” surtout attraper mon père par le colbac et lui dire: “ maintenant tu m'écoutes et t’assumes.” Leur échange s’est noué par écrit tout d’abord, grâce à la médiatrice : découvrir les mots de l'autre, les digérer et les interpréter ne peut se faire sans tiers, qui permet aussi de répondre sans tricher : ”mettre des mots sur les sentiments est crucial,” même si c'est difficile et que chacun cherche parfois à échapper à l'exercice. En vue, “la recherche de l'apaisement des deux côtés”, un apaisement que la jeune fille a eu du mal à entendre au départ, et on la comprend. Mais “elle ne peut s'empêcher d'espérer quelque chose de son père. Comme si elle l'aimait en dépit de lui-même.” Un processus qui permet à chacun d’évoluer.

Restaurer le lien n'est pas une fin en soi, et le choix de l'un ou de l'autre de se rencontrer est toujours respecté. Ici, elle a eu lieu dans une “sécurité émotionnelle”, avec pour enjeu non de pardonner, mais de pouvoir s'expliquer comment il en est arrivé là : “une discussion, pas une confrontation”.

”Il n'y a rien de naturel à faire se rencontrer deux personnes en conflit” : l'idée de la justice restaurative peut choquer. Elle est donc volontaire, et nécessite la reconnaissance des faits par leur auteur. Les personnes qui se rencontrent peuvent ne pas être concernées par la même affaire, et la justice restaurative n’a pas vocation à se substituer à la justice pénale : totalement indépendantes l'une de l'autre, l'une verrouille la parole dans le cadre de la procédure, et l'autre cherche au contraire sa sincérité, le face-à-face des consciences. Une dignité retrouvée, la possibilité de tourner la page. Ici, père et fille “prévoient de passer quelques jours ensemble à la mer prochainement.”

Le conflit de loyauté des populations musulmanes

Kamel Daoud trouve les mots pour dire mieux que quiconque “la déchirure”, le conflit de loyauté qui traverse les communautés maghrébines musulmanes, “sommées atrocement de choisir entre une mémoire et une terre.”

Il analyse dans Le Point la “double solitude de la mère de Samara”, la collégienne agressée à Montpellier, que d’aucuns ont pris pour un double discours. Deux fois, la mère a pris la parole  la première pour dénoncer l’attaque contre la façon de vivre de sa fille (“elle s’habille à l’européenne”), dire “la solitude de ceux qui déclarent « non » à la prise d’otage communautaire”. Lors de la seconde, elle “fit acte de repentance et de contrition communautaire,” en lisant un texte pétri de la rééducation culturelle communautaire : non à la récupération, non à la stigmatisation de la communauté d’origine”, sur fond d’instrumentalisation. Daoud voit plus loin et décrypte, pour les imbéciles : “il s’agit deux fois de la même déclaration : on a peur.” Peur de la loi communautaire, à laquelle elle est sommée de se soumettre : “Au fond, elle a affirmé qu’il y a deux lois en France parfois, et que l’une d’elles apparaît plus forte et menaçante que l’autre.” Et dans ce fait divers, il constate que “le rapport de force n’est pas en faveur de la République, mais de ceux qui s’y opposent. Ils peuvent agresser, frapper, imposer leur loi et dicter les textes.”

La guerre identitaire remplace la lutte des classes

Pour Marianne, qui consacre son dossier à la guerre identitaire, la fragmentation de la société va de pair avec l’affaiblissement du modèle universaliste : “tous unis dans la détestation de la « République une et indivisible » et de ses lois”,

Face à l’attaque, l’hebdo rappelle le mot de Jaurès, pour qui “la République restera laïque parce qu’elle aura su rester sociale”, mais n’oublie pas que “penser qu’une politique économique plus généreuse pourrait tenir lieu de réponse unique face à la catastrophe qui menace” est aussi une posture dont on a vu les limites. D’autant que, “loin du référentiel socio-économique de leurs aînés, les jeunes se politisent à partir des questions culturelles.” Le rapport à la diversité, au genre, à l’autorité., autant de marques du “délaissement de la critique du capitalisme qu’on pouvait encore observer il y a vingt ans” selon un sociologue.

Comment lutter contre les réflexes mécaniques, les instrumentalisations politiques de ces conflits ? L’hebdo cherche des solutions… à échelle interindividuelle : des profs qui prennent le temps de “construire un rapport de confiance avec les élèves”, qui  permet, à un moment donné, “de faire de l’humour, de faire montre d’ironie, même avec la religion.” Des profs qui font vivre leur prestige, ne cherchant pas à ressembler aux élèves. Une pratique de la laïcité “qui ne nie pas les identités mais les relativise”. Avec pour horizon la distinction entre identité et appartenance. Au boulot.

Quel rôle pour l’Europe dans le conflit israélo-palestinien ?

Pour l’essayiste et ancien ambassadeur de la Palestine à l’Unesco Elias Sanbar, militant de la paix, “Israël s’est trahi lui-même, par sa réaction à l’attaque du 7 octobre. Il n’a pas trouvé autre chose à faire que de se venger sur un peuple entier.” Et va vers le gouffre, comme le titre le Nouvel Obs, car “c’est la première fois qu’Israéliens et Palestiniens se retrouvent en tête à tête : dans toutes les autres guerres, les pays voisins étaient parties prenantes.” Il appelle à une reconnaissance de l’Etat palestinien : “jusque-là, l’exercice a consisté à sonder Israël sur ce qu’il accepterait pour mettre fin à l’occupation. Une démarche stérile, qui ne conduit qu’à des négociations sans fin. Si, au contraire, on reconnaissait la Palestine comme pays occupé, en sachant d’entrée de jeu quelle est sa capitale et où se trouvent ses frontières, la logique sera inversée : il s’agira de retirer les éléments constitutifs de cette occupation. Non de sonder Israël, mais de lever des obstacles.”

Selon lui, l’Europe a sa carte à jouer : “cela mettrait toute la planète face à ses responsabilités.” L’Europe, mais pas la France, car “son pouvoir change sans cesse d’approche. Quelle est sa position aujourd’hui ? Je ne sais pas.”

Message reçu par Pedro Sánchez, le Premier ministre espagnol, déterminé à reconnaître l’Etat de Palestine avant l’été : “Nous devons penser sérieusement à le faire”, a-t-il affirmé au Moyen-Orient, début avril.  Le Nouvel Obs rappelle que “dans le monde, c’est déjà le cas de 139 pays (soit 72 % des 193 Etats membres de l’ONU) – dont 9 des 27 membres de l’Union européenne, essentiellement dans l’ancien bloc de l’Est.”

Bellamy fait la danse de l’urne

Le vote blanc n’a pas bonne presse chez les journalistes : sur France Inter, à la question de savoir quel avait été son vote au second tour de la présidentielle de 2022, la tête de liste LR aux européennes “s’était borné à expliquer ne pas avoir voté Macron… laissant entendre qu’il avait peut-être voté RN”, selon Le Point. Depuis, le doute s’installe : aurait-il osé… ? Il affirme depuis : “je n’ai pas voté Le Pen, je n’ai aucun problème à le dire.” Et à la question “pourquoi ne pas l’avoir dit ce jour-là à l’antenne ?”, il répond : “je suis sorti de l’émission en étant persuadé de l’avoir dit.” Et l’hebdo de commenter : “Une simple faute d’étourderie ?”

Black-out chez Bardella

On ne connaît toujours pas la composition de la liste RN aux européennes, mais on en sait déjà plus que pour Renaissance, l’Express semble l’oublier. Un verrouillage voulu par l’état-major du parti, “pour éviter les fuites dans la presse et les désagréments causés par d’éventuels mécontents.” Car le verrouillage s’étend aux prétendants : dont l’un d’eux, eurodéputé, confie : “personne ne sait quoi que ce soit, donc tout le monde monte en pression avec le stress. Et humainement, c’est très indélicat, les gens ne sont pas des marchepieds. A force de les considérer comme tels, ça va créer des blessures."

Même verrouillage des relations avec la presse : l’hebdo nous apprend qu’“à la moindre parution dont le ton déplaît, on menace : "C’est terminé, vous n’aurez plus d’infos de notre part." A tel point que même les rencontres en off, les échanges informels entre journalistes et politiques, sont désormais bannis. "Le off, c’est un exercice journalistique, ça ne ramène pas un électeur et ne nous apporte rien, à part des emmerdes", dit le parti. A moins qu’”aux exercices qui pourraient mettre cette campagne bien huilée en difficulté, on préfère donc ceux où le candidat peut dérouler ses éléments de langage en toute sérénité”...

Ces journalistes qui trahissent leurs sources pour Attal

Le Point nous apprend que si Attal n’est pas pris de court par les questions d’actualité au Parlement, c’est qu’elles… fuitent ! Celles de la majorité, ce peut sembler normal, mais les groupes d'opposition ? Ils les envoient à l’avance aux journalistes, et “les conseillers de Matignon arrivent à se les procurer. La “plume” d’Attal lui gratte des réponses, et il les lit dans la voiture en venant”, explique un responsable de groupe au Point

Braun-Pivet s’émanciperait-elle ?

Marcher ensemble contre l’antisémitisme, ça rapproche, et ça permet d’avancer ses pions : pour instaurer une dose de proportionnelle aux élections législatives, Yaël Braun-Pivet aurait, selon Le Point, dealé avec Gérard Larcher, qui “accepterait de valider la proportionnelle, à condition que la question du non-cumul des mandats soit réexaminée à l’Assemblée.” Quant à un élu proche de l’Elysée, il confie au Nouvel Obs, son rapprochement avec François Bayrou : “si elle ne parvient pas à briguer la présidence de la République, elle pourra toujours briguer celle du MoDem !”

Bayrou surfe sur la réunification nationale

Le grand allié d’Emmanuel Macron livre son bilan du septennat macronien dans un entretien-fleuve à Marianne ; on en ressort avec la certitude qu’il est dans les starting-blocks pour 2027. Pas un mot de travers sur le locataire de l’Elysée, mais quelques tacles bien sentis en direction du pouvoir : il dénonce la rupture entre la base et le “prétendu sommet”, à qui il refuse le nom d’élite (“une élite se définit par le caractère, la vision, une certaine éminence dans l’ordre moral, intellectuel ou spirituel. Ce n’est pas ainsi que sont ressentis les milieux de pouvoir et d’influence.”) prédite par Macron, et qui se complique “d’une névrose, celle du ressentiment, qui conduit à chercher partout des boucs émissaires”.

La démocratie ? Les citoyens ne sont pas “pris au sérieux” : “en France, on se méfie des citoyens, on maintient les cartes sous la table, on préfère décider entre soi. Cela m’a beaucoup frappé au moment de la réforme des retraites.”Elles sont “en fait à la charge de nos enfants. Y a-t-il plus immoral ? Pourquoi ne l’a-t-on pas dit aux Français ?” La technocratie ?  “Dans toutes les sociétés trop pyramidales, l’entre-soi au sommet devient une fatalité.” Et faut-il voir un tacle à Bruno Le Maire quand il affirme : “dans la perspective d’unité du pays, un effort de justice sociale est la condition même de l’efficacité économique” ?

En tout cas, il prépare l’alternance. La vraie, pas celle qui maintenait au pouvoir UMP-LR/PS, car c’est “au moins autant une question de personnalité à la présidence de la République. C’est cela, la Ve République. Il ne s’agit pas seulement de couleur politique mais d’un patrimoine d’expériences, d’idées, de moments historiques qui font que le président porte des combats essentiels pour la nation.” Si ça n’est pas une déclaration de candidature…

Glucksmann se verrait-il trop beau ?

Il grimpe dans les sondages, et un socialiste s’en inquiète dans l’Express :”c’est le problème avec les socialistes : dès qu’on reprend un peu d’oxygène, on se voit plus beau que beau". et d’ajouter : "le syndrome Jadot guette",qui se voyait déjà à l’Elysée après son score de 19% aux européennes…

Liste LR : quand Hanouna s’en mêle…

Eric Ciotti s’est fait draguer par Hanouna, apprend-on dans l’Express : le présentateur lui a vanté les qualités de Laurence Sailliet, l’eurodéputée qui fut sa chroniqueuse. Peine perdue : elle ne soutiendra pas la liste LR, “soulignant ses nombreux "points de désaccord" avec Bellamy.”

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