Une femme morte à Blois après avoir été éjectée d’un manège<!-- --> | Atlantico.fr
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Une voiture de police - Photo d'illustration AFP
Une voiture de police - Photo d'illustration AFP
©PHILIPPE HUGUEN / AFP

Enquête en cours

Une enquête judiciaire a été ouverte après la chute mortelle d’une femme de 27 ans à Blois. Elle est tombée d’un manège peu après 23 heures, le samedi 20 avril 2024.

Une femme de 27 ans est morte dans la nuit du samedi 20 au dimanche 21 avril 2024, informe Le Parisien sur son site. Originaire de Blois (Loir-et-Cher, Centre-Val-de-Loire), elle a chuté d’un manège installé à l’occasion d’une fête foraine locale et n’a pas survécu à ses blessures. Après l’accident, elle avait pourtant été évacuée vers l’hôpital de la ville, a fait savoir la mairie, mais cela n’a plus suffit à la sauver. Appelés aux alentours de 23 heures, les sapeurs-pompiers sont intervenus aux côtés des urgentistes du Smur 41 ainsi que de la police; note France 3 région. Les forces de l’ordre ont d’ailleurs placé le propriétaire du manège en garde à vue au commissariat de Blois, pour des faits d’homicide involontaire.

La fête foraine, qui est restée fermée au public ce dimanche 21 avril 2024, avait ouvert ses portes le 30 mars de la même année. Elle devait normalement prendre fin ce jour, mais les forains ont préféré ne pas ouvrir l’accès à leurs manèges “par respect” pour la victime, note l’antenne locale de France Télévision. De son côté, la municipalité a aussi annoncé la fermeture de l'événement compte tenu de ces “circonstances dramatiques” et a tenu à s’associer “à la douleur des proches de la victime”.

Ce décès n’est pas le premier de la saison, remarque Le Parisien, qui souligne qu’un forain a connu une fin tragique le dimanche 14 avril à Caen. Cependant, la situation semble différer de façon considérable, poursuivent nos confrères, puisque cette fois deux autres forains ont été mis en examen pour homicide volontaire. En cause ? Des pièces du manège sur lequel l’accident a eu lieu manquaient à l’appel. Elles auraient soudainement disparu, d’après le procureur de la République, qui envisage la possibilité que des “personnes mal intentionnées” aient pu les subtiliser.

Une enquête judiciaire a été ouverte.

Le Parisien

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