Une trouvaille historique
Un évêque anglican : "notre Père est non genré"...
Pathétique et pitoyable
Benoît Rayski
Benoît Rayski est historien, écrivain et journaliste. Il vient de publier Le gauchisme, maladie sénile du communisme avec Atlantico Editions et Eyrolles E-books.
Il est également l'auteur de Là où vont les cigognes (Ramsay), L'affiche rouge (Denoël), ou encore de L'homme que vous aimez haïr (Grasset) qui dénonce l' "anti-sarkozysme primaire" ambiant.
Il a travaillé comme journaliste pour France Soir, L'Événement du jeudi, Le Matin de Paris ou Globe.
Dans la religion anglicane, les serviteurs du culte ont le droit de se marier. Cet évêque l'est certainement. Et quand on se marie, c’est pour la plupart du temps pour avoir des enfants. Ce saint homme en a certainement. Mais comment a-t-il fait dès lors qu’il est lui-même non genré ? Il a demandé à un copain ?
Dans sa sortie, l’évêque anglican proclame que Dieu n’a pas de sexe: “ni homme, ni femme” ! Pourtant les juifs et les chrétiens le représentent sous l'aspect d'un personnage barbu, ce qui n’est certainement pas bien.
Pour rester dans le domaine de la religion, nous tenons à rappeler que la Vierge Marie était une femme. Mais chez les Anglicans, elle n’a pas la cote !
Elle a eu Jésus avec un certain Joseph. Mais l’Eglise a décidé que le véritable père était le Saint Esprit. Et ce dernier, selon toute vraisemblance, était non genré. De quoi donner raison à l'évêque anglicain ? Faut-il en rire ou en pleurer ? Mais il n’empêche que Jésus ou les douze apôtres étaient des hommes parfaitement genrés.
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