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Les maladies ont une odeur, et le nez humain est capable de la détecter.
Les maladies ont une odeur, et le nez humain est capable de la détecter.
©Reuters

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Et aussi : La maladie d’Alzheimer d’aujourd’hui est-elle due au DDT d’hier ? ; En bref : les salmonelles, clés de la lutte contre l’asthme ? ; Grippe : une enzyme clé protège les tissus de la nécrose.

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En bref : le nez, un détecteur de maladies ?

Les maladies ont une odeur, et le nez humain est capable de la détecter. C’est en tout cas ce que suggère une étude préliminaire réalisée par une équipe suédoise. Alors, si vous ne vous sentez pas bien, faites donc confiance à votre odorat ! Vous trouvez que l'haleine de votre partenaire est différente ce matin, ou que son odeur corporelle est plus forte ?

Il se pourrait que votre nez vous alerte sur son état de santé. Une étude menée par des chercheurs du Karolinska Institutet de Stockholm (Suède) montre que l'un des premiers moyens de détecter une maladie est de faire confiance à son odorat. Celui-ci décèlerait une infection même à un stade peu avancé de la maladie. Ces conclusions sont publiées dans la revue Psychological Science.

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En bref : l’EMA enquête sur la pilule du lendemain

Plusieurs études ont montré une baisse d’efficacité de certains contraceptifs d’urgence chez les femmes en surpoids.L’Agence européenne des médicaments (EMA) veut maintenant réévaluer l’influence du poids sur la performance des autres médicaments de ce type.

Les contraceptifs d’urgence, également appelés pilules du lendemain, agissent en bloquant ou en retardant l’ovulation. Ceux qui contiennent du lévonorgestrel peuvent être utilisés jusqu’à 72 heures après un rapport sexuel non protégé ou un échec de la contraception utilisée. Les pilules qui contiennent de l’acétate d’ulipristal peuvent quant à elles être prises jusqu’à 120 heures après la relation intime.

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La maladie d’Alzheimer d’aujourd’hui est-elle due au DDT d’hier ?

Le DDT, un insecticide très utilisé jusque dans les années 1970, pourrait augmenter le risque de développer la maladie d’Alzheimer. C’est en tout cas le résultat d’une étude états-unienne de petite taille. Reste à savoir si ce lien se confirmera à plus large échelle.

Synthétisé pour la première fois en 1874, le dichlorodiphényltrichloroéthane (DDT), a été très utilisé comme insecticide, en particulier au cours de la seconde guerre mondiale. Les soldats le répandaient sur les murs pour combattre les insectes ravageurs porteurs de maladies infectieuses comme le paludisme et le typhus. Des villes italiennes toutes entières ont d’ailleurs été aspergées dans ce but. Ces efforts ont porté leur fruit puisque le DDT a fortement contribué à l’éradication complète du paludisme en Europe et en Amérique du Nord. En 1955, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a même débuté un programme mondial d’éradication de cette maladie parasitaire, basée principalement sur l’utilisation de ce pesticide.

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En bref : les salmonelles, clés de la lutte contre l’asthme ?

Souvent à la une des journaux, les salmonelles sont responsables d’infections intestinales assez sévères. Ces bactéries ne sont pas pour autant complétement néfastes et limitent l’inflammation des voies respiratoires chez la souris.

Des chercheurs allemands ont analysé cette propriété et voudraient s’en inspirer pour mettre au point un cocktail probiotique contre l’asthme. Maladie respiratoire, l’asthme touche un nombre de plus en plus élevé d’individus. Selon le ministère des affaires sociales et de la santé, cette pathologie atteindrait plus de trois millions de personnes en France et serait responsable d’environ 2.000 décès par an. Heureusement, plusieurs médicaments efficaces peuvent libérer les bronches rapidement lors d’une crise. Cependant, leur imprévisibilité rend la vie quotidienne stressante et de nouvelles solutions sont nécessaires pour réduire leur incidence.

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Grippe : une enzyme clé protège les tissus de la nécrose

Des chercheurs canadiens viennent d’identifier une protéine qui aide les poumons à se protéger contre le virus de la grippe en empêchant les lésions tissulaires. Cette découverte ouvre la voie vers de nouvelles stratégies de défense contre cet agent infectieux.

Lorsqu’un pathogène pénètre dans l’organisme, les défenses immunitaires s’activent rapidement et font front commun pour lutter contre l’envahisseur. Les maladies infectieuses sont un peu comme une guerre entre un agent étranger et les cellules de l’hôte. La grippe ne fait pas exception à la règle : les différents acteurs de l’immunité coopèrent pour empêcher le virus de se multiplier tout en faisant face aux destructions tissulaires qu’il engendre. De son côté, le virus progresse comme il peut pour envahir l’organisme.

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