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Vers une hausse plausible de 4°C pour la fin du siècle ; Origine de la vie : une nouvelle voie pour l'apparition de l'ARN ?
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Et aussi : Exoplanètes : une nouvelle méthode pour mesurer leur masse.

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Vers une hausse plausible de 4 °C pour la fin du siècle

Une augmentation de la température globale comprise entre 3 et 5 °C serait plausible pour l’horizon 2100. Une étude rapporte que les modèles les plus optimistes seraient ceux simulant le moins bien les mécanismes de formation des nuages. Certains modèles prennent en compte uniquement la convection profonde, modifiant alors complètement la réponse de l’atmosphère au doublement des émissions de CO2 dans l’atmosphère.

Dans son cinquième rapport, le Giec revoyait à la baisse les prévisions d’augmentation de la température globale de l’air. Avec le scénario le plus optimiste, la température grimperait de 0,3 à 0,7 °C à l’horizon 2100. Pour les autres, la tendance est plutôt autour d’une hausse de 1,5 °C. La robustesse des modèles climatiques évolue à mesure que la technologie avance et que les connaissances s’améliorent. Mais le débat sur les prévisions climatiques à venir pour ce siècle reste houleux, et voilà de quoi l’attiser. Une nouvelle étude rapporte qu’avec une meilleure évaluation des changements dans la formation des nuages, les modèles simulent une hausse de la température variant plutôt entre 3 et 5°C.

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Origine de la vie : une nouvelle voie pour l’apparition de l’ARN ?

L'ADN est au cœur de la vie telle que nous la connaissons. On pense qu'il est apparu par évolution à partir de molécules prébiotiques, et surtout de l'ARN. Une nouvelle voie de synthèse pouvant aboutir aux nucléotides de l'ARN et à leur polymérisation a été découverte par des chercheurs du Georgia Institute of Technology.

Elle nous rapproche un peu du secret de l'origine de la vie, mais le chemin à parcourir reste encore long. En 1986, le prix Nobel Walter Gilbert a émis l’hypothèse que l’apparition du code génétique sur Terre s’était d’abord produite sous la forme de brins d’ARN qui, par évolution, auraient donné la molécule de la vie, l’ADN. Mais bien évidemment, cela ne fait que repousser le problème de l’origine de la vie d’un cran, sans parler de la nécessité de comprendre d’où viennent les membranes et les organites cellulaires. Fort logiquement, on peut penser que l’ARN lui-même a évolué à partir de molécules moins complexes.

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En vidéo : comment dompter l'huile ?

De l'huile qui obéit aux injonctions d'un mécanicien et qui ne salit pas les doigts, c'est possible. C'est presque magique... Bienvenue dans le monde des ferrofluides, des liquides très fantaisistes. Joli tour de magie que nous propose cette vidéo. Il réclame quelques moyens puisqu’il faut quelqu’un sous la table. Mais l’effet est garanti.

On peut aussi, sans chercher à jouer les magiciens, reproduire ce phénomène de physique amusante. Cette séance de magie est en effet une ouverture sur le monde merveilleux des ferrofluides. « Fluides », car ce sont des liquides, et « ferro », car ils comportent en solution des particules métalliques, en général de la magnétite (Fe2O3). Sous l’effet d’un champ magnétique suffisamment puissant, elles se mettent en mouvement et s’alignent sur les lignes de champ. En bougeant l’aimant, on obtient de superbes animations, comme le fait avec talent ce prestidigitateur. Le liquide devient aussi fantaisiste que les fluides non newtoniens, dont la viscosité varie avec les contraintes qu'ils subissent.

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Exoplanètes : une nouvelle méthode pour mesurer leur masse

Les exobiologistes qui ont besoin de faire des statistiques sur les exoplanètes habitables doivent disposer de leur masse et de leur rayon. Une nouvelle méthode pour estimer la masse de ces astres a été découverte par deux astrophysiciens.

Elle est basée sur l'analyse du spectre d'absorption de l'atmosphère d'une exoplanète lors d'un transit planétaire. L’une des premières choses qu’apprend un astrophysicien, c’est que la masse est l’un des paramètres fondamentaux qui décident de la structure et de l’évolution des étoiles et des planètes dans l’univers. Lorsqu’on pratique l'astrophysique, on cherche donc à mesurer la masse, la température et la taille de l’objet que l’on veut étudier, alors que l’astronome s’occupe avant tout de mesures d’angle, de distance, de vitesses et de positions des astres.

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Voie lactée : l'horizon du trou noir supermassif bientôt révélé ?

L'Europe vient d'allouer 14 millions d'euros aux membres du projet BlackHoleCam, qui s'inscrit lui-même dans une collaboration mondiale du nom d’Event Horizon Telescope. Le but ? Rien de moins que la constitution d'un radiotélescope virtuel géant dont la résolution permettra d'observer l'horizon de notre trou noir supermassif central.

On va bientôt fêter le centenaire de la découverte de la relativité générale d’Einstein. Lorsqu’il a publié la forme finale de sa théorie en mars 1916, Einstein n’imaginait sans doute pas qu’elle conduirait à des découvertes aussi extraordinaires que celles du rayonnement fossile et des quasars. Malgré ces succès impressionnants, la théorie de la relativité générale ne nous apparaît pas comme aussi bien testée que la théorie de la relativité restreinte, bien que l’affaire des neutrinos transluminiques d’Opera l’a fait vaciller temporairement. Mais comme tout le monde ou presque s’y attendait, il s’agissait d’une erreur de mesure. De l’existence de l’antimatière au ralentissement des horloges en passant par la physique des particules au LHC, personne n’a encore trouvé de contradiction entre l’expérience et les conséquences de l’existence de l’espace-temps plat de Minkowski sous-jacent à la théorie de la relativité restreinte.

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