Un patch contre les piqûres de moustique ; d’où vient la petite voix qui lit dans notre tête?<!-- --> | Atlantico.fr
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Une société californienne a mis au point un patch antimoustique qui se fixe sur les vêtements.
Une société californienne a mis au point un patch antimoustique qui se fixe sur les vêtements.
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Et aussi : Alcoolisme : un circuit cérébral qui contrôle l’envie de boire ; Vaincre la cécité : des cellules souches devenues photorécepteurs ; Coronavirus MERS-CoV : l’OMS rassure, une étude inquiète.

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En bref : un patch contre les piqûres de moustique ?

Une société californienne a mis au point un patch antimoustique qui se fixe sur les vêtements. Ce produit inhibe le système de détection du dioxyde de carbone de l’insecte, l’empêchant de sentir la présence humaine. Selon les inventeurs, il permettrait de lutter plus efficacement contre les maladies véhiculées par les moustiques, comme le paludisme ou la dengue.

Avec l’arrivée de l’été, les petites bêtes en tout genre refont surface. Parmi elles, le moustique pourrait recevoir la palme de l’insecte le plus insupportable. En dehors du fait qu’il semble passer son temps à se régaler de sang, on dirait qu’il prend un malin plaisir à survoler les oreillers à la tombée de la nuit. En réalité, le plat principal des moustiques est constitué de nectar de fleurs. Seules les femelles ajoutent du sang à leur menu pour assurer la maturation de leurs œufs. Grâce à un système olfactif perfectionné, elles détectent le dioxyde de carbone et l’odeur de la sueur de leurs victimes.

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Science décalée : d’où vient la petite voix qui lit dans notre tête ?

Alors que vous jetez un œil à ce texte, vous entendez votre voix dans votre tête qui lit les mots un à un. Mais pourquoi ? Une réponse qui vient du Canada suggère que cela se produit grâce aux mêmes mécanismes que ceux nous empêchant de rire quand on se chatouille soi-même.

Pourquoi, quand nous lisons une phrase, entendons-nous notre voix dans notre tête ? Une étude canadienne vient d’apporter une réponse à cette question, très peu étudiée. Selon l’hypothèse avancée par Mark Scott, de l’université de Colombie-Britannique, ce serait la même raison que celle qui explique pourquoi on ne rigole pas à nos propres chatouilles : la décharge corollaire.

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Alcoolisme : un circuit cérébral qui contrôle l’envie de boire

Une étude récente a permis d’identifier des régions cérébrales impliquées dans la dépendance à l’alcool. En bloquant les récepteurs synaptiques permettant le passage de certaines informations nerveuses dans ces zones, les chercheurs ont réussi à limiter la consommation impulsive d’alcool chez le rat. Ces travaux pourraient conduire à la mise au point d’un traitement contre l’alcoolisme.

L’alcool n’est pas un produit ordinaire. Synonyme de convivialité et ingrédient incontournable d’un repas entre amis, il peut devenir une véritable bête noire chez les personnes qui boivent à l’excès. Selon l'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé (INPES), cinq millions de personnes auraient des difficultés médicales, psychologiques et sociales à cause de l’alcool, et environ 49.000 personnes meurent à cause de l’alcool chaque année en France.

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Vaincre la cécité : des cellules souches devenues photorécepteurs

Outre-Manche, des scientifiques ont réussi à former des photorécepteurs depuis des cellules souches embryonnaires de souris, qu’ils ont ensuite implantés dans des rongeurs aveugles. Ces cellules en bâtonnet, indispensables pour la vision, ont bien pris position dans la rétine et ont même établi le contact avec le cerveau. Voilà peut-être un traitement d’avenir contre des formes courantes de cécité.

C’est un vieux fantasme humain : comment aider les personnes non-voyantes à retrouver ce sens qu’elles ne possèdent plus ? La médecine moderne semble montrer que l’exploit est de l’ordre du possible, surtout que l’œil est particulièrement étudié et l’un des premiers organes à bénéficier des thérapies les plus modernes : rétines artificiellesthérapie génique et thérapies cellulaires.

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Coronavirus MERS-CoV : l’OMS rassure, une étude inquiète

Alors que l’OMS vient d’estimer que le MERS-CoV n’était pas encore une urgence de santé publique de portée internationale, une étude canadienne suggère que les pèlerinages vers l’Arabie Saoudite et le Moyen-Orient en général pourraient constituer une menace de pandémie importante, surtout vers les pays pauvres.

Difficile de lire l’avenir, même lorsqu’on dispose de signaux indicateurs. En effet, les suites de l’épidémie de coronavirus MERS-CoV sont encore impossibles à prévoir, malgré les données épidémiologiques passées et les premières études fournies sur le pouvoir de contagion du pathogène. Pour l’heure, l’OMS comptabilise au 21 juillet 90 personnes infectées, réparties dans 10 pays, principalement au Moyen-Orient, parmi lesquelles 45 sont mortes. Avec un taux de mortalité avoisinant les 50 %, les inquiétudes sont vives concernant le MERS-CoV.

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