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Des panaches volcaniques de plus de 3 milliards d'années, l'exploration par Curiosity du cratère Gale, une nouvelle console de jeux sous Android
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Autres sujets science : l'océan austral qui capture 40 % du CO2 et les conséquences mortelles d'El Niño.

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Ouya, la nouvelle console de jeux vidéo sous Android

Conçue aux États-Unis, Ouya est une console de salon sur une base Android 4.0 qui sera vendue à moins de 100 dollars à partir du printemps 2013. Les jeux proposés seront gratuits, au moins en partie, et tous les développeurs pourront diffuser leurs titres. Le projet a récolté plus de 8,5 millions de dollars en moins d’un mois sur la plateforme Kickstarter.

Ouya sera-t-il le David du jeu vidéo qui viendra défier les Goliath que sont Nintendo, Microsoft et Sony ? Ce projet né aux États-Unis ambitionne rien de moins que de se faire une place sur ce marché fortement concurrentiel en proposant une console de salon à 99 dollars (80 euros) et un catalogue de jeux tout ou partie gratuits. Un défi irréaliste ? Pas vraiment… Présentée le 10 juillet sur la plateforme de levée de fonds Kickstarter, Ouya a atteint son objectif de 950.000 dollars en seulement 8 heures. La campagne s’est terminée le 9 août avec 8,59 millions de dollars récoltés auprès de plus de 63.000 mécènes ! Un véritable enthousiasme pour un projet initié par Julie Uhrman, une ancienne dirigeante du groupe IGN Entertainment spécialisé dans les jeux vidéo. Son crédo, « ramener l’innovation, l’expérimentation et la créativité sur le grand écran ».

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Des panaches volcaniques géants il y a environ 3,4 milliards d’années

Des dépôts de sulfate,difficilement explicables,ont été trouvés dans des roches datant de 3,4 milliards d’années environ. On invoquait des dégagements importants d’oxygène locaux produits par les premiers organismes photosynthétiques. L'analyse des roches provenant de trois continents permet maintenant de les lier à de gigantesques panaches volcaniques couvrant la planète à trois reprises.

On ne sait pas très bien quand la vie a démarré sur Terre ni par quels moyens. Les hypothèses se sont multipliées et certains scientifiques ont récemment fait intervenir des pierres ponces ou des volcans de boue. On pense toutefois que la découverte de la photosynthèse s’est faite par des organismes vivants voici 3,5 milliards d’années et que d’autres ont commencé à utiliser l’oxygène il y a près de 2,9 milliards d’années. L’estimation de la date à laquelle l’atmosphère de la Terre a commencé à contenir de grandes quantités d’oxygène est plus solide. Elle correspond à celle de la Grande Oxydation, encore appelée la « catastrophe de l’oxygène », voici 2,5 milliards d’années. Avant cette date, l’atmosphère de la Terre ne devait contenir que très peu d’oxygène, bien que les quantités présentes dans les océans, du fait de la présence des premières bactéries photosynthétiques, ne cessaient d’augmenter.

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El Niño : des conséquences mortelles insoupçonnées en Asie du Sud-Est

Un nouvel effet insoupçonné d’El Niñosur la santé des populations du sud-est asiatique vient d’être découvert. Certains pays profiteraient de sa survenue dans le passé pour défricher de plus grandes surfaces grâce au feu. La pollution atmosphérique engendrée aurait provoqué plusieurs milliers de décès. Heureusement, il sera possible d’éviter ce problème à l’avenir.

Pour gagner de nouvelles surfaces agricoles ou urbaines, certaines populations n’hésitent pas à mettre le feu à leurs zones boisées. Cette technique est certes rapide, mais elle a l’inconvénient de libérer d’importantes quantités de CO2 et de particules fines se maintenant en suspension dans l’atmosphère. Le recours au feu dans le cadre de déforestations peut donc s’avérer dangereux pour notre climat et pour la qualité de l’air des contrées concernées.

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Océan Austral : des entonnoirs géants piègent le CO2 dans les abysses

L’océan Austral capture à lui seul 40 % du CO2d’origine anthropique stocké chaque année au sein des étendues d’eau de la planète. Les mécanismes permettant une plongéevers les abyssesdes eaux chargées encarbonedissout, la clé du système, viennent d’être révélés. Quatre facteurs, dont l'existence detourbillons, combineraient leurs effets. Problème, certains d'entre eux sont sensibles au réchauffement climatique.

Les océans constituent d’importants puits de carbone et jouent donc un rôle conséquent sur l’évolution future de notre climat. Ils stockeraient chaque année un quart des émissions annuelles de CO2d'origine anthropique. Certaines étendues d’eau seraient plus efficaces que d’autres pour réaliser cette tâche. L’océan Austral par exemple, entourant l’Antarctique, capturerait à lui seul 40 % du carbone emprisonné annuellement par les océans. Les mécanismes régissant les échanges de ce gaz entre l’atmosphère et les couches d’eau superficielles sont connus. Le vent, les vagues et les micro-organismes de la zone photique y jouent des rôles majeurs.

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Curiosity, en phase de test, se prépare à explorer le cratère Gale

Sur Mars, les opérations s’accélèrent. Plus d’une semaine après son atterrissage sur la Planète rouge, le rover Curiosity est entré en phase de test qui consiste à s’assurer que les charges utiles et scientifiques sont en bon état de fonctionnement. Ses premiers objectifs scientifiques, les cailloux alentour, sont en cours de sélection.

« Avec Curiosity, nous avons atterri dans un endroit qui ressemble beaucoup à Mars, mais aussi à la Terre avec ces montagnes à l’arrière-plan, ces chaînes de montagnes pyramidales très découpées, et cela ressemble beaucoup à ce que vous voyez dans le désert de Mojave, c’est vraiment cool, ça vous fait vous sentir comme à la maison. » C’est en ces termes que s’est exprimé un géologue de la Nasa après les premières images du cratère Gale envoyées par Curiosity.

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