Fleurs et vacheries au G7 : les avis surprenants des dirigeants étrangers sur Emmanuel Macron ; Notre-Dame, victime collatérale de négligence politique ; Julien Dray, mentor repenti d’Emmanuel Macron ; Panne sèche pour la voiture autonome<!-- --> | Atlantico.fr
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Revue de presse des hebdos

Et aussi : SOS caveau : crise de l’immobilier post-mortem ; la France, plaque tournante du trafic de Subutex ; Vers la fin de la dissuasion nucléaire ?

Julie Mangematin

Julie Mangematin

Julie Mangematin est journaliste.

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L’incendie de Notre-Dame, mystère ou simple négligence politique ?

Valeurs actuelles propose en Une une longue enquête sur "l’incendie du siècle".

Après avoir passé en revue les différentes pistes des enquêteurs (un dysfonctionnement du système électrique, mégots de cigarette), le magazine avance sa propre hypothèse : "la piste du visiteur imprudent", "étonnement" écartée par les autorités : "Monter sur le toit de Notre-Dame, en toute illégalité, était pourtant l’un des jeux favoris de jeunes explorateurs en quête d’adrénaline." "Le matin même de l’incendie, des jeunes avaient été vus en train d’escalader".

Plus loins, Valeurs actuelles revient sur le contexte général de la préservation du patrimoine en France, et déplore la négligence des politiques actuelles : "la réalité des budgets alloués et des politiques publiques mises en place est sombre, nous explique Julien Lacaze, vice-président de Sites et Monuments." "Tout d’abord, chiffre révélateur des priorités gouvernementales, les crédits alloués à la restauration et à l’entretien de nos 45000 monuments historiques stagnent autour de 330 millions d’euros, soit 3% seulement du budget du ministère de la Culture, représentant lui-même 1% du budget de l’État… Plus grave, la loi Elan de novembre 2018 porte atteinte à l’avis conforme (c’est-à-dire obligatoire) des architectes des bâtiments de France. Dans les principaux sites patrimoniaux, l’Association Nationale des architectes des bâtiments de France (ANABF) ne peut désormais s’opposer à la démolition d’un bâtiment insalubre ou en péril."

Julien Dray, mentor repenti d’Emmanuel Macron

L’Obs nous rapporte un scoop par l’intermédiaire d’un livre de la rentrée riche en anecdotes : C'est toujours moi qui fais le sale boulot (éditions Fayard, le 28 août), des journalistes Marie Bordet et Laurent Telo.

Julien Dray a coaché le jeune Emmanuel Macron, alors secrétaire général adjoint de l'Elysée… avant de s’en mordre les doigts : "A l'automne 2012, Julien Dray rencontre par hasard Emmanuel Macron [...] avenue de Marigny." "[...] le courant passe. Dray devient vite un conseiller écouté de Macron : 'Il décrypte pour lui le PS, ses rivalités, ses clans idéologiques, ses inimitiés. Un papa en politique doublé d'un décodeur de stratégie, toujours à portée de téléphone, une hotline au service exclusif de Macron'."

Le conseiller régional socialiste d'Ile-de-France continuera à l’aider quand ce dernier deviendra ministre de l'Economie, jusqu’à organiser un dîner "à l'automne 2014 dans la salle à manger privée du ministre avec l'influent Pierre Bergé et l'ancien président du Conseil constitutionnel Pierre Mazeaud", pour coacher le jeune espoir.

Mais l’approche de l’élection présidentielle les a vite éloignés : "Juju" a logiquement soutenu "son grand copain François Hollande" et finira même pas tenter d'intimider l'équipe Macron.

Panne sèche pour la voiture autonome 

Les véhicules autonomes… Miroirs aux alouettes ? "Elles devaient réenchanter notre quotidien" dès 2020, rappelle l’Express. C’est l’heure de la désillusion. "Le rêve de la voiture totalement automatisée se heurte à la réalité financière et technologique." "En mars dernier, à l’occasion du Salon de l’automobile de Genève, le patron de PSA Carlos Tavares "révélait qu’il avait décidé d’abandonner le développement des véhicules autonomes au-dessus du niveau 3 pour les particuliers. En clair, le groupe français ne développera jamais de voiture totalement automatisée." "Compte tenu du coût additionnel de la technologie, le prix de la voiture devient tel que celui qui peut se la payer n’est de toute façon pas derrière le volant, mais plutôt sur la banquette", a-t-il expliqué aux Echos.

"Tout un symbole : PSA avait été le premier constructeur en France à obtenir l’autorisation, mi-2015, de faire circuler sur l’autoroute des véhicules autonomes". Selon l’hebdo, "Carlos Tavares a [...] dit tout haut ce que nombre de constructeurs pensent tout bas."

Dissuasion ou persuasion nucléaire ?

L’Express relaie les inquiétudes de The Economist face à "la nouvelle doctrine nucléaire prônée par Elizabeth Warren", l’une des candidates démocrates en vue pour l'élection présidentielle américaine de 2020. Elle propose d’inscrire dans la loi le principe de "No First Use", promettant que "l’Amérique n’usera jamais de l’arme atomique à moins d’être attaquée en premier". C’est pourtant bien "l’incertitude sur le recours américain au nucléaire" qui contribue à l’effet de dissuasion et donc à la stabilité mondiale. Selon l’hebdomadaire, "renoncer à cette ambiguïté encouragerait la prolifération : des pays comme la Corée du Sud seraient tentés de se doter de la bombe". L’article condamne toutefois aussi la position de Donald Trump, qui verse dans l’extrême inverse en menaçant de dégainer l’arme atomique en réponse "à une 'attaque stratégique non nucléaire significative'."

G7 : ce que les dirigeants étrangers pensent d’Emmanuel Macron

Comment les leaders du G7, qui se réunissent du 24 au 26 août à Biarritz, jugent-ils le président français? L’Obs nous donne le point de vue de correspondants étrangers à Paris.

Entre Donald Trump et Emmanuel Macron, tout avait bien commencé… puis les relations se sont peu à peu envenimées depuis le retrait des Etats-Unis de l’accord de Paris et la réponse d’Emmanuel Macron : "Make our planet great again". "Depuis [...] M. Macron a multiplié les tentatives pour infléchir les positions américaines. [...] Qu'il s'agisse de l'attitude à adopter face à la Russie et à la Chine, du nucléaire iranien ou encore de la taxe Gafa. A l'aube du sommet du G7, le président américain condamne les efforts de Macron pour atténuer les tensions avec l'Iran et menace la France d'une taxation sur les vins. Tout cela ne laisse rien augurer de bon. Sans les Etats-Unis pour porter le point de vue occidental à Biarritz, les élites mondiales ont plus de mal à s'accorder."

Trajectoire inverse avec le président russe : certes, "les sympathies de Moscou" vont en principe plutôt "vers Le Pen et Fillon", et Vladimir Poutine doute "des perspectives du jeune président français, de son poids politique réel à l'intérieur du pays et de sa capacité à agir indépendamment sur la scène internationale." "Le Kremlin ne sait que penser du durcissement des relations entre Macron et Trump : simples paroles, ou peut-on s'attendre à des actions concrètes? En revanche, sur la crise politique intérieure française, Moscou a tranché. Le média RT (ex-Russia Today) a couvert avec sympathie le mouvement des ‘gilets jaunes’ et a critiqué Macron, des prises de position qui ont forcément été validées par le Kremlin."

"Pourtant, aujourd'hui les deux leaders se tutoient, ils partagent davantage de préoccupations, notamment la lutte antiterroriste ou le programme nucléaire iranien. Macron a même soutenu le retour de la Russie dans l'assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe. Si bien que Poutine voit probablement l'invitation à Brégançon, cinq jours avant la tenue du G7 en France, comme la première étape de son ‘come-back’ dans le ‘club des grands’."

Emmanuel Macron a également récemment redoré son blason en Allemagne : "Jusqu'à récemment, Emmanuel Macron était perçu outre-Rhin comme un leader politique qui s'exprimait beaucoup... mais n'avait pas de pouvoir sur la scène européenne." Mais tout a changé en juillet dernier ; l’Allemagne a beaucoup apprécié le rôle central du président français dans l'accession d'Ursula von der Leyen à la tête de la Commission européenne. 

L’ancienne ministre d’Angela Merkel, une fidèle depuis 2005, est à la fois très écoutée par la chancelière et très en phase avec les idées d'Emmanuel Macron. Comme lui, c'est une libérale qui n'est pas conservatrice. "Comme la France, elle défend l'objectif d'atteindre la neutralité carbone d'ici à 2050 et prône un mécanisme de répartition des demandeurs d'asile pour soulager les pays européens d'entrée. On peut désormais parler d'un nouvel axe franco-allemand. Le président français va faire passer des messages à la nouvelle patronne de la Commission européenne." Au point que Georg Blume, de Die Zeit, évoque un "nouvel axe franco-allemand".

Le correspondant italien s’inquiète du "lien brisé" entre les deux peuples. "A l'été 2018, il y a d'abord eu la crise dans les Alpes, à la frontière franco-italienne, où des réfugiés ont été reconduits par des gendarmes français, au mépris de la souveraineté italienne et en parfaite contradiction avec le discours pro-européen et pro-droits de l'homme d'Emmanuel Macron."

Depuis, Matteo Salvini (La Ligue) et Luigi Di Maio (Mouvement 5 Etoiles) surfent sur le double langage du président français. "Certains propos très durs (comme ceux du secrétaire d'Etat Gabriel Attal : ‘La ligne du gouvernement italien est à vomir’) ont vraiment donné l'impression que l'hôpital se moquait de la charité. Le point culminant de la crise, la plus grave entre nos deux pays depuis la Seconde Guerre mondiale, a été atteint quand Luigi Di Maio a rencontré Christophe Chalençon, ‘gilet jaune’ controversé, et que l'ambassadeur français à Rome a été rappelé."

"L'autre dossier polémique est économique. Là encore, le double langage d'Emmanuel Macron, pro-européen grandiloquent d'un côté, colbertiste de l'autre, a choqué. La façon dont le gouvernement a fait capoter les négociations de rapprochement entre Fiat et Renault a été très mal vécue de l'autre côté des Alpes. Emmanuel Macron, qui s'est permis d'employer le terme de ‘lèpre nationaliste’, est devenu la cible idéale."

Pour Jon Henley, du Guardian, "sur le Brexit, Macron a le rôle du méchant". Emmanuel Macron s’est frontalement opposé au gouvernement britannique sur le Brexit, qu’il considère comme un acte d'autodestruction économique fondé sur une promesse malhonnête et irréalisable. 

"Mais Macron a une autre raison de jouer au dur : lui qui rêve depuis si longtemps d'une ‘renaissance européenne’ ne veut pas que le Brexit ‘pollue’ l'UE à un moment où il est urgent de la réformer et d'avancer. Ainsi, pour le président français, l'incertitude paralysante et les dommages durables qu'un Brexit interminable, non résolu infligerait à l'économie et au projet européen sont bien pires que les conséquences d'une sortie sans accord. Derrière se cache bien sûr l'ambition stratégique de Macron à long terme de faire de la France, malgré la résistance allemande à nombre de ses projets, le centre politique d'une Europe plus forte et plus unie."

"Cela ne rapproche certainement pas Paris de Londres ­ bien que dans la longue histoire enchevêtrée que partagent les deux pays, il n'y a là rien de nouveau (et quoi qu'il advienne, il y aura toujours une coopération étroite en matière de défense et de sécurité)."

Emmanuel Macron, as du renouveau ou champion de l’ancien monde ?

La Une de l’Express trouve le moyen d’encenser Emmanuel Macron tout en le critiquant : "le plus doué de l’ancien monde" aura eu beau retourner sa veste de réformateur, ce fut seulement pour se glisser avec brio dans des habits plus traditionnels. Car le président a été contraint d’user des techniques de cet ancien monde sur lequel il avait promis de tirer un trait : "A partir de novembre 2018, le mouvement des gilets jaunes déstabilise la République [...]. Il prend conscience qu’il doit écouter, ralentir, composer et jouer collectif. L’ancien monde avait du bon..." 

Et en même temps... "Il reste à l’ex-candidat disruptif des réflexes d’innovateur. Pour résoudre cette crise inédite, le huitième président de la Ve République ne puise pas dans l’arsenal classique, dissolution ou référendum. Il invente le grand débat national, expérience de démocratie participative, et se remet en selle en se mettant en scène. Il rencontre des milliers d’élus locaux, leur consacre cent heures de confrontation au total."

Le magazine salue un président à l’écoute des Français, qui aurait su tirer les leçons de la mobilisation et "adoucir" son programme… mais sans pour autant le trahir. Tout ça en même temps ? "Pour sauver le fond, [...] il choisit aussi [...] le modifier. Si l’acte II du quinquennat ne contredit pas l’acte I, fait de réformes structurelles, il le complète d’un volet plus doux, marqué par le souci de l’écologie et par celui de la proximité."

"Faire de la politique, c’est aussi élargir son périmètre. Après des mois d’hésitations, la décision est prise et sera annoncée à la rentrée : un pôle gauche de la majorité sera créé pour accueillir les orphelins du PS qui n’ont pas envie d’adhérer à En marche. Trois ministres, anciens du Parti socialiste, sont à la manoeuvre : Jean-Yves Le Drian, Olivier Dussopt, Didier Guillaume. Depuis plusieurs mois, la Macronie mesurait les risques de l’opération : mécontenter l’aile gauche de LREM, qui se verrait concurrencée. Et, surtout, reconnaître une forme d’échec : si le macronisme est l’art de dépasser le clivage droite-gauche, pourquoi créer une aile gauche ? Les avantages ont fini par l’emporter : renforcer la majorité tout en donnant le sentiment d’éviter le duopole Macron/Le Pen. ‘Un tel face-à-face a quelque chose d’asphyxiant, d’ostracisant pour tous ceux qui ne s’y retrouvent pas, et risque de nous faire tomber dans le fantasme du "moi ou le chaos"’, dit un visiteur régulier du président."

SOS caveau : crise de l’immobilier post-mortem 

L’Express met en garde contre les ravages de la crise de l’immobilier… six pieds sous terre.

"Un conseil : si vous espérez être enterré au Père- Lachaise, dépêchez-vous d’avoir du succès, beaucoup de succès. A moins d’y disposer d’un caveau de famille, vos chances d’avoir pour dernière demeure le célèbre cimetière de l’Est parisien sont infinitésimales. Logique, les 69000 tombes sont pleines depuis longtemps, et il en va de même pour les 40000 cases du columbarium. Prévoyez par ailleurs un bon budget : si, par extraordinaire, une place nouvelle se libère, les prix atteignent... 15800 euros pour une concession perpétuelle." 

"Pourtant, c’est la loi, tout maire est censé disposer dans sa ville d’un emplacement pour votre cercueil ou pour votre urne funéraire, pour peu que vous remplissiez l’une des trois conditions suivantes : y résider, y mourir, ou, pour les Français vivant à l’étranger, y être inscrit sur les listes électorales. Mais cela ne suffit pas."

"Sachant qu’au Père-Lachaise 97 % des emplacements sont occupés par des concessions perpétuelles, seuls 171 terrains ont pu être affectés à des petits nouveaux en 2017. Et ne pensez pas vous replier sur Montparnasse ou Montmartre, la situation y est peu ou prou la même."

Le phénomène est loin de se limiter aux grandes villes : à Fleurey-sur-Ouche, charmant village à vingt minutes de Dijon, les maisons en pierre blonde, la rivière, le canal, et l’usine (de moutarde, évidemment) ainsi que l’immobilier abordable "attirent de nombreuses familles à la recherche d’un meilleur cadre de vie". "Résultat : 628 habitants en 1975, le double aujourd’hui. Problème : la nécropole municipale n’avait pas été conçue pour une telle affluence."

Et Pénélope Komitès (PS), l’adjointe à la mairie de Paris chargée des affaires funéraires l’assure : pas de copinage ! "Les seules exceptions sont réservées aux personnalités – Michel Legrand et Dick Rivers, récemment – et à des cas très particuliers, comme les victimes d’attentat."

La France, plaque tournante du trafic de Subutex

L’Express a enquêté sur le trafic de Subutex, "pur fantasme de dealeur". "De la marchandise pas chère et de bonne qualité ; une source d’approvisionnement inépuisable ; des prix de revente canon au-delà des frontières". Ce traitement de substitution, comme la méthadone, prescrit aux héroïnomanes qui veulent décrocher, est en vente dans toutes les bonnes pharmacies de France à un peu moins de 14 euros les sept cachets. 

"Une fois qu’il est détourné de son usage médical, sniffé ou injecté, il procure les mêmes effets euphorisants que les opiacés. Objet de multiples trafics, le comprimé se revend quelques euros l’unité sur les trottoirs de Paris, Marseille ou Strasbourg et également dans les prisons."

"Dans les pays du nord et de l’est de l’Europe, où le produit est introuvable, les tarifs s’envolent. Pour s’offrir quelques heures de trip, les toxicomanes sont prêts à débourser des fortunes : entre 30 et 80 euros le cachet en Ukraine, et jusqu’à 400 euros dans les établissements pénitentiaires de Finlande. ‘Le rendement offert est 10 à 20 fois supérieur à celui de l’héroïne’, souligne un expert. Pour les trafiquants, c’est la poule aux oeufs d’or."

Pourquoi ce trafic est-il si florissant ? Que fait la police ? "Contrairement à la méthadone, le Subutex et ses génériques ne sont pas répertoriés parmi les stupéfiants. Les forces de l’ordre n’en font donc pas leur priorité. Et la justice se montre plutôt clémente : les donneurs d’ordres risquent sept ans de détention et 750000 euros d’amende, bien loin des trente années de réclusion encourues pour trafic international de drogue."

Hôpitaux : bons et mauvais élèves

C’est devenu une tradition : Le Point nous livre son palmarès des meilleurs hôpitaux français : "En tête du tableau d’honneur 2019 des établissements publics, le centre hospitalier universitaire de Bordeaux et ses trois sites de soins de court séjour, l’hôpital Haut- Lévêque, l’hôpital Pellegrin et l’hôpital Saint-André. C’est la cinquième fois qu’il occupe ce rang depuis 1998 et la première publication de notre classement."

Mais cette année, l’hebdo innove avec en sus une liste inédite des urgences en mal de médecins. "Car ce sont dans 277 hôpitaux sur 497 autorisés à disposer d’un service d’accueil et de traitement des urgences (SAU, hors secteur des cliniques privées) que des postes d’urgentistes n’ont pas trouvé preneur à l’issue du tour de recrutement du printemps 2019." Parmi eux, l’hôpital Lariboisière, à Paris, le service des urgences de l’hôpital de Bagnols-sur-Cèze, ou encore centre hospitalier universitaire (CHU) de Montpellier, l’hôpital Lapeyronie. Mais c’est à Alençon et Besançon qu’on trouve le plus de postes vacants d’urgentistes titulaires (14).

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