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Ariane 6 : un nouveau lanceur européen pour concurrencer SpaceX et Soyouz.
Ariane 6 : un nouveau lanceur européen pour concurrencer SpaceX et Soyouz.
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Et aussi : CES 2015 : Curie, un micro-ordinateur de la taille d’un bouton ; Zapping : marcher sur l’eau, marée noire magnétique et main bionique ; La lévitation acoustique bientôt exploitable.

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Ariane 6 : un nouveau lanceur européen pour concurrencer SpaceX et Soyouz

Ariane 6 est un nouveau lanceur forte puissance développé par l’Esa. Il vient remplacer l'onéreux Ariane 5 dont les parts de marché sont menacées par l’arrivée de nouveaux concurrents. Découvrez en vidéo une présentation de cet audacieux projet.

Destiné à concurrencer des acteurs comme SpaceX ou Soyouz en proposant une alternative moins coûteuse, cette nouvelle version devrait voir le jour vers 2020. Elle n’apporte, à première vue, pas de grande révolution, à part un moteur réallumable Vinci destiné à l’étage supérieur. Hormis cette nouveauté, Ariane 6 devrait être moins puissante mais surtout plus économique qu’Ariane 5. Cette version existera en deux configurations. La première comporte deux boosters et se destine au lancement de satellites militaires, scientifiques ou civils. La seconde, avec ses quatre boosters, peut emporter jusqu’à deux satellites de 4,5 tonnes en orbite de transfert géostationnaire.

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CES 2015 : Curie, un micro-ordinateur de la taille d’un bouton

Au Consumer Electronics Show, Intel a frappé fort en dévoilant le prototype d'un micro-ordinateur pas plus grand qu'un bouton de manchette. Appelé Curie, l'objet high-tech comprend un microcontrôleur Quark SE, de la mémoire flash, une connexion Bluetooth et divers capteurs de mouvements. Son but : équiper les petits objets connectés comme les bracelets ou les vêtements.

L’année dernière, Intel avait dévoilé Edison, un micro-ordinateur à peine plus grand qu’un timbre-poste voué à la création de « wearables » (terme anglais qui désigne les objets connectés comme des bracelets, des montres, des lunettes ou des vêtements…). Cette année, lors de sa conférence au Consumer Electronics Show (CES), le fondateur de la marque a montré qu’il pouvait aller beaucoup plus loin dans la miniaturisation et conquérir ce marché tant convoité.

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Zapping : marcher sur l’eau, marée noire magnétique et main bionique

Voici un nouveau numéro du zapping pour bien commencer l’année. À ne pas manquer dans cet épisode : le moyen de marcher sur l’eau sans se mouiller, des kangourous surveillés par des drones et une nouvelle technique pour nettoyer les marées noires. De quoi se divertir et se cultiver en vidéo.

Dans ce nouveau zapping, partez pour un voyage au cœur du monde surprenant de la science. Notre épopée débute par de la robotique, avec une main bionique intégralement pilotée par le cerveau d’une femme. Un épisode aérien vous fera aussi monter à bord d’un drone destiné à observer les kangourous. Vous verrez ensuite qu’il est possible de marcher sur l’eau sans se mouiller et qu’il existe un étonnant moyen de lutter contre les marées noires. Notre voyage continuera dans l’espace en compagnie du telescope Hubble et des Piliers de la Création pour se terminer avec d’autres sujets passionnants que nous vous invitons à découvrir au cours de ce zapping.

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La lévitation acoustique bientôt exploitable

Grâce à la lévitation, un objet peut théoriquement être manipulé sans qu’il n’y ait de contact physique. Dans la pratique, le contrôle de la lévitation, et notamment de la lévitation acoustique, restait délicat. L’innovation proposée cette semaine par une équipe brésilienne pourrait permettre d’imaginer des applications concrètes dans les secteurs de la biologie, de la chimie analytique ou encore de la pharmaceutique.

Des chercheurs de l’université de São Paulo (Brésil) ont mis au point un dispositif de lévitation acoustique qui permet de faire flotter dans l'air un petit objet, une bille de polystyrène de 3 mm de diamètre. Jusque là, rien d’extraordinaire. La nouveauté réside dans le fait que ce système particulier permet de contrôler de manière précise la lévitation et les déplacements de l’objet en question. Pour envisager de véritables applications concrètes, comme la manipulation de matières dangereuses ou de substances chimiquement sensibles, comme des produits pharmaceutiques par exemple, il reste maintenant à améliorer la méthode afin de pouvoir l’appliquer à des objets un peu plus lourds.

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Les sources hydrothermales à l'origine du vivant ?

En Nouvelle-Calédonie, le site hydrothermal de la baie de Prony, situé par moins de 50 m de profondeur près de Nouméa, est un formidable observatoire naturel qui permet de mieux comprendre les origines du vivant. On y trouve des bactéries capables d'utiliser le méthane et l'hydrogène dans un milieu alcalin, chaud mais pas trop. Les chercheurs commencent à isoler des espèces pour mieux comprendre cet écosystème extrême.

Des sources hydrothermales d’exception, connues depuis des dizaines d’années, sont étudiées depuis peu dans la baie de Prony, au sud de la Nouvelle-Calédonie. Cet écosystème marin sensible et très fragile a été reconnu par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) dans le cadre de l’inscription au patrimoine mondial des récifs et lagons de Nouvelle-Calédonie. En 2011, la campagne océanographique Hydroprony a été lancée, financée par l’Institut de recherche pour le développement (IRD) et une équipe de scientifiques issus de différents laboratoires français (IRD Nouméa, Institut Méditerranéen d’Océanologie (MIO), Geosciences Environment Toulouse et Institut de Physique du Globe de Paris). Cela a permis de débuter un vaste projet visant à étudier l’ensemble du système hydrothermal de Prony de manière multidisciplinaire en associant la géochimie, la minéralogie et la biologie.

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