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Attentat dans une discothèque d'Istanbul : l'Etat islamique revendique l'attaque, une Française parmi les victimes, le suspect toujours en fuite
©YASIN AKGUL / AFP

Zones d'ombres

Le dernier bilan du drame, qui s'est déroulé lors de la soirée du réveillon, fait état de 39 morts et 65 blessés.

La Turquie toujours sous le choc. Le soir du réveillon, un homme a ouvert le feu, au sein de l'établissement Reina, un nightclub huppé d’Istanbul, au bord du Bosphore. Le dernier bilan du drame fait état de 39 morts et 65 blessés. Dans un communiqué publié sur les réseaux sociaux, l'Etat islamique a revendiqué la fusillade. "Dans la continuité des saintes opérations menées par l’Etat islamique contre le protecteur de la Croix, la Turquie, un soldat héroïque du califat a frappé une des discothèques les plus connues où les chrétiens célèbrent leur fête apostate", est-il écrit.

Mais les zones d’ombres restent nombreuses alors que la chasse à l’homme pour retrouver le tireur est toujours en cours. Binali Yildirim, le Premier ministre turc, a déclaré que l’agresseur avait laissé son arme sur les lieux et "profité de l’anarchie pour s’enfuir". Alors que les rapports des médias faisaient état d'un individu déguisé en père Noël, Binali Yildirim a qualifié d'"infondées" ce détail de l'affaire.

Au moins 15 étrangers ont été dénombrés parmi les personnes décédées. Parmi elles, une Franco-tunisienne, tuée avec son époux tunisien dans l'attentat, a annoncé dimanche Jean-Marc Ayrault. Le porte-parole du ministre des Affaires étrangères l'a confirmé sur Twitter. Par ailleurs, quatre ressortissants français ont été blessés dans l’attaque. Le parquet de Paris a annoncé le 1er janvier avoir ouvert une enquête.

Lu sur Le Monde

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