Michel meyer est ingénieur géologue et géophysicien.
Il a vécu et travaillé dans une dizaine de pays différents au cours de sa carrière professionnelle dans des groupes énergétiques internationaux, avec une prédilection pour l'Amérique latine (dont le Brésil de 2000 à 2003, Rio de Janeiro).
Jeune retraité, il a repris des études en 2004-05, sanctionnées par 2 diplômes de 3e cycle : l'un à l'université Paris-DAUPHINE en "Développement Durable et Organisations", l'autre au CEDS (Centre d'Etudes Diplomatiques et Stratégiques, av. Marceau, Paris) en "Relations Internationales Approfondies".Il s'est alors mis au service d'une ONG de développement des collectivités en zones rurales de PED, l'ONG franco-brésilienne PRO-NATURA International, pour laquelle il effectue des missions de terrain au BRESIl (Etats de RIO, du Mato Grosso du Sud, et en AMAZONIE de l'Amapa et du Para).
En 2008, il est élu pour 6 ans Maire-Adjoint de la commune touristique de Veyrier-du-lac, sur le lac d'ANNECY (Haute-Savoie), chargé du développement Durable et des Risques naturels. De 2009 à ce jour, il réalise avec les élus de sa commune un AGENDA 21 local (sorte de programme structuré d'actions de D.D.) récompensé par la reconnaissance officielle du Ministère de l'Ecologie, tout en restant Conseiller au service bénévole de son ONG franco-brésilienne.
Il a publié en 2006 chez l'harmattan un ouvrage apprécié sur le changement de stratégie commerciale du Brésil impulsée par Lula et poursuivi par Dilma Roussef, présidente du BRESIL.
Le Sommet sur le développement durable RIO+20 pourrait être une nouvelle fois "la montagne qui accouche d'une souris". S'il est vrai que le manque d'ambition des participants est déploré par la majorité des observateurs, la couverture des médias occidentaux blasés qui annonçaient très (trop ?) tôt le désastre inutile n'a pas aidé.
20 ans après le premier Sommet mondial de la Terre en 1992, si de nombreuses expériences de développement durable ont été réalisées dans les domaines de l’énergie, l’agriculture, l’aménagement urbain et la production et la consommation, bien des obstacles imprévus en 1992 ont surgi et généré des retards et des adaptations.
