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Depuis novembre 2018, rien n'arrête le gang des tueurs de chevaux
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Sérial-équidé

L'ombre des tueurs plane au-dessus des haras français avec deux victimes supplémentaires ces dernières semaines en Seine-Maritime.

Les serials-killers ne se limitent plus aux hommes, ils poussent leur démence vers les chevaux. Plusieurs morts d'animaux inexpliquées ont été recensées dans différents départements français et pour répondre à cela des enquêtes ont été ouvertes fin juin dernier dans la Somme et le Puy-de-Dôme. Depuis le premier meurtre en décembre 2018, le nombre de cas se porte à onze victimes aujourd'hui. 

Comment reconnaître le mode opératoire des tueurs ? Chaque assasinat répond au même mode opératoire, les équidés sont mutilés et retrouvés morts avec l'oreille droite sectionnée. Le Service central du renseignement territorial (SCRT) pointe « une véritable volonté de porter atteinte aux équidés de manière générale tout en gardant une oreille en trophée » rapporte le Parisien. Les motivations des tueurs sont encore inconnues mais la piste d'un gang de tueurs expérimenté semble privilégiée car selon le SCRT « Peu de gens savent manipuler les équidés. » et « Les traces constatées sur les naseaux laissent présumer l'utilisation d'un tord-nez, accessoire demandant à son utilisateur des connaissances et des compétences dans le monde équestre pour le manipuler avec efficacité. »

D'autres enquêtes ont été ouvertes dans l'Aisne, la Somme, en Vendée, en Moselle, dans la Loire et le Lot et la justice se donne les moyens de trouver les coupables vite car "il y a une sensibilité forte autour de la souffrance des animaux" déclare le procureur d'Amiens. 

Le Point

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