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La transhumance des Cévennes veut son inscription au Patrimoine mondial de l'Humanité
©JEAN-PIERRE CLATOT / AFP

Reconnaissance

La transhumance vient d'intégrer l'inventaire des traditions françaises, première étape avant le classement au patrimoine culturel immatériel de l'UNESCO.

La transhumance vient d'intégrer l'inventaire national des traditions protégées par le patrimoine culturel immatériel de l'UNESCO, s'est félicitée l'Entente Interdépartementale des Causses et des Cévennes. "Cette reconnaissance permet à un des éléments patrimoniaux des Causses et Cévennes une mise en lumière majeure", souligne l'Entente.

Alors que les premières montées en estives ont commencé dans les différents massifs français, l'annonce a été faite le 2 juin. Ces transhumances sont organisées chaque année, deux fois par an, principalement dans les Pyrénées (Ariège, Hautes-Pyrénées et Pyrénées-Atlantiques) et vers le plateau de l'Aubrac (Lot-Aveyron- Lozère). Avec cette reconnaissance, l'Entente veut mettre en avant  les modes de conduite des troupeaux transhumants, les modes d’élevage et les pratiques de gestion pastorale en altitude, les pratiques coutumières de gestion collective des territoires pastoraux, les savoir-faire liés à l’artisanat et à l’élaboration de produits alimentaires, enfin, les pratiques sociales, rituels et événements festifs en temps de transhumance.

Cette inscription à l'Inventaire national du patrimoine culturel immatériel permettra la mise en place d'un plan de sauvegarde de cette pratique. Elle marque la première étape obligatoire avant le dépôt d’une candidature internationale. Pour cette seconde phase, l’Espagne, l’Andorre, la Croatie, l’Albanie, la Roumanie et le Luxembourg s’associeront à la France pour un examen international en décembre 2021.

La Dépêche

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