"C'est une chiennasse" : des enregistrements gênants pour Tex dévoilés aux prud'hommes<!-- --> | Atlantico.fr
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Tex dans les Z'amours
Tex dans les Z'amours
©Capture d'écran France 2

Malaise

L'animateur réclame 1,2 million d'euros devant le tribunal des prud'hommes pour rupture abusive de contrat.

Viré par France 2 après une blague sexiste, Tex a attaqué la chaîne et la société de production des Z'amours aux prud'hommes, réclamant 1,2 million d'euros pour rupture abusive de contrat. Mais lors de son audition mercredi 16 mai, l'avocate de la société de production Sony Pictures Televisiona a dévoilé d'autres dérapages (non-diffusés à la télévision) de l'animateur, rapporte Le Parisien.

"Ah, je t’ai pas encore baisée ?"

"C’est une chiennasse avec ses grosses loches", aurait lancé Tex à propos d'une des candidates, selon l'avocate de la défense. Selon des enregistrements sur lesquelles elle s'appuyait, elle a indiqué que le comique de 58 ans aurait également pratiqué "des 'mouvements suspects' alors qu’une autre participante lui confiait que sa sexualité n’était pas débordante", et insulté Marlène Schiappa, secrétaire d’État chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes.

En outre, l'avocate de Sony Pictures a fait part d'une conversation entre Tex et une collègue. "Ah, je t’ai pas encore baisée ? Parce que tu sais, je les prends par devant, par derrière, sur le côté", aurait lancé l'animateur à cette dernière. In fine, Tex aurait déclaré à propos de sa blague qui lui a coûté sa place dans l'émission : "Je l’ai fait pour le buzz. De toute façon, je savais ce que je faisais. C’était pour faire parler de moi".

Pour sa défense, le principal concerné a fustigé des méthodes "déloyales". "C’est dégueulasse", a-t-il lancé, selon Le Parisien. Et d'ajouter : "C’est de l’espionnage. On voudrait détruire ma réputation, on ne ferait pas mieux. Vous êtes là à vous faire insulter, et vous ne pouvez même pas répondre".

Lu sur Le Parisien

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