La pollution atmosphérique touche un tiers de la France ; Record : l'étoile hypergéante jaune de 1,8 milliard de km de diamètre<!-- --> | Atlantico.fr
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Un bon tiers nord de la France souffre depuis quelques jours d’un pic de pollution atmosphérique.
Un bon tiers nord de la France souffre depuis quelques jours d’un pic de pollution atmosphérique.
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Et aussi : L'âge d'un éléphant se reconnaît... à sa voix ; Un disque de matière noire a-t-il tué les dinosaures ? ; Météorites martiennes : leur cratère a été retrouvé !

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La pollution atmosphérique touche un tiers de la France

Un bon tiers nord de la France souffre depuis quelques jours d’un pic de pollution atmosphérique qui se poursuit encore aujourd’hui et pourrait décliner à partir de demain. Quelques consignes et précautions s’imposent.

Une vague de ciel bleu et de températures anormalement douce sévit en France depuis une semaine. Une sensation agréable qui nous rappelle que le printemps approche et qui tranche nettement avec les épisodes pluvieux et tempétueux qui ont durement frappé le nord-ouest de la France durant l’hiver. Mais cette météo souriante n’est pas exempte d’effets indésirables. Car depuis mardi, un nuage de pollution aux particules fines (PM10) se répand dans un bon tiers nord de l’Hexagone.

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Record : l'étoile hypergéante jaune de 1,8 milliard de km de diamètre

HR 5171 A : découverte par les astronomes de l'ESO, cette étoile est une hypergéante jaune. Sa taille est effectivement gigantesque : si elle était installée à la place du Soleil, elle engloberait l'orbite de Jupiter. Très rare dans la Voie lactée où seulement une douzaine de cas sont connus, ce type d'astre est un laboratoire pour mieux comprendre le destin des étoiles massives. En prime : celle-ci a une compagne dont elle est si rapprochée que les deux se mélangent.

La découverte de la véritable nature de l’étoile HR 5171 A par une équipe internationale de chercheurs ayant utilisé l'interféromètre du Très Grand Télescope de l'ESO, le VLTI (Very Large Telescope Interferometer), aurait probablement intéressé le grand astrophysicien indien Chandrasekhar. Alors qu’il jetait les bases de la théorie des naines blanches au début des années 1930, le prix Nobel avait aussi étudié mathématiquement en détail dans plusieurs articles impressionnants la structure interne des étoiles déformées par les forces de marée issues d’une étoile compagne dans un système binaire.

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L'âge d'un éléphant se reconnaît... à sa voix

Un article décrit comment des chercheurs ont pu estimer l’âge d’éléphants en se basant sur les sons qu’ils émettent. La méthode développée permettrait de mieux suivre les populations menacées et donc de les protéger.

Lorsqu’un animal grossit, la fréquence de sa voix diminue : c’est ce principe que des chercheurs autrichiens ont utilisé pour arriver à déterminer l’âge d’éléphants à partir d'enregistrements sonores.

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Un disque de matière noire a-t-il tué les dinosaures ?

Certains modèles exotiques de matière noire permettent d'imaginer qu'une fraction des particules la constituant ne forme pas de halos autour des galaxies spirales mais un second disque à l'intérieur. Selon deux chercheurs états-uniens, dont la célèbre Lisa Randall, en traversant périodiquement ce disque, notre Système solaire et surtout son nuage de Oort seraient suffisamment perturbés pour qu'augmente le taux de bombardement cométaire des planètes internes. Tous les 35 millions d'années environ, des comètes causeraient des extinctions importantes, comme celle de la crise K-T.

Alors que la thèse de la météorite (ou de la comète) tueuse de dinosaures des Alvarez (père et fils) gagnait lentement en crédibilité pendant les années 1980, elle a conduit plusieurs astronomes et physiciens, dont Richard A. Muller, à proposer plusieurs scénarios pour rendre compte d’une apparente périodicité dans les extinctions importantes ayant frappé la biosphère au cours des derniers 250 millions d’années. En effet, en 1984, les paléontologues David Raup et Jack Sepkoski ont publié un article dans lequel ils affirmaient avoir identifié une telle périodicité, dont la valeur était d’environ 26 millions d’années.

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Météorites martiennes : leur cratère a été retrouvé !

Une équipe franco-norvégienne, dont le laboratoire de Géologie de Lyon (université Claude Bernard Lyon 1, CNRS, ENS Lyon) fait partie, pense avoir découvert le cratère source de certaines météorites martiennes, les shergottites. Elles proviendraient du cratère Mojave, large de 55 km. Ce cratère, qui a été formé il y a moins de cinq millions d’années, permet maintenant de replacer les informations cruciales fournies par ces météorites dans un contexte d’évolution planétaire. Ce résultat est paru dans la revue Science.

Les météorites martiennes, ainsi que celles provenant d’autres corps planétaires, sont à ce jour des échantillons uniques puisqu’ils sont les seuls à pouvoir être analysés en laboratoire avec des instruments et des techniques sophistiqués non accessibles par l’exploration spatiale. Ces analyses détaillées donnent accès à l’âge de ces échantillons, mais aussi à leur composition minéralogique et chimique qui apportent des informations cruciales quant à la nature et à l’évolution du corps parent.

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