Suisse : il veut embrasser le jet d'eau de Genève et termine aux urgences<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Faits divers
Le jet d'eau de Genève, où l’eau est expulsée 200km/h à un débit de 500 litres par seconde
Le jet d'eau de Genève, où l’eau est expulsée 200km/h à un débit de 500 litres par seconde
©Photo AFP

Mauvaise idée

Un jeune homme d a eu la très mauvaise idée d'essayer d'embrasser le gigantesque jet d'eau de Genève, qui jaillit du lac Léman à 140 mètres de hauteur, rapporte le quotidien 20 minutes suisse.

Malgré l’interdiction formelle de s’en approcher, un jeune homme a franchi la barrière d’accès au jet, avant de poser son visage sur la buse d’où l’eau jaillit à 200km/h à un débit de 500 litres par seconde, chiffres des Services industriels de Genève (SIG), qui gèrent le « monument » le plus célèbre de la ville.

Violemment propulsé en arrière, le jeune homme n’a pas voulu en rester là. Après avoir repris ses esprits, il a décidé d'entourer le jet de ses deux bras. Cette fois, la force de l'eau l'a propulsé en l'air de plusieurs mètres et il est retombé sur la dalle qui entoure la buse, avant de se jeter à l’eau.

La police, alertée par les témoins, est allée le repêcher. « Les agents sont venus demander de couper le Jet d'eau en urgence pour pouvoir aller le chercher », raconte un témoin à 20 minutes.

Les policiers « lui ont porté secours et l'ont hissé » dans leur embarcation, indique Aline Dard, porte-parole de la police genevoise. Pris en charge par une ambulance, le jeune homme a été conduit aux Hôpitaux universitaires de Genève. Son état de santé n'était pas connu dans l'immédiat. 

Les SIG ont annoncé qu'ils allaient porter plainte, comme ils le font systématiquement en cas de viol du périmètre de sécurité.

Le Figaro

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !