Au Japon, un "girls band" chante la gloire du bitcoin et des cryptomonnaies<!-- --> | Atlantico.fr
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Les "Kasotsuka Shojo" (capture d'écran Twitter)
Les "Kasotsuka Shojo" (capture d'écran Twitter)
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Trop kawaï

Les "Kasotsuka Shojo" souhaitent montrer que les monnaies virtuelles représentent "une technologie merveilleuse".

Il y a peu de chance que vous ayez entendu parler de ce tout nouveau groupe de J-pop – la pop japonaise. Pourtant, on pourrait bien tenir là un phénomène comme en raffole le pays du Soleil Levant. Composés de huit jeunes filles de 15 à 22 ans - portant de curieuses jupettes et des masques vaguement inquiétants - les Kasotsuka Shojo – littéralement "les filles des devises virtuelles" – souhaitent chanter les louanges et promouvoir… les monnaies virtuelles.

Il faut dire que le territoire cité est particulièrement propice : l’archipel nippon est en effet le premier pays à avoir officiellement reconnu le bitcoin comme moyen de paiement en avril 2017. Vendredi, le groupe de starlettes fera ses grands débuts sur scène. Rara Naruse, alias bitcoin – la leader -  se veut positive. « Nous voulons montrer à travers la musique que les monnaies virtuelles ne sont pas juste un outil spéculatif, mais aussi une technologie merveilleuse qui va façonner l’avenir.”

On retrouve également dans ce groupe Suzuka Minami, 22 ans, représente le "neo" ou encore Hinata Kozuki, 15 ans, avatar du "ripple". Mashable souligne que "leur première chanson 'La lune, les monnaies virtuelles et moi' met en garde les auditeurs contre les cryptomonnaies frauduleuses et donne des conseils pour protéger son portefeuille numérique". Et histoire d’être cohérent, l’achat de billets pour aller écouter le groupe "ne pourra se faire qu’en cryptomonnaies” précise Quartz.

Lu sur France 24

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