Pour en savoir plus sur Montréal, rendez-vous sur <a class="Colorbox" href="http://www.peplum.com" target="_blank">le site de Peplum</a> Pour résumer&nbsp;: à Montréal, le quartier du Plateau regorge de bons restaurants. &quot;Downtwon&quot;, le centre, concentre l&#39;art sous toutes ses formes. Sept stations de métro séparent les deux zones, soit quinze minutes de trajet. Mode de transport à éviter tant que la météo, exceptionnellement favorable en été, le permet. On marche donc jusqu&#39;au Musée des Beaux-Arts, que dirige actuellement une Française. Surprenant dans cette partie a priori anglophone de la ville. Et elle n&#39;est pas la seule&nbsp;: avant elle, Guy Cogeval, aujourd&#39;hui Président du Musée d&#39;Orsay, à Paris&nbsp;; mais aussi et surtout Sylvain Cordier, le commissaire de &quot;Fabergé&nbsp;: joailler des tsars&quot;, une exposition renversante d&#39;émotion. On doit ce transport au scénographe Hubert le Gall (encore un Français!) qui a su souligner le luxe de la collection présentée dans une mise en scène d&#39;une grande sobriété. Visite privée. Les escaliers de l&#39;aile moderne mènent à une toile de l&#39;artiste canadien Dorian FitzGerald. &quot;Cette toile constitue une bonne introduction. Les réflexions de l&#39;artiste portent généralement sur l&#39;industrie du luxe. Et le relief de ce tableau-ci évoque la technique du cloisonnée, si chère à Pierre-Karl Fabergé&quot;. À droite, la chronologie de l&#39;artisan joailler&nbsp;; à gauche, 250 photos d&#39;œufs précieux, dont quatre rythment le parcours à suivre. En Russie, les hommes mariés offraient un pendentif à leur épouse le matin de Pâques. Alexandre III inaugure la tradition des œufs, en 1885. Son successeur double la mise en en commandant, chaque année, un pour sa femme, Alexandra Fiodorovna, et un pour sa mère, Dagmar de Danemark, dont il admirait le travail caritatif. Un film de la BBC s&#39;entend projeter dans le prolongement des marches enfin gravies. À réserver pour la fin. <img alt="" height="306" src="http://static.v3.atlantico.fr/sites/default/files/staging/import/ufile/sites/atlantico.fr/files/u39253/2014/09/montreal-faberge-2.jpg" width="480" /> La première salle souligne d&#39;emblée la relation entre religion et pouvoir, en Russie. Face à un étalage de pendentifs montés sur des ovoïdes en or &ndash; clin d&#39;œil aux maillons forts de l&#39;exposition &ndash; se profile une série d&#39;icônes, pour la plupart encadrées par Fabergé lui-même. Leur éclat est tel qu&#39;elles feraient presque de l&#39;ombre à l&#39;œuf trônant au beau milieu de la pièce, un ovale surmonté d&#39;un pélican rose. C&#39;est le plus petit de la collection, le seul dont le socle soit pourtant authentique. Le volatile symbolise la piété filiale d&#39;Alexandre II et, plus généralement, la Passion du Christ. &nbsp;<img alt="" height="640" src="http://static.v3.atlantico.fr/sites/default/files/staging/import/ufile/sites/atlantico.fr/files/u39253/2014/09/montreal-faberge-3.jpg" width="480" /> De l&#39;ocre le décor passe au noir et blanc. &quot;Chaque œuf impose une atmosphère différente&quot;, continue Sylvain Cordier. &quot;Cette salle sert de contextualisation&quot;. Le regard y croise des noms inconnus. Dans les vitrines cohabitent des œuvres des contemporains de Fabergé, rivaux, associés et épigones confondus. Tiraillée entre l&#39;Occident et l&#39;Orient, la Russie cherchait alors à définir une esthétique bien à elle. D&#39;où une extrême variété de motifs. On ne peut s&#39;empêcher de remarquer un vase d&#39;apparence chinoise&nbsp;: ses anses prennent la forme de dragons multicolores. Une autre jarre ressemble, par sa géométrie, à un temple mauresque. La silhouette d&#39;Ivan le Terrible, Catherine II, Nicolas II et Pierre le Grand s&#39;étirent sur les murs immaculés. La confrontation de ces grandes figurent politiques contribue à légender l&#39;œuf central, œuf dit &laquo;&nbsp;Pierre le Grand&nbsp;&raquo;. D&#39;un côté figure une maison en rondins&nbsp;; de l&#39;autre, le Palais d&#39;hiver, résidence royale. L&#39;association des deux renvoie indirectement à une citation de Catherine II fière d&#39;avoir transformé une cité de bois, Saint-Pétersbourg, en une ville de pierre. L&#39;originalité de cette section tient enfin à sa bande-son. Rares sont les expositions accompagnées de musique, il est vrai. Heureusement, on n&#39;est pas au bout de ses surprises&nbsp;! <img alt="" height="643" src="http://static.v3.atlantico.fr/sites/default/files/staging/import/ufile/sites/atlantico.fr/files/u39253/2014/09/montreal-faberge-4.jpg" width="482" /> L&#39;étape suivante reproduit l&#39;atmosphère des boutiques qu&#39;ouvre Fabergé au début du XXe siècle. À droite de l&#39;entrée, une photographie permet de comparer le travail d&#39;Hubert le Gall avec la réalité de l&#39;époque. L&#39;éclairage est assuré par une poignée de lampes en cuivre. Les vitrines à bijoux ont été déposées sur des tables aux contours ondulés. Les artisans joaillers s&#39;appuyaient sur les parties pleines et suspendaient au creux accueillant leur tronc un sac en cuir où recueillir la poudre d&#39;or produite par leur dur labeur. À gauche, une série de cadres agressent la vue. &quot;Les couleurs sont beaucoup trop criardes pour être signées Fabergé. Cartier débauchait même ses employés afin d&#39;émuler la palette de ce dernier&quot;, explique le commissaire d&#39;exposition. Ces &quot;Faux-bergés&quot;, ainsi qu&#39;on les appelle dans le milieu de l&#39;orfèvrerie, au-delà de leur fonction de faire-valoir, apportent une touche d&#39;humour qui s&#39;avère la bienvenue une fois que l&#39;on pénètre la dernière salle. L&#39;exposition se conclue sur le destin tragique des Romanov, persécutés à l&#39;aube de la révolution de 1917. La pièce a été agencée de manière à ce que le visiteur ait l&#39;impression d&#39;être dans l&#39;appartement de la famille impériale, partagée entre le désir de contempler sa collection d&#39;objets personnels et le besoin de jeter un œil sur l&#39;agitation des rues. Les ouvertures projetant des images d&#39;archives jouent justement ce rôle de fenêtres vers l&#39;extérieur. La dramatisation atteint son apogée dans les éclats de verre géants qui tapissent les murs. Un signe avant-coureur de rupture. À la même époque, Fabergé doit revoir son budget à la baisse. De là la sobriété qu&#39;arbore le dernier œuf exposé, un hommage émouvant que rend Nicolas II à sa mère, Présidente de la Croix Rouge durant la Première Guerre Mondiale. Ébloui par tant de trésors, on a le choix entre parcourir les salles d&#39;expositions permanentes, ou partir à la découverte de Montréal. Quelle richesse dans les deux cas&nbsp;!

Une exposition de luxe à Montréal 

Atlantico Grand Large

Pour en savoir plus sur l’art à Berlin, rendez-vous sur le site de <a href="http://www.peplum.com" target="_blank">peplum.com</a>S'il existait un prix consacrant la ville la plus artistique d'Europe, il reviendrait sûrement à Berlin. Cela fait quelques années déjà que la capitale allemande passe pour le nouveau bastion de l'art contemporain. Entre la célèbre «&nbsp;Museumsinsel&nbsp;», classée au patrimoine mondial de l'Unesco, la constellation de galeries qui animent le centre, le street art qui tempère le dénuement des périphéries urbaines, les installations qui se profilent à chaque coin de rue, on finit par parcourir la ville tel un musée. Les yeux grand ouverts, toujours à l'affût d'une nouvelle découverte, le pas lent, freinant devant la moindre curiosité, la bouche bée, quand les mots lui manquent. L'art est partout à Berlin. Fusionné à l'histoire, la politique, ou la géographie, il donne corps à un parcours unique au sein d'une des capitales culturelles les plus riches d'Europe.&nbsp;<img src="http://static.v3.atlantico.fr/sites/default/files/staging/import/ufile/sites/default/files/u39253/2013/11/weekend-berlin-art-1.jpg" alt="" width="480" height="359">Il y a deux façons de visiter Berlin&nbsp;: soit en préparant son itinéraire en amont, de peur de manquer l'incontournable&nbsp;; soit en circulant au gré du vent, sûr de tomber sur quelques merveilles architecturales. En effet, il y a tant à voir, que l'on sait rarement par où commencer. Un conseil&nbsp;: partir du connu pour glisser progressivement vers l'inconnu. Point de départ, donc, l'île aux musées (Museuminsel) partagée en cinq monuments, dont l'extérieur vaut déjà le détour. Plongé dans les eaux de la Spree, le musée Bode - du nom de son tout premier conservateur - se distingue par sa collection de sculptures et de joyaux byzantins, quoique l'on n'ait déjà le souffle coupé par la statue équestre de Frédérique II de Prusse trônant dans le hall d'entrée. L'illusion de mouvement est telle que l'on croirait le cheval prêt à sauter à l'étage par-delà la rampe de l'escalier principal.<img src="http://static.v3.atlantico.fr/sites/default/files/staging/import/ufile/sites/default/files/u39253/2013/11/weekend-berlin-art-2.jpg" alt="" width="479" height="358">On pénètre le musée de Pergame. Quel rapport entre l'archéologie du Proche Orient et Berlin, franchement&nbsp;? On arrête pourtant de rechigner face au grand arche bleu orné d'animaux ocres. C'est la porte d'Ishtar. On pourrait rester des heures devant cet édifice qui subjugue tant par sa grandeur que son détail&nbsp;; car là est le tour de force du musée de Pergame, dans l'exposition de pièces grandeur nature qui lui confèrent l'allure d'un véritable temple sacré.<img src="http://static.v3.atlantico.fr/sites/default/files/staging/import/ufile/sites/default/files/u39253/2013/11/weekend-berlin-art-3.jpg" alt="" width="479" height="320">On quitte l'Antiquité pour rafraîchir la mémoire proche. On ne peut dissocier l'art berlinois de l'histoire allemande. À cette prise de conscience participe la vision d'un édifice évoquant une étoile de David brisée. Il s'agit du Musée juif, dont l'exposition permanente retrace, à travers livres, lettres et photos, entre autres documents, les deux millénaires de la communauté juive à Berlin. Avec pour pièce maîtresse, soit unique, le chandelier de Hanouka, œuvre du maître berlinois Georg Wihlm Magraff. Non loin de là, le Mémorial de l'holocauste, inauguré en 2005, impressionne par la quantité de stèles qui le constitue. Au total, 2 711 monolithes de béton anthracite, répartis à intervalles réguliers sur 1 073 m². Des millions de questions découlent de cette funèbre exploration. Des questions auxquelles répond en partie le centre de documentation voisin/ad hoc. Troisième lieu de mémoire&nbsp;: la Synagogue, considérée comme le monument religieux le plus beau de Berlin avant de tomber en ruines durant la Nuit de cristal, le 9 novembre 1938. On n'y va pas pour prier, mais pour s'initier à la culture juive. Restaurée après la chute du mur, elle se pose aujourd'hui comme musée de la communauté sémite à Berlin.<img style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="http://static.v3.atlantico.fr/sites/default/files/staging/import/ufile/sites/default/files/u39253/2013/11/weekend-berlin-art-4.jpg" alt="" width="478" height="318">Sonné par le poids de ce lourd passé, on part se perdre dans les méandres du centre-ville (Auguststraße) ; car Berlin, c'est avant tout un labyrinthe de galeries. Des galeries le plus souvent cachées là où on ne les attend pas. La façade très classique du KW Institute for Contemporary Art, par exemple, ressemble à celle d'un institut culturel ou bien d'une ambassade, alors qu'il s'agit en réalité d'un des principaux carrefours avant-gardistes de Berlin. Un véritable tremplin pour les jeunes talents. Pour les célébrités, rendez-vous à la Galerie Kicken, qui renferme, entre autres clichés, des œuvres de Diane Arbus et Andy Warhol. Son décor noir et blanc évoque l'art de la photographie. Petit plus&nbsp;: la cour intérieure, dont on regrette qu'elle n'abrite pas un café.<img src="http://static.v3.atlantico.fr/sites/default/files/staging/import/ufile/sites/default/files/u39253/2013/11/weekend-berlin-art-5_0.jpg" alt="" width="483" height="309">Dire que le moderne efface le classique, à Berlin&nbsp;; c'est passer à côté de l'une de ses institutions. Fondée en 1696 sur le modèle des académies française et romaine, l'Akademie der Künste oscille pourtant aujourd'hui entre le classicisme de ses collections permanentes et le modernisme de son aile contemporaine. Pareille alliance ne surprend plus tant elle se pratique dans le monde. Que ce soit à Vienne, Londres ou Montréal, les beaux-arts flirtent désormais avec des disciplines a priori moins nobles. A priori seulement, c'est ce que montre actuellement l'exposition « Arte Postale », un large fonds de lettres et cartes postales confectionnées par des noms célèbres de Joseph Beuys, à George Grosz en passant par Else Lasker-Schüler, par exemple. L'occasion d'apprécier ces morceaux de papiers souvent dépréciés en tant qu'œuvres d'art, si ce n’est en tant que bouclier politique, puisque que les missives dénonçant picturalement le totalitarisme échappaient pour la plupart à la censure. Plus de 700 exposants, donc, à découvrir dans l’un des foyers les plus riches de l'art européen.

GRAND large berlin 

Berlin sous le prisme de l'art

Grand large

International

Consommation

Pour en savoir plus sur la Nouvelle-Zélande, <a href="http://www.peplum.com">rendez-vous sur le site de Peplum </a>Peu de destinations offrent un tel panel d&rsquo;activités. Des plages de sable fin aux hauts sommets enneigés, en passant par les lacs et les rivières, la Nouvelle-Zélande est un véritable terrain de jeu. On l&rsquo;explore à cheval, en canoë, en 4x4 ou même par les airs pour une aventure unique et complète. De nombreux établissements hôteliers se sont lancés dans ce créneau, et parmi eux certains domaines très luxueux. Idéal pour un parcours mêlant confort et aventure.<img alt="" height="302" src="http://static.v3.atlantico.fr/sites/default/files/staging/import/ufile/sites/atlantico.fr/files/u39253/2014/05/nouvelle-zelande-luxe-aventure-1.jpg" width="483" />Tout au nord du pays, l&rsquo;EaglesNestsurplombe la baie des îles. Nous sommes sur l&rsquo;île du Nord, l&rsquo;une des deux plus grandes de la Nouvelle-Zélande. En maori, on l&rsquo;appelle Te Ika-a-Maui. Plus poétique. Traduction&nbsp;: &laquo;&nbsp;le poisson de Maui&nbsp;&raquo;, un héros de la mythologie polynésienne. Réputée pour ses petites plages de sable bordées d&rsquo;eau turquoise, la baie des îles l&rsquo;est aussi pour accueillir dauphins et baleines. De fait, elle est l&rsquo;un des meilleurs endroits où observer les mammifères marins en Nouvelle-Zélande. D&rsquo;une manière générale, les activités tournent ici autour de la mer. Climat oblige. Plongée, en tuba ou en bouteilles, ski nautique, parachute ascensionnel, l&rsquo;offre sportive est plutôt vaste. Mais entre la mer, le vélo et le golf, c&rsquo;est le cheval qui est le seigneur des lieux. L&rsquo;attraction clé: la randonnée équestre. Au départ d&rsquo;un volcan surélevé offrant une vue imprenable sur la baie, le parcours rejoint les plages,&nbsp;pile au bon moment pour assister à un superbe coucher de soleil pendant que sa monture trotte les sabots dans l&rsquo;eau.<img alt="" src="http://static.v3.atlantico.fr/sites/default/files/staging/import/ufile/sites/atlantico.fr/files/u39253/2014/05/nouvelle-zelande-luxe-aventure-2-1.jpg" style="width: 600px; height: 237px;" />Quand on sait que l&rsquo;EaglesNest, considéré comme l&rsquo;un des lodges les plus luxueux de l&rsquo;île du Nord, ne compte que cinq villas privées, la sensation d&rsquo;exclusivité se renforce. Comme si l&rsquo;aventure nous appartenait. L&rsquo;aventure, justement, se poursuit sur l&rsquo;autre grande île du pays. L&rsquo;île du Sud, ou Te Wai Pounamu, &laquo;&nbsp;La rivière des pierres vertes&nbsp;&raquo; en maori. Beaucoup plus grande que sa voisine du nord, elle est aussi beaucoup moins peuplée, puisqu&rsquo;elle abrite moins de 25 % de la population du pays. Ici, c&rsquo;est la nature qui prime. Celle qui a séduit nombre de cinéastes, à commencer par Peter Jackson, qui y a tourné les trois volets du Seigneur des Anneaux, puis ceux du Hobbit.<img alt="" src="http://static.v3.atlantico.fr/sites/default/files/staging/import/ufile/sites/atlantico.fr/files/u39253/2014/05/nouvelle-zelande-luxe-aventure-3.jpg" style="width: 475px; height: 320px;" />Premier arrêt, en plein cœur de l&rsquo;île, dans la chaîne montagneuse des Alpes du Sud. Avec une quinzaine de sommets culminants à plus de 3000 mètres, sa hauteur a impressionné les premiers explorateurs. C&rsquo;est d&rsquo;ailleurs le capitaine James Cook qui a baptisé ce massif, en 1770. Le plus haut sommet porte son nom, le mont Cook, et culmine à 3724 mètres d&rsquo;altitude.Entouré de parcs nationaux, le Grasmere Lodge s&rsquo;est installé dans une ancienne ferme d&rsquo;exploitation de calcaire. Les murs, qui datent de 1858, évoquent la ruée vers l&rsquo;or à laquelle se sont livrés les colons européens. Tout comme l&rsquo;intérieur, en bois et en pierre, meublé de grands et larges canapés en cuir qui brillent à la lueur des flammes dansant dans la cheminée. Complètement rénové en hôtel de grand luxe, le ranch est une aujourd&rsquo;hui un symbole de l&rsquo;alliance entre le confort et la nature. Ici, le climat est moins clément que dans le nord, mais les sorties ne sont pas moins belles. A pied ou en VTT, on peut randonner dans les montagnes ou les forêts environnantes, revivre les épopées des personnages de Tolkien. En 4x4, les sorties deviennent plus sportives. On s&rsquo;élance sur les sentiers difficiles, on passe les torrents et les rivières, on s&rsquo;aventure dans des endroits reculés. Entourés de lacs et de rivières, l&rsquo;hôtel est aussi le parfait point de chute pour un séjour rythmé par la pêche ou les sorties en canoë. Mais au-dessus de tout cela, la plus belle sortie reste de décoller, en avion ou en hélicoptère privé, au-dessus des montagnes et des vallées. Explorer le cœur de la Nouvelle-Zélande depuis les airs. Exceptionnel.<img alt="" src="http://static.v3.atlantico.fr/sites/default/files/staging/import/ufile/sites/atlantico.fr/files/u39253/2014/05/nouvelle-zelande-luxe-aventure-4.jpg" style="width: 320px; height: 475px;" />Encore un peu plus au sud, en bordure de la chaîne montagneuse, le lac Wakatipu est le plus long du pays&nbsp;: 80 kilomètres. Et avec 291 km&sup2;, c&rsquo;est aussi l&rsquo;un des plus vastes. C&rsquo;est au bord de ce lac que se trouve la modeste ville de Queenstown (10&nbsp;000 habitants). Modeste mais réputée, car Queenstown est la ville reine des sensations fortes en Nouvelle-Zélande. De très nombreux amateurs de sports extrêmes rallient cette ville à toute saison. Beaucoup viennent pour sauter à l&rsquo;élastique, activité mythique de la région, dans les gorges de Nevis. A une hauteur de 134 mètres, c&rsquo;est l&rsquo;un des sauts les plus hauts du monde.<img alt="" height="267" src="http://static.v3.atlantico.fr/sites/default/files/staging/import/ufile/sites/atlantico.fr/files/u39253/2014/05/nouvelle-zelande-luxe-aventure-5.jpg" width="508" />Mais on ne peut pas limiter les attraits du lac Wakatipu au saut à l&rsquo;élastique. Que ce soit sur les eaux où dans les montagnes, il n&rsquo;y a aucune limite, ou presque. Pour cela, mieux vaut s&rsquo;éloigner de Queenstown. Complètement isolé au nord du lac, le BlanketBay ne compte que cinq chambres, trois suites et quatre chalets. Tout repose dans un luxe sobre et confortable. Le calme absolu. Et l&rsquo;aventure à portée de main. Si, comme ailleurs dans le pays, randonnées pédestres et équestres, sorties en VTT ou en canoë sont quotidiennes, les abords du lac sont l&rsquo;endroit parfait où s&rsquo;adonner au jetboating, dont la principale activité consiste en réalité à s&rsquo;accrocher au bateau à moteur qui dévale les rivières cernées par les murs des canyons. Autre manière d&rsquo;affronter les reliefs&nbsp;: le hors-piste. En hiver, le lodge se transforme en héliport. Les adeptes de glissent quittent l&rsquo;hôtel en hélico privé, rallient les sommets et dévalent les pentes enneigées. Avant de remonter, toujours en hélico, vers un autre pic.<img alt="" height="247" src="http://static.v3.atlantico.fr/sites/default/files/staging/import/ufile/sites/atlantico.fr/files/u39253/2014/05/nouvelle-zelande-luxe-aventure-6.jpg" width="470" />Et quand on pense enfin avoir fait le plein de sensations, on peut se lancer dans l&rsquo;autre atout de la région&nbsp;: le vin. Car Queenstown, également réputée pour être une capitale gastronomique, se trouve non loin d&rsquo;une des plus grandes régions viticoles de Nouvelle-Zélande, regorgeant de Pinot Noir. Tout l&rsquo;art de transformer un parcours d&rsquo;aventure en séjour culinaire et œnologique.&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;

La Nouvelle-Zélande entre luxe et aventure

<h3 class="Standard s2" style="text-align: left;" align="center">Malé, la cité de l’île</h3>Pour en savoir plus sur les Maldives, rendez-vous sur le site de <a href="http://www.peplum.com" target="_blank">Peplum.com</a>. &nbsp;Malé. Maléfice&nbsp;? Destination très en vogue, notamment en matière de voyage de luxe, la République des Maldives connaît un déséquilibre démographique dont bénéficie sa capitale autant qu’elle en pâtit. Alors que les touristes se répartissent sur les 1&nbsp;199 îles de l’archipel, c’est à Malé que se concentre la majorité de la population maldivienne. Un effectif qui représente près de 100 000 personnes. Si nombreux sont les autochtones, cela ne signifie pas que l'accès à la ville est interdit aux voyageurs. Au contraire&nbsp;! Rien de tel qu'un crochet par le centre économique d'un pays avant d'en découvrir les environs.&nbsp;<img src="http://static.v3.atlantico.fr/sites/default/files/staging/import/ufile/sites/default/files/voyages_maldives_decouverte_de_male_1.jpg" alt="" height="322" width="483">On parle de labyrinthes grecs. De ce point de vue, les Maldives ne sont pas en reste. La ville de Malé, par exemple, s'étale sur plusieurs îles, dont une divisée en quatre secteurs, Henveiru, Galolhu, Machchangolhi et Maafannu. Un vrai dédale&nbsp;! En raison d'un débordement démographique conséquent, le gouvernement a décidé de créer un îlot artificiel à partir du sable puisé dans les profondeurs de la mer. Sur cette terre d'accueil prévue pour recevoir 100&nbsp;000 habitants, les bâtiments en cours de construction s'élèvent à plus de 2 mètres de haut en prévision d'éventuelles montées d'eaux.&nbsp;<img src="http://static.v3.atlantico.fr/sites/default/files/staging/import/ufile/sites/default/files/voyages_maldives_decouverte_de_male_2.jpg" alt="" height="322" width="483">Sous la dernière présidence, Malé a été sacré poumon économique et financier de son archipel. Une position qui lui était prédestinée à la lueur de son étymologie. Du sanscrit "mahaalay" (un terme que l'on retrouve dans Taj Mahal), qui signifie "palais" et, par extension, capitale, son nom le désigne comme le lieu de résidence privilégié des puissants.Sa richesse tient notamment au commerce de noix de coco, de coprah et de coquillages cowry. Une activité si dense qu'elle se reflète même dans l'organisation de la ville. La rue principale, Majeedhee Magu, est marchande. C'est là que se réunissent fashionistas et touristes en tout genre.Cependant pareille urbanisation au sein d'un espace si réduit ne peut s'opérer sans épargner l'environnement&nbsp;: adieu les idylliques paysages de carte postale&nbsp;!&nbsp;<img src="http://static.v3.atlantico.fr/sites/default/files/staging/import/ufile/sites/default/files/voyages_maldives_decouverte_de_male_3.jpg" alt="" height="325" width="485">Mais on ne vient pas à Malé que pour le shopping. On y va pour son centre islamique, par exemple. Fondé en 1984, cet imposant monument dispose d'une salle de prière pouvant accueillir presque 6 000 fidèles. Une chance pour la majorité de musulmans qui résident aux Maldives. Diffusée au XIIe siècle, cette religion a été imposée aux citoyens par la constitution de 2008. On peut aussi se faire un devoir d'aller visiter Mulliaage, la résidence officielle du président depuis 1953, date marquant le passage du sultanat à la république. Parlant sultanat, le parc Sultan vaut également le détour. C'est dans ce jardin public que se trouve le musée national.En somme, comme aurait pu l'écrire Cicéron en bon latin, c'est-à-dire en refoulant le verbe à la fin et en&nbsp; jouant sur les sonorités&nbsp;: "À Malé vous devriez aller. Vale".&nbsp;<h3 class="Standard s2" align="center">20&nbsp;000 fourchettes sous les mers</h3>Pour en savoir plus sur les Maldives, rendez-vous sur le site de <a href="http://www.peplum.com" target="_blank">Peplum.com. </a> &nbsp;Alors que les Maldives sont menacées par une éventuelle montée des eaux, certains établissements hôteliers ont déjà pris les devants. Surélever les chambres n’est pas l’idée la plus originale&nbsp;: au Rangali Island, on a préféré submerger un restaurant.&nbsp;<img src="http://static.v3.atlantico.fr/sites/default/files/staging/import/ufile/sites/default/files/voyages_maldives_restaurant_sous-marin_ithaa_1.jpg" alt="" height="360" width="481">&nbsp;Quand on parle des Maldives, on ne peut évidemment pas s'empêcher de penser au soleil, à la mer, et au sable chaud. Au climat favorable s'ajoute la plongée et la nourriture locale. De même que Jules Vernes qui le premier imagina un univers aquatique à part entière, pourquoi ne pas conjuguer gastronomie et vie sous-marine&nbsp;?Si la société actuelle a maintes fois donné raison à ce visionnaire, l'île de Rangali a, elle, donné corps à l'une de ses visions. C'est là qu'est né le tout premier restaurant sous-marin au monde, l'Ithaa. Du divehi la "maison de perle", cet établissement incroyable repose non pas à 20 000, mais à 0,001 lieue, soit 5 mètres, sous les mers.&nbsp;<img src="http://static.v3.atlantico.fr/sites/default/files/staging/import/ufile/sites/default/files/voyages_maldives_restaurant_sous-marin_ithaa_2.jpg" alt="" height="364" width="500">Conçue le 15 avril 2005 par le designer néo-zélandais M. J. Murphy Ltd, sa structure en acrylique peut accueillir 14 personnes. Quatorze convives qui ne manqueront pas d'être impressionnés par le toit transparent qui les surplombe et s'inscrit dans un panorama de 270°. La nourriture servie a évolué au fil des ans vers une cuisine internationale aux accents asiatiques. Combinaison parfaite au vu de la destination.Comme une vingtaine d’autres avec elle, Rangali est une île-hôtel des Maldives. Pas d’habitants, juste un énorme complexe hôtelier. Et des cinq restaurants de l’établissement, l'Ithaa reste l’expérience la plus sensationnelle. Rien de plus impressionnant que de s'immerger dans l'eau en vue d'un repas spectaculaire&nbsp;; car dans ce cas précis l'expression "avoir les yeux plus gros que le ventre" s'applique davantage au décor qu'au contenu de l'assiette. En d'autres termes, difficile de se concentrer sur ce que l'on mange, quand la dégustation se voit sans cesse interrompue par la venue impromptue de poissons... vivants&nbsp;!Et au cas où certains craindraient de devoir se comprimer dans une tenue de plongée, il faut préciser que l'Ithaa n'impose aucun dress code.<img src="http://static.v3.atlantico.fr/sites/default/files/staging/import/ufile/sites/default/files/voyages_maldives_restaurant_sous-marin_ithaa_3.jpg" alt="" height="319" width="481">Au bout d'une jetée, on trouve un escalier. Au bout de cet escalier, aussi mystérieuse que prestigieuse, une salle de restaurant. Au fond de ce restaurant, une table attend, séparée par une vitre translucide d’un défilé de poissons. Dilemme cornélien&nbsp;: manger ou contempler&nbsp;? Jules Vernes avait raison&nbsp;: "la mer est le vaste réservoir de la nature", la réserve d'une aventure gustative sans pareil.&nbsp;&nbsp;

Grand large

Une exposition de luxe à Montréal

Grand large

La Nouvelle-Zélande entre luxe et aventure

Grand large

Direction le soleil et les Maldives