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Il s'est fait gronder en direct

Jean-Jacques Bourdin se fait reprendre de volée par sa femme à l'antenne

Pour parler des attentats en Russie, ce lundi, l'animateur de BFMTV-RMC a interviewé Anne Nivat, son épouse. Il n'aurait peut-être pas dû.

Jean-Jacques Bourdin est connu pour malmener ses invités. L'animateur phare de BFMTV-RMC ne lâche jamais le morceau et pousse souvent à la faute les personnalités, souvent politiques, qu'il reçoit. Mais ce lundi, c'est lui qui s'est fait avoir. Et pas par n'importe qui. Il s'est fait recadré en direct par sa propre femme. En effet, abordant les attentats de Volgograd, le journaliste interview Anne Nivat, son épouse donc et spécialiste de la Russie.

La conversation débute comme cela : "Je tutoie, parce qu'Anne Nivat, c'est ma femme, il faut le savoir". Puis Jean-Jacques Bourdin se lance : "On a retrouvé, apparemment décapitée, la tête de la kamikaze". Un fait sur lequel Anne Nivat ne semble pas d'accord. "Enfin, la kamikaze, ça c'est toi qui le dis, parce que personne n'en sait rien ! Là, tu répètes la dépêche AFP qui, elle, répète la propagande du gouvernement russe ! Nous n'avons pas pour le moment d'autre information que celle-là (…) On n'en sait rien ! Il y aurait également un homme, qui aurait été son complice." Ce à quoi le journaliste répond par un simple "'Ah bon ben d'accord".

Mais Jean-Jacques Bourdin poursuit son interview : "Tout le monde a dit : 'On ne parlait plus du Caucase, en disant 'c'est réglé', mais rien n'est réglé dans le Caucase...". Et là encore, Anne Nivat riposte sèchement à son mari : "Non, mais on ne parlait plus du Caucase parce que les médias ont choisi de parler d'autre chose, par exemple de Dieudonné ce matin, puisque j'ai entendu l'antenne ! (...) Ça n'est pas parce qu'on ne parlait plus du Caucase, que dans le Caucase, tout était réglé. L'information, c'est un choix ".

lu sur le Huffington Post

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