Sans surprise
Florence Cassez : la gauche dit merci à Hollande, la droite à Sarkozy
Cela n'étonnera personne. Après sept ans de captivité de Florence Cassez au Mexique, après sept ans de négociations pour la libérer et de tergiversations juridiques, la gauche et la droite se réjouissent à leur façon de cette issue.
Interrogé ce matin sur Europe 1, le président du Sénat Jean-Pierre Bel a ainsi rappelé que "ce qui a été très important, c’est la rencontre en octobre entre François Hollande et Enrique Pena Nieto (NDLR : le nouveau président mexicain, succédant à Felipe Calderon), qui n’était pas encore investi. Ça s’est extrêmement bien passé, et à partir de là, on savait qu’on était sur de bons rails". Il a poursuivi en notant que "le président Hollande a joué la carte de la discrétion, avec une méthode qui consiste à faire confiance à la justice mexicaine. C’était un pari risqué. Mais ça a payé".
#FlorenceCassez retrouve enfin la liberté. Immense bonheur partagé avec sa maman, @jeanlucromero et les soutiens de Florence. #soulagement.
— Valerie Trierweiler (@valtrier) January 23, 2013
A droite, c'est un tout autre discours qui est tenu. Sur Twitter, c'est bel et bien Nicolas Sarkozy qui est remercié :
;+)“@elvy44: Sarkozy, ange gardien de Florence Cassez ? - Le Point bit.ly/Wgkovw”
— Frédéric Lefebvre (@FLefebvre_UMP) January 23, 2013
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Florence #cassez libérée ! Merci a la ténacité de Nicolas #Sarkozy et de François #Fillon. Et merci a nos grands amis mexicains.
— Jérôme Chartier (@jechartier) January 23, 2013
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