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Crédits Photo: Capture d'écran / Youtube RMC

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Christophe Castaner sur Jérôme Rodrigues : "s'il y a une faute, elle sera sanctionnée"

Le ministre de l'Intérieur est revenu, au micro de RMC, sur toutes les violences qui ont lieu pendant les manifestations des gilets jaunes.

Christophe Castaner était l'invité de Jean-Jacques Bourdin ce matin en simultané sur RMC et BFM TV. Le ministre de l'Intérieur est revenu sur plusieurs points sur lesquels il est fortement critiqué. D'abord, il a tenu à défendre le loi sur la limitation à 80 km/h. « On a sauvé 189 vies, oui les 80 km/h font baisser la mortalité » a-t-il affirmé avant de s'en prendre à ceux qui attaquant les radars  : « Là où les radars ont été dégradés, on a constaté une augmentation de 268% de la vitesse. Je dis à celui qui a détruit un radar, qu'une personne est peut-être morte à cause de lui. »

Ensuite il est revenu sur les violences entre manifestants et policiers pendant les manifestations des gilets jaunes. A commencer par le cas Jérôme Rodrigues : « Sur un sujet aussi grave que celui-ci, il faut faire confiance à l'enquête, et l'enquête ne se fait pas à coups de conférences de presse ou de fuites dans la presse. S'il y a une faute, elle sera sanctionnée. » 

Christophe Castaner condamne toute forme de violence : « Un blessé, quel qu'il soit, gilet jaune, manifestant ou policier, c'est un blessé de trop ». Le ministre de l'Intérieur a cependant estimé que les policiers n'avaient jamais connu telle violence : « Des militants-casseurs vont au contact et veulent se battre avec les policiers [...] Si on retire leurs outils aux policiers, il leur reste quoi? le corps à corps ou leur arme de service. »

Castaner est aussi revenu sur les problème des Français partis faire le Jihad en Syrie. Sur cette position, il a tenu à être ferme : « Je ne suis pas maître de leur destin, là ils sont en Syrie, mais s'ils viennent en France ils seront incarcérés, jugés et sanctionnés. »

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