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Départementales : le coup de gueule de Jérôme Guedj, quasi en larmes

Le président sortant du Conseil général de l'Essonne est apparu très touché par la défaite de la gauche et a appelé son parti à se réveiller.

Le président sortant du conseil général de l'Essonne est apparu dévasté. "Je suis triste et en colère. Manifestement, beaucoup de nos électeurs sont restés à la maison, cette fois-ci encore. Je dis simplement que l'on ne peut pas continuer comme ça. J'ai beaucoup de dépit. S'il n'y a pas de sursaut, c'est, ce soir, une répétition générale de ce qui va nous arriver en 2017. Si on continue de la même façon, la gauche balayé, c'est ce qui nous arrivera en 2017. Il faut que ce soit entendu à tous les étages. Je ne veux pas que tout ça ne serve à rien. C'est pas possible. On a tous les siognaux, le peuple de gauche nous dit 'y a des choses qui vont pas" a expliqué Jérôme Guedj désemparé.

"Je veux renouer avec le peuple de gauche. Le rassemblement, ça se créé, ça s'organise. On ne peut pas le faire sur des mesures qui divisent la gauche. Un changement de braquet est indispensable" a encore dit le frondeur.

"Le peuple de gauche veut les conditions du rassemblement. Le peuple de gauche s'est abstenu et c'est la manifestation de sa colère. (...) Aujourd'hui, c'est plus audible, personne n'entend le gouvernement. Il faut avoir des actions, des mesures qui parlent au peuple de gauche. Une partie du peuple de gauche ne s'est pas déplacé. C'est sa manière d'exprimer son désaccord" a fini Jérôme Guedj qui s'est fait appelé "Manuel Valls" par le journaliste de BFMTV. Une erreur qui l'a agacée.

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