Affaire Bygmalion : "Tout le monde savait" assure Lionel Tardy <!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Politique
Crédits Photo: Capture d'écran du site du Dailymail

Accusations

Affaire Bygmalion : "Tout le monde savait" assure Lionel Tardy

Le député UMP de Haute-Savoie, l'un des premiers parlementaires du parti à avoir ouvertement critiqué Jean-François Copé, était l’invité ce samedi soir de Laurent Ruquier dans "On n’est pas couché".

Lionel Tardy n'en est pas à son coup d'essai. Le député UMP de Haute-Savoie est connu pour ne pas avoir sa langue dans sa poche. A de nombreuses occasions, il a ouvertement critiqué les instances dirigeantes de son parti. Sa cible favorite ? Jean-François Copé qu’il a déjà plusieurs fois ouvertement critiqué, notamment à propos de l’affaire Bygmalion. Ce samedi soir, Lionel Tardy était l’invité de Laurent Ruquier dans l’émission On n’est pas couché sur France 2. Il est notamment revenu sur son parcours, son entrée en politique, son franc-parler, ses relations avec Copé et Fillon, la présidence de l’UMP, l’affaire Bygmalion, les remous à l'UMP, le futur président du parti… Et comme à son habitude, le député n’a pas eu la lange dans sa poche.

Ainsi il a notamment affirmé : "Bygmalion ce n'est pas une nouveauté. La société est apparue en 2008 à l'Assemblée Nationale quand Jean-François Copé était chef du groupe UMP. Toutes les manifestations du groupe UMP comme les journées parlementaires étaient organisées par Bygmalion. Quand après, on a su que Bygmalion était aussi dans la campagne présidentielle, on a commencé à se poser des questions". En résumé,  "tout le monde savait", assure-t-il, tout en expliquant qu’il ne manquait plus que la preuve, apportée par le journal le Point. Puis il adresse un nouveau tacle à Jean-François Copé : "Quand il dit dans sa lettre aux militants 'J'ai décidé de me retirer..', c'est bien mais c'est pour la forme. Il a été démissionné."

Un entretien à (re)voir 

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !