Les marchés semblent marquer une pause après la hausse enregistrée depuis l&rsquo;élection de Donald Trump. Il n&rsquo;y a pas de changement majeur ces derniers jours. L&rsquo;occasion est donc bonne pour étudier quelques dossiers et compléter, éventuellement, des positions sur les actions, sans changer massivement l&rsquo;exposition au risque.2016 a vu une nouvelle fois les &quot;petites et moyennes&quot; valeurs surperformer les &quot;grandes&quot; valeurs du CAC 40. Le même phénomène s&rsquo;est vérifié en Europe et aux Etats-Unis. Comme toujours sur les marchés, il n&rsquo;y a ni martingale ni performance sans contrepartie en termes de risque ou de moindre liquidité. Certaines années, les petites et moyennes valeurs ont eu des performances nettement inférieures et peuvent subir une volatilité plus importante que celle enregistrée sur les grandes valeurs. L&rsquo;investisseur prêt à supporter ces inconvénients sur courte période peut selon nous trouver intérêt à investir une partie de son allocation action dans des petites et moyennes valeurs.Les trois dossiers que nous proposons ici nous semblent receler un potentiel de performance intéressant. Il s&rsquo;agit, comme toujours pour les actions, d&rsquo;investissement avec un horizon à 3-5 ans. &nbsp;Altran&nbsp;: Société Française valorisée 2.4 Mds&euro; est le premier groupe européen de conseil et d&rsquo;ingénierie. Altran couvre toutes les phases des projets, ce qui se retrouve dans la répartition relativement équilibrée du Chiffre d&rsquo;Affaires provenant des différentes étapes des projets. Sous la pression subie de la part des clients demandant des réponses plus rapides, Altran a dû revoir ses méthodes de travail. Cette évolution, traduite dans le projet &laquo;&nbsp;Altran 2020&nbsp;&raquo;, nous paraît bien appréhendée par la société. Cela devrait se retrouver dans la croissance et les résultats de la société dans les années à venir. Altran devrait ainsi toujours pouvoir dégager des ressources pour acheter d&rsquo;autres sociétés et accélérer encore sa croissance. Le titre cote 14.1&euro; actuellement. Tout retour vers 13&euro; devra être considéré comme une opportunité à ne pas laisser passer.Tarkett&nbsp;: Une autre société française qui, elle aussi, figure parmi les leaders mondiaux. Dans ce cas il s&rsquo;agit du développement, de la fabrication et de la commercialisation de revêtements de sols. La société est valorisée 2.2Mds&euro;. Les chiffres de croissance et de marges peuvent sembler un peu décevants mais il masque une évolution qui nous semble intéressante. Tarkett a su se redéployer en Amérique du Nord et en Europe après avoir traversé un épisode difficile lorsque la Russie, qui faisait une part très significative du résultat, a sombré suite à la chute du pétrole&nbsp;! L&rsquo;activité nous semble désormais mieux répartie sur un secteur clé de la croissance mondiale. Le bilan est aussi désormais plus solide. Vers 34&euro; l&rsquo;investissement nous paraît intéressant.Cancom&nbsp;: société Allemande, de taille plus modeste, avec une capitalisation de 715M&euro; est une société spécialisée dans les services informatiques. La croissance du Chiffre d&rsquo;Affaires et des résultats est forte depuis plusieurs années et devrait se poursuivre à un bon rythme dans les prochaines années. La forte présence de Cancom dans les activités liées au &laquo;&nbsp;cloud&nbsp;&raquo; devraient en particulier rester dynamique d&rsquo;ici 2020. Nous sommes donc confiants dans la capacité de Cancom à générer des résultats pérennes. Le secteur d&rsquo;activité (les services informatiques) connaît souvent des soubresauts en bourse, aussi, il faut donc s&rsquo;armer de patience sur ce type de valeur. A 43&euro; Cancom est nettement moins &laquo;&nbsp;chère&nbsp;&raquo; que ses principaux concurrents.Trois dossiers, trois histoires d&rsquo;entreprises, trois idées d&rsquo;investissements. Avec les précautions d&rsquo;usage, ces sociétés nous semblent intéressantes. Il faut bien sûr être diversifié&nbsp;: un investissement en actions uniquement sur ces valeurs serait bien sûr trop risqué&hellip;Enfin on ne le rappellera jamais assez&nbsp;: il faut toujours garder des &laquo;&nbsp;munitions&nbsp;&raquo; pour être en mesure de compléter des positions quand le marché connaît des soubresauts&nbsp;! &nbsp;

Trois idées d’investissements pour les mois et années à venir : Altran, Cancom

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Trois idées d’investissements pour les mois et années à venir : Altran, Cancom et Tarkett

Les Britanniques ont voté et leur décision est de quitter l&rsquo;Union européenne. Les marchés, dans le sillage de sondages inverses, ont été complètement pris à revers. Le réveil&nbsp;a été très douloureux vendredi matin pour les investisseurs.C&rsquo;est effectivement une très mauvaise nouvelle pour l&rsquo;Europe et ce d&rsquo;autant plus que maintenant que la décision de sortir est prise, les négociations vont démarrer et prendront du temps. Cela créera une incertitude politique préjudiciable à la vie économique.Certains aspects nous incitent néanmoins à relativiser l&rsquo;impact réel de cet événement sur un horizon plus long&nbsp;: premièrement, l&rsquo;onde de choc étant générale, il est probable que les Banques Centrales interviennent de manière coordonnée. Ce n&rsquo;est pas arrivé depuis 2012 en pratique. Cela va constituer une force de soutien considérable. Enfin, ceux qui sont sur les marchés depuis de longues années le savent&nbsp;: ces périodes de turbulences sont l&rsquo;occasion d&rsquo;achats intéressants&hellip;à condition d&rsquo;avoir des liquidités comme nous le suggérons depuis plusieurs semaines.Depuis quelques temps nous étions prudents sur les marchés compte tenu de ce référendum d&rsquo;une part mais aussi des risques en Chine ou aux Etats-Unis. Nous gardons en tête ces différents risques bien sûr mais utiliserons un peu de cash si des opportunités se présentent dans les prochains jours.Nous analysons bien sûr, comme beaucoup de gérants, les données macro-économiques et leur impact sur la &laquo;&nbsp;micro&nbsp;&raquo; c&rsquo;est-à-dire sur les entreprises mais&hellip; nous relativisons de plus en plus l&rsquo;importance de l&rsquo;environnement général pour évaluer les entreprises. L&rsquo;horizon de nos investissements ne cadre pas (plus&nbsp;?) avec la &laquo;&nbsp;sur-réactivité&nbsp;&raquo; dont font preuve les marchés à la moindre nouvelle en provenance des Etats-Unis ou de la Chine. Dans le cadre d&rsquo;une allocation d&rsquo;actif diversifiée, la partie taux offrant désormais des rendements nuls ou presque il faut réfléchir d&rsquo;une autre manière. Nous préférons des actifs réels dans une optique longue&nbsp;: des actions ou de l&rsquo;immobilier&hellip;Pour estimer le prix d&rsquo;une entreprise et son intérêt en tant que support d&rsquo;investissement une analyse détaillée spécifique s&rsquo;impose en se projetant sur plusieurs années comme pour une maison ou un appartement. Dans ce contexte les réactions des &laquo;&nbsp;marchés&nbsp;&raquo; sur des périodes courtes doivent surtout être considérées comme des opportunités et non comme des raisons pour procéder à des réallocations massives.Depuis quelques temps si l&rsquo;on met de côté le &laquo;&nbsp;bruit&nbsp;&raquo; permanent des marchés il n&rsquo;y a pas de grands changements&nbsp;: l&rsquo;économie mondiale est en croissance modérée, en ralentissement aux Etats-Unis, en reprise en Europe et le point bas de la récession semble passé en Russie et au Brésil. Les risques ne changent pas&nbsp;: la Chine et globalement des risques ou des incertitudes politiques un peu partout dans le monde.Cette semaine des entreprises françaises ont fait l&rsquo;actualité dans le secteur du conseil&nbsp;: Ausy, société de conseil et d&rsquo;ingénierie, fait l&rsquo;objet d&rsquo;une offre de rachat par Randstad numéro 2 mondial des services en ressources humaines. Sur le papier les complémentarités semblent intéressantes.&nbsp; Coté Ausy la technicité et le savoir-faire sur la haute technologie et Ranstad apporte de son côté une couverture géographique réellement internationale et un univers de clients beaucoup plus vaste.Altran, 1er groupe européen de conseil et d&rsquo;ingénierie en innovation technologique, a aussi été sur le devant de la scène cette semaine. Altran a réalisé une acquisition importante avec le rachat de Synapse. Cette entreprise de la Cote Ouest connait un fort développement dans la conception de produits destinés au marché de la grande consommation. Parmi ses clients&nbsp;: Nike, Samsung ou Microsoft. Altran, avec cette acquisition, va s&rsquo;implanter dans le centre névralgique de la Recherche et Développement mondiale. Nous pensons qu&rsquo;il s&rsquo;agit d&rsquo;une avancée majeure dans le cadre du projet de développement d&rsquo;Altran sur l&rsquo;horizon 2020.Altran (ou Ausy avant son rachat) fait partie des sociétés qui peuvent croître en termes de chiffres d&rsquo;affaires et de résultats malgré une économie en faible croissance et en dépit des aléas liés au Brexit.&nbsp;

Marchés chahutés = opportunités

Après les vives tensions de la semaine passée, un certain retour au calme s&rsquo;est fait jour depuis les déclarations de Mario Draghi.Le pétrole a vivement rebondi depuis ses points les plus bas, les actions ont également connu une embellie. Tout ceci reste néanmoins très fragile. La volatilité devrait nous accompagner encore quelque temps.Plusieurs éléments importants sont susceptibles de générer des doutes.La FED va continuer d&#39;entretenir le flou sur sa politique monétaire. Elle a la volonté de revenir à une politique plus orthodoxe mais les données économiques sont moins bonnes depuis quelques temps, l&#39;inflation ne repart pas ... Et les marchés sont stressés. Autant de raisons qui rendent difficile une nouvelle hausse des taux en mars.Sur un plan plus micro, les résultats des entreprises américaines sont, comme tous les investisseurs s&#39;y attendaient, assez décevants, essentiellement à cause de la vigueur du dollar.Enfin les bancaires en Europe sont restés sous pression à cause des banques italiennes essentiellement.Il est donc inutile de se précipiter pour accroître encore le poids des actions dans son portefeuille en ce moment.Par contre, il existe des valeurs ou des secteurs qui sont moins exposés à tous les facteurs de risque actuel...pétrole, Chine, politique monétaire américaine...Vu les risques présents en ce moment sur les marchés il est tentant de raisonner en excluant les pays, les secteurs ou&nbsp; les entreprises qui nous semblent les plus risqués. Nous préférons toujours raisonner en partant de nos anticipations pour sélectionner des valeurs. Ainsi actuellement que cherchons-nous ?- Des entreprises dont le Chiffre d&#39;Affaires est tiré majoritairement de l&#39;Europe.- Des business model clair.- Des marges élevées et pérennes.- Des entreprises qui sont bien positionnées pour bénéficier de la moindre reprise de l&#39;investissement.- Des entreprises de taille encore relativement réduite pour être manœuvrable dans ces temps troublés. Le niveau d&#39;endettement est aussi un critère clé.Force est de reconnaître que la technologie répond bien à nos critères.&nbsp;&nbsp;L&#39;idée reçue consiste à penser que seules les grandes sociétés américaines du secteur de la technologie étaient en mesure de dominer à l&#39;échelle internationale.Idée reçue fausse.Au contraire il y a beaucoup de potentiel dans l&rsquo;univers de la technologie européenne, et ce sur des entreprises déjà établies avec des business model clairs.Prenons quelques exemples de valeurs détenues actuellement dans certains de nos fonds pour illustrer notre propos.- Wirecard, société allemande qui figure parmi les principaux fournisseurs de solutions et de services pour le traitement des paiements électroniques. Elle se développe également dans la gestion des risques et des fraudes. La société réalise 70 % de son Chiffres d&rsquo;Affaires (CA)&nbsp; en Europe. La progression des résultats est impressionnante, CA et bénéfices croissent de 30% par an depuis plusieurs années. L&rsquo;entreprise a parfaitement su gérer à la fois la croissance organique et la croissance externe. Vu la croissance du commerce électronique attendue sur les prochaines années, la société nous semble promise à un bel avenir.- Altran, société française est numéro 1 en Europe dans le conseil et l&#39;ingénierie en innovation technologique.&nbsp; Centré sur l&#39;Europe, le groupe affiche une croissance solide et un bilan sain, Altran a en outre fait preuve d&#39;une forte dynamique commerciale ces derniers mois. Le recul récent du titre est une opportunité.- D&#39;autres sociétés de taille plus réduite sont attractives telle par exemple Aubay, société de service informatique, qui connaît une forte croissance également. Solucom, conseil en système d&#39;information, ou Software, éditeur de logiciel qui vient de publier des niveaux de marges record, constituent selon nous de bons investissements à moyen terme.L&#39;analyse au cas par cas des secteurs et des valeurs recèle des opportunités intéressantes sur le secteur de la technologie en Europe sans payer les prix élevés de la techno US.Attention cependant, comme toujours&nbsp;: on ne doit pas oublier, quel que soit la qualité d&#39;un secteur, les règles de diversification élémentaires... Ni, du fait de l&#39;ambiance actuelle de garder un peu de cash !

De bonnes entreprises technologiques même en Europe !

Nouvelle semaine difficile sur les marchés&hellip;malgré le rebond de fin de semaine. Les facteurs de risques restent les mêmes, heureusement le discours volontariste de Mario Draghi a permis aux marchés de respirer un peu. Fondamentalement à court-terme les problèmes n&rsquo;ont pas disparu. Le cercle vicieux enclenché entre pétrole, doute sur la croissance, problématique d&rsquo;endettement et la Chine ont maintenu la pression sur les marchés depuis plusieurs semaines.Comme nous l&rsquo;écrivons depuis plusieurs semaines, sans être naïf sur les risques à court-terme, nous n&rsquo;écoutons pas les éternels pessimistes qui prévoient le pire depuis plusieurs années&nbsp;: rappelez-vous ceux qui prédisaient la fin de l&rsquo;Euro en 2011, une inflation massive en 2009 par exemple. En faisant abstraction des avis trop extrêmes, nous cherchons à profiter de la période actuelle pour investir dans des sociétés souvent trop chères en temps normal. Nous agissons pour nos clients comme pour notre propre épargne et notre enjeu en ce moment est de déterminer pour chaque entreprise si sa valorisation correspond à un simple incident de marché ou si elle reflète une situation structurellement dégradée.Un marché&nbsp;stressé est propice à une somme de &laquo;&nbsp;bruits&nbsp;&raquo; négatifs qui peuvent entraîner indistinctement tout un secteur à la baisse or la sanction peut être totalement exagérée pour certaines valeurs du secteur.&nbsp;Depuis plusieurs semaines le secteur bancaire est sous pression. L&rsquo;ensemble du secteur sous-performe le reste du marché et jeudi matin la baisse du secteur était proche de 20% depuis le début d&rsquo;année&nbsp;! Comme souvent des nouvelles qui auraient eu un impact modérément négatif en temps normal sont dévastatrices dans les semaines &laquo;&nbsp;chaudes&nbsp;&raquo;. Depuis quelques jours le flot de nouvelles a conduit à une très forte correction. Les Banques Italiennes et leurs créances douteuses, puis Deutsche Bank et ses pertes abyssales (supérieures aux pertes &laquo;&nbsp;Kerviel&nbsp;&raquo; pour situer l&rsquo;ampleur du problème&nbsp;!) ont mis le feu aux poudres. Toutes les banques ont dévissé. Y a-t-il l&rsquo;occasion de revenir sur une ou plusieurs banques Européennes en ce moment&nbsp;?Notre réponse est simple&nbsp;: Nous ne vendons pas nos positions mais nous ne complétons pas non plus. Il y a mieux à faire ailleurs selon nous.Il y a plusieurs raisons pour expliquer cet avis.&middot;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; Les banques elles-mêmes se plaignent en permanence des règlementation et contrôles qu&rsquo;elles subissent. Il est&nbsp; clair que leurs marges et leur capacité d&rsquo;action en souffrent&hellip;mais les coûts de renflouement pour les contribuables ont été tels pendant la dernière crise que la pression des états et des instances de supervision ne vont pas aller en diminuant.&middot;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; La conjoncture européenne se redresse certes mais le nombre finalement encore important des banques fait que la concurrence reste forte. Les marges ne peuvent pas augmenter de ce côté là non plus.&middot;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; Par ailleurs, comme nous pensons que les taux vont rester bas longtemps encore, il est à craindre que quel que soit le dynamisme commercial, l&rsquo;écrasement des marges sur les crédits faits par les banques restera la norme sur un horizon 2-3 ans.&middot;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; Avec une conjoncture un peu meilleure, on aurait pu penser que le coût du risque allait baisser. C&rsquo;est vrai sauf pour les banques qui ont prêté aux entreprises du secteur pétrolier&hellip;là aussi aucune bonne nouvelle à attendre à court-terme.&middot;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; Nous anticipons aussi que les marchés vont rester volatils en 2016. Les résultats de la partie banque d&rsquo;investissement n&rsquo;ont aucune raison d&rsquo;être particulièrement brillants pour l&rsquo;ensemble du secteur. Dans ce jeu stérile &laquo;&nbsp;court-termiste&nbsp;&raquo;, ce que l&rsquo;un gagne est perdu par l&rsquo;autre&hellip;moins les coûts d&rsquo;intervention&nbsp;! D&rsquo;ailleurs il est à noter que les unes après les autres les banques réduisent leurs dispositifs0 dans ces métiers.&middot;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; Enfin, même si elles s&rsquo;en défendent, les banques sont toutes attaquées sur le moindre maillon de la chaîne de valeurs par des acteurs du numérique, qui viennent prendre des clients ou de la marge sur leurs domaines jusqu&rsquo;ici totalement préservés. C&rsquo;est bon pour les clients&hellip;mais pas pour les marges.En résumé malgré des cours en fortes baisses, il nous paraît préférable de ne pas compléter les positions ou rester à l&rsquo;écart pour ceux qui n&rsquo;étaient pas investis sur ce secteur. Au-delà d&rsquo;un éventuel rattrapage à court-terme tant les retards sont importants,&nbsp; les bancaires ne devraient pas notablement surperformer le marché dans les mois qui viennent, il nous semble en tout cas que d&rsquo;autres valeurs ont des couples performance/risque plus intéressants. &nbsp;